Jean-François Kahn Rachel Khan Compagnon

Jean-François Kahn Rachel Khan Compagnon
Jean-François Kahn Rachel Khan Compagnon

Jean-François Kahn Rachel Khan Compagnon – Viroflay, Seine-et-Oise est la ville natale de l’écrivain et essayiste Jean-François Kahn le 12 juin 1938. De 1984 à 2007, il est rédacteur en chef de l’information hebdomadaire Marianne, qu’il a fondée en 1997.

L’histoire de ma vie

Lectures complémentaires sur le thème : La famille Kahn. Le philosophe Jean Kahn-Dessertenne (1916-1970) et Camille Ferriot (1914-2005) ont eu un fils nommé Jean-François Kahn. Axel Kahn (1944-2021) et Olivier Kahn (1942-1999) sont ses frères et sœurs et il est issu d’une longue lignée de scientifiques. Il a eu deux épouses avant Rachel Assouline-Kahn et une autre après elle, ce qui fait de lui le parent de trois enfants. Pour lui, l’Yonne, c’est comme chez lui.

La famille de ses parents est originaire de Mussy-sur-Seine dans l’Aube. C’est dans la maison voisine de leur maison rurale que se sont rencontrés le grand-père Paternel André Kahn et sa future épouse Blanche Sismondino. C’était un avocat juif alsacien.

Avant d’échapper à l’antisémitisme dans sa nouvelle vie, son épouse, une institutrice d’origine suisse-allemande, enseignait à l’école du village. Dans cette région, son grand-père était un petit artisan du bois. Jacques Maurice Dessertenne, artiste célèbre et l’un des seconds maris de ses arrière-arrière-grands-mères, a illustré de nombreux volumes de l’encyclopédie Larousse.

La mère de Jean-François Kahn, Ferriot, fervente catholique, reprend son nom de jeune fille lorsque l’Occupation est en cours. Il utilise à nouveau son nom de naissance à la fin des années 1950. A proximité, rue des Plantes à Paris, lui et sa famille résident, et son père dirige l’école privée Godéchoux.

Après le divorce de ses parents en 1954, Jean-François et ses deux jeunes frères restent avec leur mère, le laissant comme enfant unique. En 1957, sa mère a frôlé la mort alors qu’elle luttait contre la tuberculose ; elle a passé un an dans un sanatorium en convalescence. Son père s’est suicidé le 17 avril 1970.

Carrière

Tout comme son célèbre père avant lui, Jean-François Kahn a suivi les traces de son père en obtenant un baccalauréat en histoire. Il a ensuite rejoint le Parti communiste et y a servi pendant deux ans, devenant finalement imprimeur, agent de triage et journaliste.

En 1959, il couvre la guerre d’Algérie pour Paris Presse l’Intransigeant. En 1964, il devient reporter au Monde et à L’Express. Enquêtant en tant que journaliste sur le scandale Ben Barka, lui et Jacques Derogy ont eu l’idée de protéger les sources des journalistes. En 1966, il commence à faire des reportages pour L’Express d’An Khê (en) sur la guerre du Vietnam.

Il débute sa carrière en 1971 comme rédacteur à Europe 1, puis en 1977 il devient directeur de la rédaction et prend la direction des Nouvelles littéraires. Il a animé plusieurs talk-shows politiques, dont L’Heure de vérité, à la télévision française de 1970 à 1980. Tout au long des années 70, il préside l’émission France Inter.

Dans Chantez-le moi, émission de France Inter des années 1980, et avec tambour et trompette, il démontre sa connaissance et son appréciation de la chanson française. Marianne, un mensuel d’information, et L’Événement du jeudi (1984), qu’il a dirigé jusqu’en 2007, a continué à paraître avec une rubrique intitulée « Bloc-notes » jusqu’en 2011, comptent parmi ses nombreux crédits d’écriture dans des magazines.

Sur la chaîne Première de Radio-Canada, il est un invité régulier de Samedi et rien d’autre de Joël Le Bigot, une émission de radio où il critique et analyse l’actualité politique française et européenne. Parmi les identités qu’il utilise pour signer ses interventions figurent P.M.O., Thomas Vallières et François Darras [réf. nécessaire].

Ses apparitions surprises quotidiennes dans l’émission d’affaires publiques C dans l’air de France 5 sont légendaires. Alors que le procès Dominique Strauss-Kahn était en cours en mai 2011, celui-ci affirmait qu’il ne s’agissait que d’un “troussage de domestique” et qu’il était “pratiquement certain” qu’aucune tentative de violence n’avait eu lieu.

