Farida Khelfa Taille

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Farida Khelfa Taille
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Farida Khelfa Taille – Son documentaire D8 2013 Une Campagne intime est un exemple notable de son travail ; elle y suit Nicolas Sarkozy dans sa vie personnelle, s’appuyant sur son amitié avec Carla Sarkozy, témoin du mariage de son mari en 2008 avec le président de la république. Encore très discrète, elle est nommée égérie de la maison Schiaparelli en 2012.

En septembre 2012, Farida Khelfa épouse son associé de longue date Henri Seydoux, PDG de Parrot (marque d’électronique), fils de Jérôme Seydoux (président de Pathé) et père du premier mariage de l’actrice Léa Seydoux ; Farida est donc sa belle-mère. Parallèlement à son parcours de journaliste à Actuel, il a été lui-même membre de la bande du Palace.

Le mariage réunit des invités illustres : les témoins de la mariée sont Christian Louboutin et Philippe Starck, les témoins du marié sont Carla Bruni-Sarkozy et Farida Khelfa, et les invités incluent Bernadette Chirac, Nicolas Sarkozy, Mick Jagger, Arielle Dombasle et BHL. Sans oublier les deux fils du couple, Ismael et Omer Seydoux, bien sûr.

De sa vie de fugueuse, Farida Khelfa est devenue comédienne, cinéaste et source d’inspiration créative. En 1979, Jean-Paul Gaultier découvre immédiatement son élégance naturelle et son approche alternative.

Une jeune mannequin pleine d’avenir, Farida Khelfa

Rien n’aurait pu préparer Farida Khelfa à devenir la reine emblématique des podiums parisiens. Elle quitte le cocon familial à l’âge de quinze ans pour rejoindre Paris ; elle est née en 1962 à Lyon. Son père, très strict, est veilleur de nuit à la gare. Jusqu’à ses 18 ans, la police la considérera officiellement comme une « fugueuse » activement recherchée. L’acquisition officielle de la nationalité française par Farida Khelfa n’interviendra qu’à l’âge de 30 ans.

En 1979, elle devient mannequin pour Jean-Paul Gaultier, qui ne peut s’empêcher de remarquer cette brune aux longs membres, après s’être vite habitué aux nuits du Palace et des Bains Douches. Thierry Mugler et Azzedie Alaïa utilisent tous deux la belle métisse comme égérie. Elle se démarque des autres modèles grâce à sa personnalité unique et ses traits méditerranéens.

Les créateurs les plus talentueux seront toujours enchantés par l’incroyable bagout, la technique alpine et le corps sauvage de Farida Khelfa. Dans les années 1980, il continue de rencontrer du beau monde, comme Christian Louboutin, Arielle Dombasle et Vincent Darré. La vie de Farida Khelfa dans les années 1980 et 1990 Même petite, Farida Khelfa n’avait pas l’intention de devenir mannequin. Sous la lumière des projecteurs, c’est le monde nocturne et une liste d’adresses prestigieuses qui la poussent malgré tous ses efforts.

Sa carrière d’hégémonie créatrice débute au début des années 1980, alors qu’elle est déjà connue comme figure du Palace. La superbe franco-algérienne multiplie les rencontres après avoir été remarquée par le créateur Jean-Paul Gaultier. Son attitude fait d’elle le premier mannequin “beur” très médiatisé de son époque. À partir de ce moment-là, les plus grands créateurs comme Christian Louboutin et Thierry Mugler se réjouissent de sa beauté exotique et orientale.

La nouvelle “reine de Saba” est désormais à l’honneur et elle apporte sur les podiums le faste d’une France livrée.Première rencontre de Jean-Paul Goude et Farida Khelfa Puis, en 1982, Farida Khelfa devient physiologiste aux Bains Bouches. Pour la première fois, elle croise la route du directeur artistique Jean-Paul Goude, captivé par sa beauté unique et innée.

Après la mort de Grace Jones en 1980, elle est devenue son inspiration graphique et sa partenaire de vie. En travaillant avec le gourou de la publicité Jean-Paul Goude dans les années 1980, Farida Khelfa nourrit son génie créatif. Elle devient la « femme aux membres démesurés » célébrée dans de nombreuses représentations et s’inspire notamment de sa légendaire technique de collage. En 1983, la jeune mannequin rencontre Azzedine Alaïa, avec qui elle continue de sortir avec cette publicité. En plus de devenir la directrice de son studio, elle devient son inspiration.

Farida Khelfa Taille : 168 cm

Farida Khelfa est née dans la région du Rhône le 15 mai 1962. Dès son adolescence, elle se rend fréquemment à Paris pour découvrir la vie nocturne et la scène artistique de la ville. En 1979, Jean-Paul Gaultier remarque la brune aux cheveux longs et lui propose de danser.

En conséquence, elle est le premier mannequin d’origine marocaine à attirer l’attention des médias. Même en 1982, alors qu’elle est physiologiste au Palace, la belle Althea devient une figure légendaire. C’est là qu’elle rencontre les créateurs Thierry Mugler et Jean-Paul Goude, qui l’emploieront comme mannequin. Elle vivra avec le photographe jusqu’en 1990.

