Sara Balzer Compagnon

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Sara Balzer Compagnon
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Sara Balzer Compagnon – Une batterie d’examens médicaux a été réalisée lundi matin à la réouverture de l’Insep de Vincennes sur la Strasbourgeoise de 25 ans, qui avait purgé l’intégralité de sa peine à Paris. Elle est peut-être impatiente de récupérer l’épée, mais il doit attendre de pouvoir en jouer. Même si Sara Balzer a été prisonnière à Paris pendant deux mois, elle a veillé à s’entraîner régulièrement. Elle a commencé hier ses visites médicales à l’Insep.

À qui, lorsque j’étais derrière les barreaux, j’ai le plus manqué ? Étonnantes, ces sœurs ! Oh, l’effusion de sang ! C’est une surprise que Sara Balzer veuille garder sa vie personnelle secrète, même vis-à-vis de son propre sabre court et de ses coéquipiers français au sabre. Elle aimait jouer à l’escrima, un jeu dans lequel elle empilait des objets de manière ludique.

Nous entrerons en captivité après notre retour victorieux de la Coupe d’Athènes, lorsque nous avons complètement détruit l’équipe de qualification olympique. Evoquant son passage à l’Insep, l’épéiste de 25 ans originaire de l’UC Strasbourg a déclaré : “On aurait eu droit à quelques jours de congés, donc on ne me pose pas trop de questions en ce moment”.

Au bout d’un moment, il est devenu évident que la situation était bien pire et que l’enfermement durerait beaucoup plus longtemps que prévu. Revenir à Strasbourg aurait peut-être été possible si j’avais atteint mon objectif. Même si cela m’a semblé un peu long sur la fin ! Maintenant que j’ai instauré une petite routine à Paris, je peux conclure que cette période a été globalement agréable.

Instruments de démêlage

La star des réseaux sociaux et membre de l’équipe de France a souvent informé ses 10 400 fans de son entraînement en force. J’ai découvert que m’entraîner quotidiennement était le moyen le plus utile de maintenir mon programme de cardio et de compétition. Personnellement, je ne pense pas que cela ait contribué à ma prise de poids.

Le Sabre français s’est qualifié pour les JO de Tokyo, et Sara Balzer est l’une des trois Alsaciennes de l’effectif. Le moment est venu de qualifier chacun individuellement. Elle a néanmoins profité au maximum de son premier jour de liberté le 11 mai : “J’avais juste envie de me balader, sans autorisation de sortie”.

“Je me suis rendu dehors pour quatre ou cinq heures et j’ai acheté des outils parce que je voulais monter des meubles chez moi!” elle crie. Elle a déclaré : « C’était génial de se retrouver avec quelques coéquipières pour certains sports », car son passage avec les Bleus a été bref.

“Cependant, nos instructeurs ont estimé qu’il serait prudent de nous faire passer des examens médicaux pour garantir notre sécurité”, décrit l’événement, la 39e meilleure épéiste mondiale. Elle a passé des tests ce matin-là, qui marquait aussi la réouverture officielle de l’Institut.

Puisque la présence de la maladie pouvait être indiquée par un rythme cardiaque anormal, nous avons décidé de faire un électrocardiogramme (ECG) au repos. De plus, nous avons enregistré notre poids, rempli un formulaire d’évaluation psychologique et subi un test d’effort.

Elle suit l’exemple des autres athlètes et fait tout ce qui est nécessaire car les prochaines semaines et les prochains mois seront extrêmement difficiles pour le pointage. “Il a fallu d’abord assimiler la nouvelle du rapport JO, aussi logique que soit la décision compte tenu de la situation sanitaire”, explique l’épéiste alsacienne.

Notre saison vient de se terminer et nous ne savons toujours pas quand nous pourrons rejouer. Autrement dit, jusqu’à ce que nous abordions le sujet de l’enseignement personnalisé de l’écriture, bien sûr. Notre sport est désormais interdit en raison de la croyance largement répandue selon laquelle il implique un contact physique.

Oui ou non, est-ce que l’escrime est autorisée le 2 juin prochain ? Le degré d’avancement de la pandémie en France en dépend. Au lieu de se remettre au combat qu’elle aime, Sara Balzer y retrouvera définitivement ses coéquipières tricolores, l’autre Alsacienne Charlotte Lembach et Sarah Noutcha. Nous avons hâte de nous retrouver pour le déjeuner et avons déjà pris les dispositions nécessaires. En attendant de faire les JO, ils référeront toute personne qui en a réellement besoin.

Pourquoi avoir choisi l’espionnage ?

De peur que je « copie » ma sœur, ma mère m’a d’abord empêché d’embrasser l’escrime. Ma mère était réticente à me laisser continuer, même si mon entraîneur, Philippe Nicholas, avait freiné mon talent naturel d’athlète. Mon premier concours n’a eu lieu que le troisième mois que j’ai gagné.

À ma grande surprise, j’en ai beaucoup appris. Depuis 2003, je participe avec enthousiasme au SUC Escrime. Pour réussir dans le sport, il faut une force mentale exceptionnelle en plus des qualités physiques. Son origine est un mystère. C’est à mon instructeur, Maître Philippe, que revient tout le mérite.

Sa tentative de me persuader vient de son passé de soldat. Il prend toujours du retard et son envie envers moi n’a jamais disparu. Les entraînements sont difficiles, mais dès le début, il m’a appris l’importance de ne pas abandonner, peu importe la difficulté des choses. Chaque fois que j’ai envie d’abandonner, il m’encourage à continuer.

