Est-Ce Que Surya Bonaly Est Maman ? – L’artiste Surya Bonaly est connue en France et dans le monde pour avoir créé une figure qui porte désormais son nom. Malgré ses multiples médailles, la patineuse rebelle n’est jamais montée sur le podium olympique car ses chances ne lui ont jamais été données. Réflexion sur l’incroyable parcours de cette infirmière française, qui fête ses 49 ans de métier.
Surya Bonaly, ancienne championne de France de patinage artistique, est toujours une athlète accomplie malgré sa blessure mettant fin à sa carrière. Un athlète de haut niveau doté d’une personnalité explosive et d’une éthique de travail imprudente ; ses poings explosifs ont changé le cours du sport. Depuis ses premiers succès aux Jeux asiatiques jusqu’à son statut actuel de pionnière, Surya Bonaly a contribué à attirer l’attention sur un sport à prédominance blanche en raison de sa race. Le 15 décembre 2022, elle a fêté ses 49 ans. Que sais-tu d’elle ?
Comment est née Surya Bonaly ?
Ananda Varuna Claudine Bonaly est née le 15 décembre 1973 à Nice, en France. Sa mère biologique est originaire de La Réunion et son père biologique est originaire de Côte d’Ivoire ; à la naissance, elle s’appelle Claudine et placée dans un orphelinat. Suzanne et Georges Bonaly ont baptisé leur fille adoptive Surya, dont le nom signifie « le soleil » en sanskrit, alors qu’elle avait huit mois.
La mère de Surya Bonaly est professeur d’éducation physique, elle a donc grandi avec une solide éthique de travail et une passion pour un large éventail de sports, notamment le ballet, les claquettes, la gymnastique, le patinage artistique et la plongée. Quand Surya Bonaly a-t-elle commencé l’équitation ?
A l’âge de trois ans, Surya Bonaly chausse ses premiers patins. D’une détermination envoûtante, la jeune fille attire rapidement l’attention de l’entraîneur français Didier Gailhaguet, qui voit du potentiel chez le jeune patient. Le talent artistique du petit prodige en matière de patinage a été dûment récompensé par de nombreux titres ; la sacrée a remporté neuf championnats de France, cinq championnats d’Europe et trois vice-championnats du monde. Seul le podium olympique lui fera obstacle.
Surya Bonaly a-t-elle remporté une médaille olympique ?
En 1992, 1994 et 1998, Surya Bonaly a participé aux Jeux olympiques. Quoi qu’il en soit, même les patineuses artistiques les plus douées ne remporteront jamais une médaille olympique. en 1992, à Albertville, l’athlète décide, contre l’avis de son entraîneur, de s’essayer au piqué quadruple boucle. Sa rotation finale est toutefois incomplète, et elle est rétrogradée à la cinquième place du podium.
Même si le triple Lutz est sa spécialité, elle chute à deux reprises et termine quatrième au classement général des Jeux Olympiques de Lillehammer en 1994, bien qu’elle soit l’une des grandes favorites. Lors des Jeux olympiques d’été de Nagano en 1998, la patineuse artistique rebelle crée un jeu très dangereux. chiffre qui a été interdit de compétition. Un retour en arrière, méprisé par le public mais condamné par des juges scandalisés par l’insolence et le comportement inacceptable du patient. A l’issue de la compétition, elle annonce la fin de sa carrière amateur, après avoir remporté une médaille olympique.
Surya Bonaly et le Backflip : qu’est-ce que c’est ?
Surya Bonaly, patineuse talentueuse et rebelle, s’est fait un nom sur la glace avec une série de sauts uniques et notoirement difficiles, dont le triple Lutz, la triple boucle piqué, le triple flip et le fameux, qui lui a fait perdre la tête. place sur le podium des JO. C’est la patineuse française qui a été la première à exécuter le “salto arrière” avec le patient debout. Un saut que l’athlète a continué à exécuter jusqu’à son 40ème anniversaire et qui est maintenant connu sous le nom de Bonaly (Backflip en anglais).
Lors des Jeux olympiques d’été de 1998 à Nagano, la patineuse artistique rebelle a créé une figure très dangereuse qui a été interdite de compétition. Un retour en arrière, méprisé par le public mais condamné par des juges scandalisés par l’insolence et le comportement inacceptable du patient. A l’issue de la compétition, elle annonce la fin de sa carrière amateur, après avoir remporté une médaille olympique.
Surya Bonaly et le Backflip : qu’est-ce que c’est ?
Surya Bonaly, patineuse talentueuse et rebelle, s’est fait un nom sur la glace avec une série de sauts uniques et notoirement difficiles, dont le triple Lutz, la triple boucle piqué, le triple flip et le fameux, qui lui a fait perdre la tête. place sur le podium des JO. C’est la patineuse française qui a été la première à exécuter le “salto arrière” avec le patient debout. Un saut que l’athlète a continué à exécuter jusqu’à son 40ème anniversaire et qui est maintenant connu sous le nom de Bonaly (Backflip en anglais).
