Caroline Désir Ministre – Selon l’annonce faite jeudi par la DH, un membre du cabinet de la ministre de l’Education Caroline Désir (PS) et le fils de l’ancienne ministre Fadila Laanan ont tous deux été arrêtés mi-décembre dans le cadre d’une enquête pour trafic de drogue. Un jour seulement après l’arrestation, le 14 décembre, des procédures ont été engagées pour licencier l’employé pour abus de confiance.
Afin de vérifier si des objets criminels s’y trouvaient”, le bureau du collaborateur et d’autres lieux auxquels il avait accès ont été perquisitionnés, selon le cabinet ministériel. La responsabilité des machines lui incombait.
Le cabinet a ensuite contacté un avocat pour tenter d’établir une collaboration avec le juge chargé de l’enquête.Le chef de cabinet, selon la porte-parole, a coopéré avec les enquêteurs et leur a accordé l’accès à son bureau et à toute autre propriété privilégiée.
Les cinquante sacs ont été saisis par les détectives. Après cela, ils ont cessé de prêter attention aux communications des membres du cabinet et n’ont pas non plus découvert quoi que ce soit d’autre. Un communiqué du parquet de Bruxelles précise qu’en décembre 2023, le cabinet du ministre francophone de l’Éducation nationale a été perquisitionné pour drogue.
Un collègue de bureau a ensuite fait l’objet d’un mandat d’arrêt suite à des accusations de consommation et de vente de stupéfiants, auquel a eu accès le juge chargé de l’enquête.Huit personnes ont été déférées au juge d’instruction qui a porté plainte contre elles pour détention et vente de stupéfiants.
Pour les six autres, des mandats d’arrêt ont été émis contre eux. Dans un communiqué, la chambre des avocats a expliqué que leur détention préventive avait été confirmée. Leur enquête est en cours.
Parcours professionnel et académique:
Elle est une avocate accomplie, diplômée de l’Université Libre de Bruxelles (J.D.) et de la Vrije Universiteit Brussel (LL.M.). Elle a travaillé comme avocate du travail avant de se lancer en politique à la fin de l’année 2000.
Carrière politique Elle a été députée au Parlement régional de Bruxelles de 2009 à 2019. Entre juin 2009 et septembre 2017, elle a occupé plusieurs postes au Parlement de la Communauté française de Belgique, dont celui de vice-présidente de la commission de l’éducation. Elle a occupé le poste de déléguée sénatoriale de juin 2009 à septembre 2013.
Entre 2013 et 2019, elle a supervisé des projets de réaménagement urbain incluant des contrats de quartier, de mobilité et de propriétés communales tout en étant échevine à Ixelles. Après les élections municipales de 2019, elle prend en charge l’enseignement public.
Sa nomination comme députée fédérale a été annoncée en mai 2019. Au 17 septembre 2019, elle servait sous l’administration Jeholet 2 en tant que ministre de l’Éducation de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
En décembre, le cabinet de la ministre belge de l’Éducation, Caroline Désir, a été perquisitionné et une cinquantaine de paquets de cocaïne ont été découverts. La découverte de ces produits chimiques sur le lieu de travail a entraîné le licenciement puis l’arrestation d’un employé du cabinet ministériel, comme le rapportent nos confrères de La Dernière Heure.
Les enquêteurs ont également découvert 10 000 euros en espèces dans l’appartement de l’assistant chargé de la logistique et de l’équipement, né dans une famille socialiste, selon Le Soir. Ce jeune homme serait le fils de Fadila Laanan, actuel député bruxellois et ancien ministre, si l’on en croit La Dernière Heure.
Dans un communiqué publié jeudi, le cabinet du ministre socialiste a souligné qu’il travaillait en étroite collaboration avec les autorités compétentes depuis le début de cette affaire. Par conséquent, a-t-il ajouté, l’entreprise a commencé à collaborer avec les enquêteurs sur cette initiative particulière.
Les prochains cycles électoraux Et de poursuivre :
Comme convenu entre eux, le chef de cabinet a déverrouillé le bureau de l’employé ainsi que tous les autres lieux auxquels il avait accès à partir Puisqu’ils n’ont rien découvert de plus, ils ont montré peu d’intérêt à obtenir des informations auprès des autres membres du cabinet.
Il semble que la ministre ignorait complètement que son bureau était un repaire de drogue. Caroline Désir sera la tête de liste des socialistes lors des prochaines élections parlementaires, qui auront lieu dans quelques mois. Je pense qu’il est prudent de dire que le ministre de l’Éducation aurait préféré toute cette intimité.
Révéler une recherche dans un classeur. Cinquante sachets de cocaïne ont été découverts dans le bureau de la ministre Caroline Désir en décembre lors d’une perquisition menée par le gouvernement belge, selon La Dernière Heure.
Un membre du cabinet du ministre aurait été arrêté avant cette visite à domicile, selon aux médias belges. Le chef du commissaire du ministre, Mekki Van Haelen, a également été découvert avec environ 10 000 euros. Les détails étaient restés cachés jusqu’à présent.