Farida Khelfa Taille

Chemin faisant, Farida rencontre Carla Bruni, avec qui elle roucoule sur les podiums parisiens, et les deux se rapprochent. Tout en jonglant avec sa carrière d’actrice, elle fait irruption à l’écran dans Les Keufs de Josiane Balasko. En 1993, elle se consacre à la comédie après avoir défilé pour la dernière fois pour Alaïa. En 2006, elle participe à la Gradiva d’Alain Robbe-Grillet, et en 2008, elle participe au Paris de Klapisch.

Cet ancien mannequin travaille désormais comme réalisateur de documentaires ; elle a réalisé des films comme Jean Paul Gaultier ou Les codes bouleversés (2010), Une jeunesse tunisienne et Campagne intime, qui expose la vie de Nicolas Sarkozy.

En 2012, elle devient l’émigrée de Schiaparelli avec le retour de l’illustre maison de couture des années 40. Après dix-neuf ans de fréquentation, Farida Khelfa épouse Henri Seydoux en septembre 2012. Ils ont deux fils, Ismaël et Omer.

Certains la connaissent comme comédienne, d’autres comme égérie et émigrée de la mode parisienne, d’autres encore comme réalisatrice de documentaires sur ses amies célèbres : depuis sa naissance en banlieue lyonnaise, Farida Khelfa a sans doute fait son chemin et parcouru de nombreux chemins. . Henri Seydoux est le père de l’actrice Léa Seydoux issue d’un précédent mariage, et elle est mère de deux enfants issus de cette union.

Le 23 mai 1960, Farida Khelfa est née à Lyon. Ses parents sont algériens (elle-même n’obtiendra la nationalité française qu’à 30 ans) et ils ont neuf enfants. La famille réside aux Minguettes, un quartier de Vénissieux dans la banlieue lyonnaise, devenu célèbre pour les émeutes urbaines de 1981, et son père travaille comme veilleur de nuit à la gare de Lyon-Perrache.

Mais Farida Khelfa en fait partie depuis longtemps : à 16 ans, elle fugue en auto-stop pour rejoindre sa soeur Houria à Paris après acheter du pain. Sa sœur Djemilah avait vécu la même chose l’année précédente, et désormais toutes deux vont devenir des célébrités de la jet-set et des figures du Palace, une célèbre discothèque où elles mettent en lumière une génération de jeunes (et parfois de moindres) stars.

Le géologue

En 1979, Farida devient la gégérie d’Azzedine Alaïa et modèles pour Gaultier et Thierry Mugler. Elle ne correspond pas aux standards des mannequins professionnels, avec sa beauté méditerranéenne stéréotypée, mais elle est spectaculaire, a une vraie personnalité, et cette nouvelle génération qui vole la vedette veut clairement renverser les diktats.

Parallèlement, elle est physionomiste aux Bains Douches, autre discothèque exclusive de la capitale, où elle rencontre pour la première fois le directeur artistique et photographe Jean-Paul Goude. De 1982 à 1990, elle succède à Grace Jones, mannequin jamaïcaine devenue chanteuse, dans ces deux rôles, devenant ainsi sa muse et sa compagne.

Contrairement à sa sœur Djemilah, Farida prend plus de risques dans l’industrie cinématographique que dans l’industrie musicale. En 1985, elle apparaît dans La Nuit porte-jarretelles de Virginie Thévenet aux côtés de la quasi-totalité des personnages de cette « génération Palace » : Caroline Loeb, Christian Louboutin, Darré et François Baudot. Dans Jeux d’Artifices (1987), réalisé par la même femme, on la voit reprendre son rôle aux côtés d’un ensemble très identique de jeunes modernes, renforcés par Etienne Daho et Marco Prince.

Comédienne

Elle quitte ensuite le cinéma et fait son dernier défilé en 1993 pour Alaïa, mais elle reste dans le monde de la mode, travaillant avec le même créateur puis pour Gaultier jusqu’en 2004. Elle fait un retour triomphal sur grand écran en 2006 dans Gradiva, réalisé par Alain Robbe-Grillet avec Arielle Dombasle, puis dans Le Scaphandre et le papillon de Julian Schnabel (2007).

Elle retrouve Juliette Binoche et Romain Duris dans le film Paris de Cédric Klapisch en 2008, puis elle incarne la mère de Hafsia Herzi dans le film Française de Souad El-Bouathi en 2008. Vous pouvez également la voir dans le film Barbe bleue de Catherine Breillat en 2009, et dans le documentaire La Traversée du désir d’Arielle Dombasle en 2009, elle interviewe de nombreuses personnalités.

Neuilly sa mère ! (2009), qui a réalisé plus de 2,5 millions d’entrées, et sa suite, Neuilly sa mère, sa mère ! (2018), appartiennent tous deux au genre de la comédie populaire, et elle incarne la mère du héros dans les deux. Entre 2009 et 2012, elle est apparue dans la mini-série Aïcha de Yamina Benguigui, ainsi que dans quelques téléfilms, et on l’a également vue dans le long métrage Opium d’Arielle Dombasle en 2013.

Journaliste et jet-setteur

En 2010, elle signe son premier documentaire sur Jean-Paul Gaultier, Jean-Paul Gaultier ou les codes renversés, diffusé sur France 5, exauçant son envie d’être derrière la caméra. Elle en tourne un autre en 2012 pour Arte, avec cette fois Christian Louboutin, et le documentaire Une Jeunesse tunisienne pour France O.

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