La diva figée a donné une longue explication lorsque Le Parisien l’a interrogée sur sa vie à l’étranger : Je suis ouvert à tout, mais en Amérique, le coaching est un service privé, donc on paye par le cours (elle coûte 90 dollars par heure). Nous sommes moins en sécurité, mais nous pouvons gagner nos vies si nous travaillons dur. En raison du système de paiement mensuel, c’est plus difficile en France. Je vais aussi dans différents pays quand on me demande d’être consultant. Entre autres endroits, j’ai travaillé au Mexique et en Norvège. Les gens viennent me chercher quelques jours ou semaines ici et là et j’adore ça.
Alors que devient Surya Bonaly ? Informations sur sa vie privée En plus d’entraîner de jeunes danseurs sur glace, l’ancienne championne de 49 ans se produit avec d’autres danseurs sur glace dans de nombreux spectacles à travers le monde, comme en 2014 lors de sa tournée française de Holiday on Ice.
Elle est mariée au patineur et entraîneur professionnel américain Peter Biver depuis 2016. Pendant un certain temps, ils formaient une unité à Minneapolis, Minnesota, où Monsieur est entraîneur de champ. Le patient se rend-il à Las Vegas pour les traitements et les retours ?
Le 15 décembre 1973 à Nice est le grand jour pour Surya Bonaly, une réunionnaise d’origine. Suzanne et Georges Bonaly l’adoptent à huit mois. Jusqu’à l’âge de douze ans, elle a vécu dans l’arrière-pays niçois auprès d’une multitude d’animaux (dont une mangouste !). Sa mère est professeur d’éducation physique, elle sèche donc l’école. Pendant que les cours par correspondance s’occupent du reste, ses parents lui apprennent l’algèbre et le français. A l’âge de trois ans, sa mère le fait débuter en selle.
Lorsque la famille Bonaly s’installe à Champigny-sur-Marne en banlieue parisienne en 1985, c’est un grand événement. Et grâce aux conseils de son entraîneur Didier Gailhaguet, Surya avance à grands pas. Mais les mères des athlètes sont responsables de leur carrière. Cela décourage et repousse tous les entraîneurs qui tentent de retenir sa fille. Le titre de championne du monde junior en 1991 fut la première récompense de Surya pour son talent. Mais aux Jeux olympiques d’été de 1992 à Albertville, elle a terminé à la cinquième place, elle ne montera donc pas sur le podium.
En effet, les Jeux Olympiques seront toujours son talon d’Achille puisqu’elle ne remportera jamais de médaille (quatrième en 1994 à Lillehammer et dixième en 1998 à Nagano). Néanmoins, son palmarès est impressionnant : neuf titres nationaux, cinq championnats d’Europe (1991-1995) et trois médailles d’argent mondiales (1993, 1994, 1995). Elle a fait sensation lors des Championnats du monde de 1994 à Chiba (Japon) lorsqu’elle a d’abord refusé de se présenter pour la deuxième place, affirmant qu’elle était blessée.
Pourtant, c’est ce caractère fragile qui la pousse à prendre du retard aux Jeux olympiques de Nagano. Même si la loi l’interdit, elle autorise néanmoins ce chiffre, sachant qu’elle ne concourt plus pour la première place.
Après avoir décidé de se retirer de la compétition en 1998, elle et sa mère ont déménagé à Las Vegas. Ils y ouvrent tous deux une école d’art patinage. Elle s’occupe d’enfants de tous âges, dont la fille de l’acteur Omar Sy. Surya, devenue citoyenne américaine en 2004, se produit toujours, notamment lors de championnats professionnels et de galas d’exhibition à travers le monde. Un documentaire sur la beauté de l’échec des gagnants, Losers, a été diffusé par Netflix, qui a diffusé un hommage à lui, à sa vie et à sa carrière.
Lors de l’édition française 2010 de La ferme célébrités, les téléspectateurs ont pu la revoir. L’ancienne championne des caresses est toujours dans les griffes de sa mère poule à 36 ans. Comment oublier Suzanne Bonaly, positionnée derrière la balustrade lors de la Championnats du monde des années 1990 et Jeux olympiques juniors, rattrapant toutes les erreurs commises par sa prodigieuse fille ? Après que Surya ait quitté l’école, cette professeure de sport a démissionné de son poste pour s’occuper d’elle à plein temps. Elle avait auparavant été son entraîneur.
Après douze ans, rien n’a changé. La maman est en permanence présente. Philippe Candeloro a expliqué à la radio qu’il la croyait proche de la frontière sud-africaine et qu’elle faisait constamment des signes à sa fille qui disaient “fais pas ci, fais pas ça”.
Dans toute l’Europe 1.
Quoi qu’il en soit, Surya a révélé ses faiblesses sur le terrain en admettant qu’elle ne se sentait à l’aise qu’au travail et que les hommes lui avaient brisé le cœur. Cela te dérange? Plus d’un avait dû être découragé par Maman Suzanne.
Malgré les affirmations de Surya selon lesquelles elle n’avait jamais reçu de fleurs pour la Saint-Valentin – « le jour le plus nul de l’année » – le 14 février, lorsque son bien-aimé ranger Olivier lui a offert des roses, elle a quand même refusé. “Surya est une fille géniale, mais c’est vrai qu’elle fait encore beaucoup de choses avec sa mère. Même si elle a 36 ans, la championne de ski n’a jamais rencontré son âme sœur”. Candeloro a souligné qu’ils vivaient tous les deux ensemble à Sin City.