En dehors de votre sport, avec qui d’autre sortez-vous ?

Il s’agit bien de ma mère. Elle a été mon roc contre vents et marées, m’encourageant à tout moment et donnant le meilleur d’elle-même dans mes efforts sportifs sans jamais me critiquer ni me mettre de pression excessive. Il n’y avait pas de facteur plus important que le crime. Cela se passait devant les classes du lycée.

Sara Balzer Compagnon

Concernant votre travail scolaire en particulier, elle a négligé de mentionner votre réussite scolaire. Avez-vous déjà pensé à une double formation comme solution potentielle ? À mesure que la fréquence de mes fautes d’orthographe et de grammaire augmentait au cours de ma première année de terminale, mon humeur et mes résultats scolaires se sont effondrés.

Faire la différence entre les deux était un défi pour moi. Cela dit, elle était un peu anxieuse. Malgré cela, ma mère était assez critique à l’égard de mes notes et me pressait sans cesse de terminer l’année scolaire. Après avoir obtenu mon bac, j’ai essayé le STAPS, mais ça n’a pas marché. Suite aux conseils de mes parents, je suis étudiante à l’INSEP, programme de psychologie en ligne, depuis 2013.

Augusto Bizzi de FFE-Augusto a pris les photographies.

Depuis que ma mère a suivi des cours de coaching, je pense suivre ses traces. En tant qu’athlètes, nous avons vraiment des coachs mentaux. Vous apprenez de nouvelles choses, et d’autres personnes aussi. Le fait que personne ne semble s’y intéresser ne m’empêche pas de le trouver fascinant. Je n’ai jamais manqué un événement olympique.

Rien n’a changé dans cet objectif. Rester calme et concentré est quelque chose pour lequel mes études m’ont aidé. Cela m’a énormément aidé dans la gestion de mes relations, dans la conquête de mes angoisses et de mes inquiétudes et, de manière générale, dans mes performances à un niveau supérieur dans mes jeux.

Après un exercice, avez-vous prévu quelque chose ?

Mon travail idéal serait de travailler pour une entreprise en tant que psychologue. Sur le terrain, vous trouverez plusieurs portes qui s’ouvrent à vous. De manière générale, vous sentez-vous soutenu par votre double-projet ? Est-il prévu d’aller à l’université en STAPS, de visiter l’INSEP, de visiter Strasbourg, puis de retourner au lycée ?

En tant qu’élève du secondaire, j’ai trouvé cela délicat. Malheureusement, tous les professeurs et l’administration n’ont pas été compréhensifs lorsque j’ai demandé un congé ou que j’ai eu des problèmes de transport. Grâce aux cours par correspondance proposés à l’INSEP, je pourrai mieux concilier mes responsabilités académiques et sportives.

Lors de votre pratique sportive, qui vous soutient ?

Une partie de ma formation a été généreusement soutenue par la Fédération française des écrivains. Je suis satisfait du matériel et des compétitions, malgré leur coût élevé et leurs remplacements réguliers. Même si j’ai eu la chance d’obtenir à l’occasion des subventions régionales et municipales, mon succès est en fin de compte déterminé par ma performance.

Considérez le prix élevé qui peut accompagner une saison complète de la Coupe du Monde. Sans ces ressources, ni la compétition ni l’avancement professionnel dans ce domaine ne seraient possibles. Lors des Jeux olympiques d’été de 2016 à Rio de Janeiro, le gouvernement français a lancé le Pacte Performance pour faciliter la mise en relation d’athlètes d’élite avec des entreprises en recherche de sponsoring ou de partenariats.

À l’inverse, seuls les meilleurs athlètes du pays étaient les bienvenus dans ce programme. Quatre escrimeuses sur douze de mon groupe se sont vu confier ces partenariats. En tant que remplaçant des Jeux, je n’ai pas pu accéder à cette zone du site. Avez-vous des exigences particulières ? Je me demandais si vous aviez d’autres intérêts ou passe-temps.

Les animaux et le monde naturel bénéficient de tout mon soutien. Solida’Rio est une initiative brésilienne qui fait appel à des sportifs professionnels pour sensibiliser les enfants défavorisés à l’océan et à d’autres merveilles naturelles ; J’aimerais aussi m’impliquer avec eux.

En quelques lignes, comment décririez-vous votre personnalité ?

Balzer, Sara : Bonjour ! Originaire de Strasbourg, France, je m’appelle Sara Balzer. Je suis une gymnaste de 26 ans qui vient de décrocher une place aux Jeux olympiques d’été de 2021 à Tokyo. Je suis tombé éperdument amoureux d’écrire alors que j’avais à peine huit ans et je n’ai jamais arrêté depuis. Depuis que mon rêve est devenu réalité il y a quelques années, mon entraînement s’est concentré sur la participation aux Jeux olympiques.

FDS : Par rapport à d’autres types de sports, qu’est-ce qui différencie le tir ?

Balzer, Sara : Même si je m’intéressais à beaucoup de choses quand j’étais enfant, le tir restait mon favori en raison du défi qu’il représentait en combinant capacité physique et agilité mentale. Mon niveau de motivation déjà élevé a été amplifié par la rapidité avec laquelle j’ai terminé sur le podium.

Question de FDS : Comment se déroule la formation ?

Balzer, Sara : À l’INSEP de Paris, je participe au programme d’entraînement de l’équipe de France depuis 2013. Pendant la semaine, du lundi au vendredi, je m’entraîne deux fois. Vingt heures par semaine, c’est le calcul approximatif.

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