Mathilde Panot Compagnon Actuel

Mathilde Panot Compagnon Actuel
Mathilde Panot Compagnon Actuel

Mathilde Panot Compagnon Actuel – Après des années de lutte contre les préjugés, la participation des femmes à la vie politique devient plus stable. Mathilde Panot n’est qu’une des nombreuses femmes marquantes qui ont contribué à façonner le monde politique. Notamment, en 2023, son nom a souvent fait la une de l’actualité en raison de son opposition à la réforme des retraites à l’Assemblée française.

L’ambitieuse et très talentueuse présidente du groupe LFI au Parlement français est connue pour sa forte personnalité et sa détermination à défendre les propositions du parti politique. Concentrez-vous sur ses antécédents familiaux, sa carrière politique et sa vie personnelle.

Les origines de Mathilde Panot

Mathilde Panot est née d’un professeur de mathématiques dans la banlieue d’Orléans, Tours, Indre-et-Loire, le 15 janvier 1989. Son père est formateur agronome. Elle est la sœur d’un orthoptiste de Nouvelle-Calédonie, d’un fonctionnaire de Bercy et d’une assistante sociale associée. Mathilde Panot était une fille exceptionnellement brillante qui a étonné tout son entourage par son génie extraordinaire lorsqu’elle était petite fille grandissant à Saint-Pryvé-Saint-Mesmin.

Les études de Mathilde Panot

Puis, en 2013, elle obtient un master en relations internationales après avoir terminé ses études en sciences politiques à l’Institut d’études politiques de Paris. Remarquable pour son engagement à grande échelle dans les luttes étudiantes organisées par l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), comme la manifestation de 2005 contre le CPE, elle est déjà connue pour ses résultats académiques.

Elle est devenue bénévole auprès d’ATD Quart monde dès l’âge de 18 ans. Puis, de 2012 à 2016, elle a été chef de projet pour l’association à but non lucratif Voisin Malin. Il a pu acquérir une solide expérience à travers ces voyages.

Une carrière politique

Son parcours politique a été marqué par les élections législatives de 2017. Dans la 10e circonscription du Val-de-Marne, Mathilde Panot a été élue déléguée. Après deux ans, elle est nommée vice-présidente du groupe LFI au Parlement français et membre de la commission développement durable au sein de la chambre. Elle a été l’instigatrice de la mise en place d’une commission d’enquête citoyenne sur l’accès à l’eau potable en Guadeloupe et la gestion alternative des forêts. C’est le charisme et la personnalité charismatique de cette femme politique qui l’ont aidée à se démarquer à l’Assemblée nationale.

Une carrière politique

Mathilde Panot est porteuse intéressée à la politique depuis son enfance. La jeune femme décide de plonger tête première dans cet univers en 2012, lorsqu’elle rejoint le Parti de Gauche, cofondé par Jean-Luc Mélenchon, après avoir coordonné différents projets associatifs. Lors de la création de la France Insoumise, elle n’a pas hésité à interagir avec cette dernière. Lors de sa campagne électorale de 2017, Jean-Luc Mélenchon, homme politique de 34 ans, a formé plusieurs groupes de soutien pour soutenir la candidature du fondateur de la France Insoumise.

Au rendez-vous, le succès de ces groupes a été. En la décrivant comme une femme créative et tenace, Jean-Luc Mélenchon n’a pas ménagé ses efforts pour la féliciter. Il prétend que c’est le genre de personne qui n’a peur de rien.

Mathilde Panot Compagnon Actuel

Ses parents sont professeur et formateur en agronomie. Durant son enfance, elle vit près d’Orléans. Elle a obtenu son doctorat en 2013 à l’Institut d’études politiques de Paris. Se dévouant à l’action altruiste, la jeune fille commence à bénévoler au sein de l’association ATD Quart Monde.

D’origine associative, elle est chef de projet pour l’association Voisin Malin, présente dans un quartier de Grigny dans l’Essonne. Elle planifie des campagnes sur certains sujets et coordonne des projets associatifs (bibliothèques de rue, ateliers théâtre…).

C’est une militante qui est descendue pour la première fois dans la rue en 2005, alors qu’elle était adolescente, en opposition au CPE. Elle rejoint le Parti de Gauche, cofondateur de Jean-Luc Mélenchon, en 2012 et reste avec lui lorsqu’il fonde La France Insoumise. Alors que Jean-Luc Mélenchon se présente aux élections en 2017, elle participe à la constitution de groupes de soutien pour se rallier à sa candidature, qu’il remportera.