Puisqu’il n’appartenait pas à Caroline Désir mais à cette personne, il est évident que le matériel était destiné au trafic de cocaïne et non à son usage personnel. Après l’émission du mandat d’arrêt, il a été incarcéré à la prison de Haren. Son père est un éminent socialiste du pays ; la DH rapporte qu’il est le fils de Fadila Laanan, ancienne ministre de la culture et actuelle députée bruxelloise.
Immédiatement terminé M. Van Haelen, qui était le trésorier de la société:
A été arrêté mercredi 15 décembre au soir, dans le cadre d’une enquête pour trafic de drogue”, précise le communiqué. “Conformément aux normes applicables aux cabinets ministériels, une procédure de licenciement pour abus de confiance a été diligentée jeudi 16 décembre”, a indiqué Jean-François Mathieu, porte-parole du cabinet de Caroline Désir.
Immédiatement après cet épisode, la ministre et son directeur de cabinet ont décidé de licencier Mekki Van Haelen, selon les explications données jeudi par Caroline Désir sur le réseau social X.S’en tenant aux textes, le ministre – qui n’a pas vraiment d’influence sur le complot – avoue même avoir joué un rôle déterminant dans le déclenchement du prétendu trafic de drogue.
Le chef de cabinet avait déjà autorisé les enquêteurs à ouvrir le bureau du collaborateur et toutes les autres propriétés auxquelles il avait accès dès le vendredi 17 décembre. Suite à cela, le chef de cabinet a déclaré que les enquêteurs n’avaient rien découvert d’autre et ont décidé de ne pas communiquer avec tout membre supplémentaire du cabinet à l’avenir.
Après avoir obtenu un Juris Doctor et un Master of Science de l’Université du Luxembourg, Caroline Désir a été avocate en droit du travail avant de se lancer rapidement en politique. Entre 2009 et 2019, elle a été membre des murs de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Région de Bruxelles-Capitale, où elle a été particulièrement active au sein du comité d’éducation.
Caroline Désir a été échevine à Ixelles de 2013 à 2019, où elle a également travaillé sur l’éducation publique, le logement et l’aménagement urbain. Sa nomination au poste de sous-sous-ministre fédérale a été annoncée en mai 2019.
Caroline Désir a pris ses fonctions le 17 septembre 2019 en tant que ministre de l’Éducation nationale de la Fédération Wallonie-Bruxelles. L’éducation doit être plus égalitaire, efficace et inclusive si elle veut continuer à se battre pour les mêmes idéaux qu’elle a défendus pendant si longtemps au cours de sa carrière.
Dans le cadre de sa vaste réforme pédagogique, le Pacte pour l’excellence pédagogique vise à relever la barre de l’enseignement de la langue française, avec cela comme objectif premier.Ce membre du cabinet, un MV, a été arrêté le 13 décembre en lien avec ces opérations illicites.
D’après ce que l’on sait, le 14 décembre, la ministre et son directeur de cabinet l’ont licenciée sans explication et l’ont fait assister par un avocat pour comparaître devant le juge d’instruction. Cela s’est produit lorsque les enquêteurs ont découvert dix mille euros au domicile de l’employé de MV.
Il a été demandé aux membres du cabinet de se rendre sur le lieu de travail de l’individu en question, qui se trouve être le chef du commissaire. Ils arrivèrent et découvrirent une cinquantaine de pacsons qui semblaient remplis de cocaïne.
Au lieu de perquisitionner les locaux, les autorités ont effectué une visite à domicile après avoir reçu des nouvelles de l’entreprise. En outre, l’entreprise se vante de son soutien au gouvernement. Le DH poursuit en affirmant que le ministre concerné au sein du cabinet est en réalité le fils de Fadila Laanan, qui a servi au ministère et est aujourd’hui député de Bruxelles.
Réaction officielle du gouvernement:
Dans le communiqué publié jeudi soir par le cabinet du ministre socialiste. Jeudi 14 décembre, les procédures de révocation pour abus de confiance se sont déroulées dans le respect de la réglementation régissant les cabinets ministériels. Nous nous sommes assurés qu’il n’y avait rien d’illégal dans son bureau en le fouillant le jour même.
Une cinquantaine de conteneurs contenant de la poudre blanche ont été découverts. L’entreprise a tenté d’établir une collaboration avec le juge d’instruction en contactant un avocat de la défense. C’est pourquoi l’entreprise et les enquêteurs ont convenu de travailler ensemble sur ce projet.
À partir du vendredi 15 décembre, le chef de cabinet a commencé à permettre à l’employé d’accéder à son bureau et à tout autre endroit selon leur accord mutuel. Les sacs ont été récupérés par les enquêteurs le jour même. Rien d’autre n’a été découvert et depuis lors, ils ont refusé de dialoguer avec d’autres membres du cabinet.
Même si elle a contribué à révéler la vérité, la ministre de l’Éducation Caroline Désir semblait indifférente à tout ce qui se passait. Malheureusement, le ministre est sur le point de mener la campagne socialiste à la Chambre des représentants.députés à Bruxelles pour les prochaines élections, et le problème vient seulement d’apparaître au grand jour.
La couverture d’une affaire de drogue dans un bureau d’école ne s’améliorera pas, quelle que soit l’ignorance du personnel. C’est d’autant plus compliqué qu’il s’agit du fils d’un autre député, un député bruxellois. Mais sans paramètres définis, il est risqué de porter des jugements politiques forts.
