Mari De Lucie Carrasco – “Femme Actuelle” a publié lundi 26 février 2024 un article de la chroniqueuse du “Magazine de la santé”. Lucie Carrasco s’est pas mal confiée sur elle alors qu’elle était enceinte. L’arc que porte Lucie Carrasco est enfilé de nombreux fils. Elle aurait pu être exploratrice, auteure, professeure et créatrice de mode aux côtés de Jérémy Michalak.
Depuis l’automne, la femme de 42 ans est à la tête de la chronique mensuelle de Jimmy Mohamed et Marina Carrère d’Encausse au Magazine de la santé. Lors de cette réunion, elle a été rejointe par nos confrères de Femme Actuelle. De plus, elle a fait la paix en discutant de problèmes privés en public.
Lucie Carrasco est l’un des visages les plus reconnaissables du Magazine de la santé. Ce billet d’une ancienne styliste aujourd’hui en fauteuil roulant en raison d’une amyotrophie spinale aborde, entre autres, la maternité, la santé et le handicap. Des sujets qu’elle a également abordés dans son entretien avec Femme Actuelle.
Elle affirme qu’elle n’a ressenti aucun sentiment de féminité jusqu’à son mariage avec l’illustrateur Jean Datry, avec qui elle entretient une relation conjugale idyllique depuis près de huit ans. Malgré leur adhésion de longue date à l’adage “pour vivre heureux vivre cachés”, la journaliste de France 5 et son séduisant et innocent petit ami ont désormais tourné la page. Était-ce ses mots : « Maintenant, on n’a plus peur de dire qu’on s’aime » ?
Un récit non censuré des réflexions de Lucie Carrasco sur la maternité
De plus, ils ont osé aborder un sujet qui pouvait être sensible pour certaines femmes. Celui pour attendre un enfant. Aucun « côté très maternel » ne pourra empêcher Lucie Carrasco de prendre une décision déchirante. Je n’ai pas l’intention de fonder une famille. Mon conjoint et moi avons fait ce choix difficile ensemble. “Plus qu’un potentiel enfant qui n’est pas là”, me disait-il à un moment donné. La déclaration était profonde.
“J’ai senti le poids social disparaître”, répond-elle, éludant le sujet. Elle a néanmoins l’expérience d’être mère de quatre enfants – « ainsi que de deux bouts de chou en Colombie et au Brésil grâce à l’ONG Plan International France » – et les joies de la maternité. Elle devient finalement ambassadrice de cette organisation.
“Femme Actuelle” a publié lundi 26 février 2024 un article de la chroniqueuse du “Magazine de la santé”. Lucie Carrasco s’est pas mal confiée sur elle alors qu’elle était enceinte. L’arc que porte Lucie Carrasco est enfilé de nombreux fils. Elle aurait pu être exploratrice, auteure, professeure et créatrice de mode aux côtés de Jérémy Michalak.
Depuis l’automne, la femme de 42 ans est à la tête de la chronique mensuelle de Jimmy Mohamed et Marina Carrère d’Encausse au Magazine de la santé. Lors de cette réunion, elle a été rejointe par nos confrères de Femme Actuelle. De plus, elle a fait la paix en discutant de problèmes privés en public.
Lucie Carrasco est l’un des visages les plus reconnaissables du Magazine de la santé. Ce billet d’une ancienne styliste aujourd’hui en fauteuil roulant en raison d’une amyotrophie spinale aborde, entre autres, la maternité, la santé et le handicap. Des sujets qu’elle a également abordés dans son entretien avec Femme Actuelle.
Elle affirme qu’elle n’a ressenti aucun sentiment de féminité jusqu’à son mariage avec l’illustrateur Jean Datry, avec qui elle entretient une relation conjugale idyllique depuis près de huit ans. Malgré leur adhésion de longue date à l’adage “pour vivre heureux vivre cachés”, la journaliste de France 5 et son séduisant et innocent petit ami ont désormais tourné la page.
Était-ce ses mots : “Maintenant, on n’a plus peur de dire qu’on s’aime” ? Lucie Carrasco, la main de son mari dans elle, monte sur la tribune du Festival de Cannes. Un styliste atteint d’une maladie génétique rare, l’amyotrophie spinale, s’accroche à son conjoint Jean Datry alors qu’ils montent les marches du Palais des Festivals.
Dès qu’on a un déficit, les escaliers deviennent votre pire ennemi dans le film. Toutefois, la montée a rarement été aussi raide. Alors qu’ils descendaient les escaliers du Palais des Festivals de Cannes le 22 mai, la styliste Lucie Carrasco, âgée de 41 ans, a trébuché et s’est effondrée alors qu’elle était retenue par son mari.
Bien qu’elle ait été hospitalisée pour une maladie génétique rare, l’amyotrophie spinale, Lucie Carrasco a pu fouler le tapis rouge avec son mari Jean Datry, comme elle l’a rapporté sur Instagram.
En 2011, elle a tenté à deux reprises d’afficher sa ligne de vêtements sur le podium avec Adriana Karembeu comme artiste vedette. Après douze longues années, il est enfin terminé. Lucie en Californie, le documentaire de la Lyonnaise diffusé fin juin sur France 5, fait sa première mondiale au Festival de Cannes. Suite à ses aventures au Japon et au Québec, Lucie Carrasco découvre la côte ouest américaine.
Curieusement, la jeune femme de quatorze ans, passionnée de mode et de voyages, a déclaré : « On dirait que je cherche un peu de mer » sur le plateau de C à Vous, au lendemain du départ de ses marches. Elle a dit : “Je me suis dit : “tiens, ils sont beaux ces escaliers !” C’était compris. Alors que nous nous tenions au pied des marches, mon mari s’est exclamé : “Mais tu rêves d’aller sur les marches !” ” Ensuite, il m’a mis dans ses bras et nous avons fait les deux premiers pas”, a déclaré la femme.