Elle a été élue représentante de la 10e circonscription du Val-de-Marne le 18 juin 2017. Elle sera réélue le 19 juin 2022. En 2019, elle est élue vice-présidente du groupe LFI au Parlement français et membre de la commission du développement durable. Elle créerait notamment une commission d’enquête citoyenne pour étudier la gestion alternative des forêts et une autre pour étudier la conservation de l’eau.

Elle a été réélue à l’unanimité présidente du groupe législatif LFI le 21 juin 2022.

Depuis son élection à la présidence du groupe législatif La France Insoumise à l’Assemblée nationale en octobre 2021, elle est la plus jeune à occuper ce poste. Elle succède à Jean-Luc Mélenchon, qui lance alors sa campagne présidentielle pour 2022.

Monsieur le président, monsieur le ministre d’État, ministre de l’intérieur, monsieur le secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, madame la présidente et madame la rapporteuse de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l ‘administration générale de la République, mes chers collègues, cet article adopté en commission vise à ce qu’il soit tenu compte, ainsi que de la région dans laquelle elle a résidé pendant le temps d’examen de sa demande d’asile.
En effet, cette attention particulière que doit porter l’administration est fondamentale. Cependant, l’article nous contredit.

Si vous vous souvenez et vous consacrez à la vulnérabilité particulière des demandeurs d’asile ou des bénéficiaires de la protection subsidiaire, ne feriez-vous pas de même pour toute personne ayant fait l’objet d’une procédure devant l’Office français de protection des réfugiés et des apostats (OFPRA) ou la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) ? Non, ils ne doivent pas être soigneusement étudiés dès le début de la procédure, ni seulement à la toute fin.

Sans prendre en compte leur vulnérabilité, votre proposition législative porte atteinte de manière répétée aux garanties procédurales des demandeurs d’asile et de leurs familles, comme le souligne le Défenseur des droits. La procédure accélérée, caractérisée par des délais plus courts et des garanties moindres, est utilisée par les demandeurs d’asile et leurs tuteurs légaux, comme vous l’avez dit en commission législative, monsieur le ministre d’État.

Dans ce contexte, « en même temps » a un sens différent. La dissonance cognitive en est le nom. On ne peut pas gagner sur deux tableaux : d’un côté, construire un chemin juridique qui lutte pour les demandeurs d’asile vulnérables dans la salle d’attente, et de l’autre, affirmer, avec un vernis d’humanité, que ceux qui ont obtenu l’asile sont vulnérables. personnes. C’est tout le paradoxe de cet article.

Dumont, M. Pierre-Henri

Arrêter l’intervention

Cet amendement vise à faire connaître à la représentation nationale, ainsi qu’aux Français, nos réelles capacités d’accueil. On sait que pour accueillir dans de bonnes conditions un réfugié, ou plus généralement un immigré, il faut pouvoir l’intégrer, ce qui implique une combinaison de plusieurs facteurs : emploi, logement, liens sociaux.

Il s’ensuit qu’il faut renverser la logique qui a toujours été valorisée et selon laquelle des immigrés se présentent à nos frontières sans que la France puisse choisir leur nombre ni ajuster ses capacités d’accueil en fonction des critères que j’ai évoqués.

Ainsi, nous proposons que le gouvernement publie un rapport annuel regroupant l’ensemble de ces changements ; cela pourrait clarifier la représentation nationale et être le premier pas vers une politique d’immigration de choix actif, une politique de quotas que le parlement définirait annuellement en tenant compte des capacités d’accueil et d’intégration de notre pays.

Comme vous le savez peut-être, la France connaît un afflux massif d’immigration clandestine. les migrants, soit qui enfreignent la loi en entrant irrégulièrement sur le territoire, soit qui sont restés sur le sol français après l’expiration de leur visa initialement régulier.

En soumettant une demande d’asile, les migrants concernés peuvent éviter l’expulsion et potentiellement accéder à un logement et à un animal de compagnie, ainsi qu’éviter un reconduite à la frontière. Vous savez également que seul un faible pourcentage des demandes d’asile ou de protection est accordée, ce qui révèle que la majorité des personnes utilisant ce dépôt sont abusives et tardives.

Toutefois, la fraude à l’asile est particulièrement problématique lorsque les étrangers concernés sont déjà présents sur le territoire français. De ce fait, réunir toutes les conditions nécessaires pour les rediriger vers la frontière devient extrêmement difficile. Selon les statistiques les plus récentes, seuls 14 % des obligations de quitter le territoire français sont réellement remplies et seuls 4 % des migrants expulsés quittent effectivement le territoire français.

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