
Valérie Hayer Parents – Première heure de marche, vingt et unième La création 2017 de “En marche presque à sa création” a été attribuée à Valérie Hayer. Durant cette période, elle était membre de l’Alliance centriste, un parti créé par son mentor politique affilié à l’UDD, Jean Arthuis.
Dès sa décision de rejoindre Emmanuel Macron, elle imite ses gestes. Depuis les élections européennes de 2014, Valérie Hayer est très impliquée au sein du centre. Pour diriger sa propre liste aux examens européens en juin prochain, le président de la République a sélectionné neuf ans plus tard ce proche collaborateur de Stéphane Séjourné et Gabriel Attal.
Elle est passée maître en matière d’argent et de budget.
Après avoir obtenu son J.D., Valérie Hayer devient experte en finance communautaire. Jean Arthuis a déclaré à Public Sénat qu’elle avait “à un moment imaginé être consultante sur les questions financières et budgétaires” avant d’être élue. Elle a travaillé sur le programme européen d’allégement de la dette de 750 millions d’euros et est actuellement coordinatrice de la commission du renouvellement des budgets au Parlement européen.
“Elle a fait un travail formidable” pendant la durée du plan de remboursement de 750 millions d’euros et de sa conditionnalité, a remarqué sa collègue Fabienne Keller, toujours présente devant le Public Sénat, saluant ses efforts sur le budget européen.
Le poivre de Mayenne. LREM. La femme qui accède au poste de déléguée européenne Valérie Hayer Valérie Hayer, déléguée européenne, est originaire de Saint Denis-D’Anjou, en Mayenne, où elle a passé son enfance. Au Parlement européen, elle trace son avenir politique en tant que coprésidente du parti Renaissance.
En tant que membre du groupe Renaissance au Parlement européen, Valérie Hayer représente le parti politique La République en marche. Débutant sa carrière politique à Saint Denis d’Anjou (Mayenne), la dame de 35 ans devient par la suite coprésidente de la délégation Renaissance. Un nom important à retenir qui pourrait résonner dans les mois à venir.
Valérie Hayer a grandi à Saint Denis d’Anjou, où elle est aujourd’hui conseillère municipale à l’âge de onze ans. Mes parents sont agriculteurs et mon frère y vit actuellement. Après avoir terminé ses études universitaires à Grez-en-Bouère, elle poursuit ses études de droit public à Angers et Paris.
Il commence à développer les qualités nécessaires au leadership dans sa commune. Le maire de Saint Denis d’Anjou, Roger Guédon, lui a proposé de se présenter au conseil municipal en 2008, alors qu’elle n’avait que 21 ans. Parallèlement à son mandat municipal, la jeune mayennaise exerce actuellement les fonctions de vice-présidente du conseil départemental de la Mayenne et est devenue une conseillère départementale en 2015.
Valérie Hayer a débuté sa carrière politique avec le soutien de l’UDI. Emmanuel Macron est devenu son allié peu de temps après, en 2016. “C’était une évidence pour moi, c’est le véritable axe de son programme et de son engagement européen”, commente-t-il. Symboles sacrés gravés sur la surface.
Elle sera investie de l’investiture d’En marche en 2017 et présentée au parlement. L’arrangement entre en Marche et le Modem aide Géraldine Bannier aux dépens de la Dyonisienne. Elle déclare : « J’ai appris beaucoup sur moi et sur la politique » ces jours-ci, notamment en matière politique.
A chaque fois qu’elle s’adresse aux Sénatoriales, “l’idée d’être utile à la Mayenne” lui vient à l’esprit. Elle arrive en troisième position lors de la première étape. Une vraie surprise. Elle se présentera de nouveau aux élections européennes de 2019 en tant que candidate d’En Marche. Pour moi, c’était une autre étape pour maintenir mes fiançailles en vie. Elle est maintenant en position d’être sélectionnée.
L’UE doit devenir plus accessible à ses habitants.
Elle quitte son poste de conseillère municipale et suit un nouveau mandat obsessionnel : elle doit rester dans sa propre région. C’est en Mayenne que je me suis installé. Établir des relations avec les chefs d’entreprise et les agriculteurs est essentiel.
Le rôle du délégué européen est souvent perçu par les électeurs comme vague et flou. Valérie Hayer espère “l’incarner” en restant sur le terrain. Je ne suis pas fan de l’Europe sous sa forme actuelle. Elle a besoin d’être plus proche des gens, c’est pourquoi j’essaie d’y parvenir.
Superviser les ressources financières de la commission Renew
Elle assume assez facilement le rôle de coordinatrice de la commission budgétaire du groupe centriste Renew au Parlement européen. Elle présidera l’Association pour une renaissance européenne, qu’elle a cofondée au printemps 2021. Nous comptons aujourd’hui 6 500 abonnés. Des associations départementales furent créées. L’une est en Sarthe et l’autre en Mayenne.
« L’association » soutient le programme politique européen d’Emmanuel Macron. Les interventions et leurs effets sur le terrain sont décrits. Quelque 40 % des adhérents « n’ont pas d’engagement politique », comme s’empresse de le souligner la Mayennaise.
Avoir l’opportunité d’être députée au Parlement européen apporte une immense joie à Valérie Hayer, coprésidente du parti “Révolution”, alors que la France assure la présidence de l’Union. Il n’y a jamais eu de meilleure occasion d’accélérer les dossiers majeurs et de poursuivre les conversations. L’occasion de remettre en lumière une institution qui paraît elle aussi indestructible.