C’était un événement émouvant et inoubliable, mais ce n’était pas courageux, à son avis. Le courage n’est pas un problème pour moi. Il suffit d’avoir la volonté et la détermination de tout faire, confie-t-elle dans les colonnes de Nice-Matin.
Pourtant, la styliste a exprimé sa déception que “Brad Pitt ne soit pas venu” lors de son apparition dans le show d’Anne-Elisabeth Lemoine. L’invitation est donc valable pour une année supplémentaire.
Il a entrepris son périple au milieu des célébrités de la salle Martinez. Annonçant « C’est parti pour la montée des marches ! » Lucie Carrasco se précipite vers la caméra. Elle passe ensuite par Amandine Petit et Clémence Botino, toutes deux anciennes Miss France, avant de se retrouver devant le mannequin français Cindy Bruna. Le styliste de 41 ans n’est pas étranger au Festival de Cannes ; elle et Adriana Karembeu y ont lancé leurs créations il y a douze ans. Néanmoins, son tapis rouge était complet sans le fauteuil roulant qui l’accompagnait à chaque pas.
“Croissance n’est pas un élément crucial pour moi.” “Il suffit d’une envie brûlante et de la détermination d’aller jusqu’au bout”, déclare-t-elle dans Nice Matin. Bien qu’elle soit atteinte d’amyotrophie spinale dans sa famille, Lucie Carrasco insiste pour “glamouriser le handicap” chaque fois que cela est possible.
Elle a utilisé la même approche lors de sa rencontre avec Emmanuel et Brigitte Macron à la Tour de l’Elysée. Selon elle, “depuis son plus jeune âge”, elle est témoin de cette marche montée. Dans une interview pour “C à vous”, elle révélait : “A priori quand tu es handicapé, les escaliers sont ton pire ennemi”.
J’ai l’impression de suivre un peu l’eau. “Tiens, ils sont beaux ces escaliers”, me disais-je après avoir traversé d’autres pays. Ils m’ont permis de gâcher le tapis rouge, je m’en souviens. Le documentaire Lucie en Californie, qui retrace son voyage aux États-Unis avec l’animateur et producteur Jérémy Michalak, sera diffusé en avant-première sur France 5 le mois prochain.
“J’en ai été très flattée”, prononce-t-elle. Sur Instagram, elle exprime sa gratitude à “son amour Jean” en postant une photo de leur choix avec un doux commentaire. Raison pour laquelle, le 22 mai dernier, elle et son mari ont pu “réaliser leur rêve” en montant au Palais des Festivals pour voir le Club Zéro.
A plus de vingt ans m’ont laissé réfléchir sur elle; j’ai eu la chance d’imaginer tout, y compris le pire. Nous n’avons pas encore vu le pire. Dans la chanson « C à vous », elle mentionne avec espièglerie que Brad Pitt ne fait pas partie de la performance. Ce pitoyable cliché d’un coureur posant sur un tapis rouge de renommée mondiale sera tout ce qui restera désormais. Son souhait unique et inébranlable ? Ses mots dans Nice Matin étaient : “Ce que disent les gens : ils sont beaux, l’amour est beau…” etc. Beau travail.
Elle avait informé le président Macron que « encourager les stéréotypes des personnes handicapées » était sa déclaration. La passion laissée en suspens pour Lucie Carrasco. La styliste de renommée mondiale est sortie dans une robe en satin cramoisi à couper le souffle depuis l’ascenseur du Martinez, son lieu de festival.
L’amyotrophie spinale est une maladie héréditaire dégénérative qui la maintient confinée sur une chaise. Journaliste à France 5, elle écrit… Une illumination succulente. “Un croisement entre Jessica Rabbit et Julia Roberts dans Pretty Woman”, a-t-elle ajouté avec enthousiasme. Effectivement, un vêtement qu’il a créé.
Une maladie génétique rare touche la styliste Lucie Carrasco. Elle avait toujours voulu être une reine des marches au Festival de Cannes, et son mari lui a permis de le faire. Pourtant, c’est Lucie Carrasco qui a réussi. Tout en pleurant la perte de son mari à cause d’une maladie génétique rare, l’amyotrophie spinale, la coiffeuse de 41 ans a réussi à faire honte à son mari, Jean Datry, au Festival de Cannes le 22 mai. Elle vient de boucler l’avant-première de son documentaire “Lucie en Californie”, qui sera diffusé sur France 5 en juin.
“Il m’a serré dans ses bras”
Elle a posté une légende sur Instagram disant : “Quand un rêve devient une réalité”, en anglais. Le tapis rouge était dans son rêve. J’étais complètement abasourdi qu’ils m’aient laissé salir le tapis rouge. Cependant, alors que nous nous tenions au pied des marches, mon mari a dit : « mais tu rêves d’aller sur les marches ». “Sous les applaudissements du public et de Virginie Efira, il m’a pris dans ses bras et nous avons fait les deux premières marches”, vous a-t-elle raconté sur la chaîne C.
Pourtant, elle avouera qu’elle était un peu anxieuse. « J’ai consacré plus de vingt ans à y réfléchir, j’ai eu la possibilité de tout imaginer », témoigne-t-elle. Quant à “son seul regret”, Brad Pitt n’y est pas. “Mais mon mari n’est quand même pas trop mal”, répondait-elle à chaque fois qu’on lui demandait.