La Mayennaise occupe actuellement le poste de coprésidente du groupe Renaissance au Parlement européen. L’Union européenne sera un acteur majeur de la campagne présidentielle, elle en est certaine. Au moment où Emmanuel Macron déclare sa candidature, les Mayennaises sont prêtes à rejoindre sa campagne.
En échangeant les rôles, ces agriculteurs mayennais ont déclaré à Valérie Hayer : “si on peut passer un message…” Pour sa première tournée de campagne, le vendredi 1er mars 2024, Valérie Hayer, tête de liste Renaissance aux élections européennes du 9 juin 2024, a visité une exploitation agricole à Chémeré-le-Roi (en Mayenne). Le moment est venu pour les producteurs laitiers de profiter de ce pour quoi ils ont travaillé si dur.
À l’approche des élections européennes, personne ne sait qui dirigera la campagne présidentielle. Cependant, les choses pourraient bientôt commencer à s’aligner. L’eurodéputée Valérie Hayer est largement considérée comme la favorite à la tête de la majorité macroniste, selon de nombreux proches de l’exécutif interrogés par La Tribune Dimanche.
Après la promotion de Stéphane Séjourné au poste de ministre des Affaires étrangères, l’hebdomadaire rapporte que Valérie Hayer, l’actuelle dirigeante de l’organisation centriste Renew Europe, sera prochainement nommée au Parlement européen.
Macron a pris une décision.
Emmanuel Macron a annoncé samedi au Salon de l’agriculture avoir retenu le candidat dont la nomination officielle “va venir”. le Rassemblement national étant le premier à le faire. . Ce groupe est favorable à l’examen et a libéré Jordan Bardella en septembre.
Le 9 avril, coup d’envoi de la campagne
Valérie Hayer, 37 ans, originaire de Mayenne, descend d’une longue lignée d’agriculteurs qui exploitaient les terres autour de Saint-Denis-d’Anjou. Son adhésion à l’UDI a duré plusieurs années; en 2017, elle rejoint En Marche ; en 2019, elle a été élue à Bruxelles ; et actuellement, elle travaille comme collaboratrice législative avec Jean Arthuis, ancien ministre et eurodéputé.
De nombreux proches d’Emmanuel Macron se sont déjà prononcés contre cette idée – le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, Jean-Yves Le Drian, Richard Ferrand, Julien Denormandie et d’autres – et sa défection annoncée serait donc un soulagement bienvenu.
Tenter de renverser les pronostics défavorables à l’issue du scrutin du 9 juin sera un défi pour Valérie Hayer, malgré son manque de notoriété. Lors du prochain scrutin, entre seize et dix-huit pour cent des électeurs s’attendent à voter, ce qui place la liste majoritaire à dix points du RN, selon les sondages. Pendant ce temps, Renaissance et ses alliés du MoDem et d’Horizons ont annoncé le début de leur campagne lors d’une conférence à Lille le 9 mars.
Valérie Hayer a été désignée candidate aux élections européennes du 9 juin 2019 par le bureau exécutif de Renaissance. Jeudi, l’intéressé a formellement tranché dans Le Figaro. Le défi de réduire l’influence du Rassemblement national lui incombera alors qu’elle dirigera une liste de candidats de Renaissance et de ses partisans au MoDem, Horizons et au Parti radical.
Même s’il avait obtenu un score plus élevé cinq ans plus tôt, le Rassemblement national a été déclaré grand vainqueur du scrutin avec le même nombre de sièges (23). Valérie Hayer fait l’objet des cinq points suivants : Elle a 37 ans, est originaire de Mayenne et est eurodéputée depuis 2019.
Au Parlement européen, elle est représentante du groupe Renew. Malgré son obscurité, Valérie Hayer dirige le troisième groupe politique au Parlement européen, Renew Europe. Elle devient ministre française des Affaires étrangères et de l’Europe le 25 janvier, succédant à Stéphane Séjourné.
En tant que collectif, ses 102 députés représentent 24 nations. Pour diriger le groupe centriste au Parlement européen, elle succède à Simone Veil, une autre femme. Quelques jours seulement avant son élection, Valérie Hayer avait déclaré sa volonté de protéger les « valeurs fondamentales » de l’Europe de « l’extrême droite » lors des prochaines élections européennes.
Elle venait d’une longue lignée d’agriculteurs.
Valérie Hayer n’a pas caché son enfance dans une ferme mayennaise proche de Saint-Denis-d’Anjou, alors même que les agriculteurs ont exprimé pendant des mois leur colère et leur embarras. Elle n’a pas réussi à accéder à des fonctions sénatoriales et parlementaires.
Valérie Hayer est élue depuis l’âge de 21 ans. Elle est députée européenne depuis 2019, après avoir été conseillère municipale de Saint-Denis-d’Anjou de 2008 à 2019, et conseillère départementale de la Mayenne de 2015 à 2021. Cependant, ses efforts pour accéder aux deux chambres du Parlement français ont été vains.
Elle a été élue dans la deuxième circonscription de Mayenne en 2017 par En marche, mais elle a dû se retirer pour laisser la place au MoDem Géraldine Bannier. En septembre 2017, elle s’est présentée au poste de sénatrice en tant que candidate du parti présidentiel ; elle accède au second tour, mais est battue par LR.