Après cela, ils commencent à l’accuser de faire preuve de « solidarité de caste » et de ne pas connaître la différence entre un « trousseau » et un acte agressif. Des personnalités françaises de premier plan ont dénoncé ses propos.

À la lumière du caractère « inacceptable » du terme « troussage » et des excuses publiques qui ont suivi, de sa démission du journalisme et des réactions négatives suscitées par ses suggestions, il prend du recul. Malgré le temps qui passe, il continue de rédiger une chronique hebdomadaire pour le journal belge Le Soir.

Il qualifie son livre de 2014 “L’Horreur médiatique” de “brûlé” des médias et affirme qu’ils ont été la cible d’une “pensée unique” qui a conduit au rejet populaire et à une recrudescence de l’extrémisme. De temps en temps, lui et Marianne travaillent ensemble au sein des tribunaux.

Pour couronner le tout, il écrit toujours pour le quotidien Le Soir en Belgique et signe occasionnellement des reportages pour l’hebdomadaire Le Point. A bord, les frères Kahn, Jean-François et Axel, qui travaillent pour les médias.

La maison ancestrale des grands-parents de Jean-François et Axel Kahn était Mussy-sur-Seine dans l’Aube. L’écrivain dont les articles étaient aussi appréciés que leurs lecteurs – l’auteur du mensuel “Marianne” – et le brillant généticien devenu président de la Ligue contre le cancer – une organisation où l’éthique était le cheval de bataille – parlent sans prétention.

La matinale économique « Radio classique » comprenait une chronique écologique quotidienne de février à mai 2023, écrite et éditée par Rachel Khan. La chaîne a rompu tout lien avec un certain nombre de ces colonnes après avoir découvert qu’elles avaient plagié soit des épisodes entiers, soit des articles de presse. Une confrontation entre la rédaction et la direction a lieu devant Arrêt sur images, où Rachel Khan exprime son mécontentement face au manque d’assise de l’article et assume sa responsabilité financière.

Jean-François Kahn Rachel Khan Compagnon

Est-il vrai que le recyclage des journaux sauvera le monde ? Cela peut se produire, par exemple, en écoutant l’article de l’éditorialiste Rachel Khan du 24 avril 2023 sur Radio classique. François Geffrier, l’animateur, lui demande : “Est-il préférable de prendre une douche ou un bain ?” vers 6 minutes et cinquante-quatre secondes.

Selon Khan, il existe deux types de personnes dans le monde : celles qui aiment prendre un bain et celles qui préfèrent prendre une douche. C’est un sujet cher à Guillaume Durand, qui était à l’époque directeur de l’information de Radio classique (ndlr) et avec qui il échangeait régulièrement.

Enfin et surtout, la dynamique de l’action amène toujours la détente des déviés. Khan ajoute un peu plus : “Mais si on est vraiment écolo pur et dur, on préfèrera la troisième voie, c’est-à-dire la toilette de chat, la toilette au lavabo à 200 litres pour un bain.

Environ douze mois avant le post de Rachel Khan, le 16 décembre 2021, Aline Perraudin écrivait pour RTL une chronique qui ressemble beaucoup à cette pièce en deux volets. Je vous résume la chronique de Perraudin : « Écoutez, le monde est divisé en deux types de personnes : ceux qui aiment les douches et ceux qui préfèrent les bains », ferais-je remarquer si j’étais le Clint Eastwood des toilettes.

Les personnes sans contrat ont la liberté de se détendre quelles que soient les circonstances. Deux points de vue… En revanche, tout individu a ses avantages et ses inconvénients. Sur l’échelle écologique, la douche semble arriver en deuxième position.

Mais la troisième option – utiliser un gant pour tirer la chasse d’eau – utilise beaucoup moins d’eau, c’est donc le meilleur choix pour les personnes très soucieuses de l’environnement. Pour toute la consommation d’eau (150 à 200 litres pour un bain, 60 litres pour une douche de cinq minutes), il y a un léger avantage à prendre un bain plutôt qu’une douche. Hormis quelques modifications structurelles et une poignée de phrases « originales », la chronique de Khan est essentiellement identique à celle de Perraudin.

Demain, AFP, Wikipédia, The World News, et

De plus, l’ASI a découvert d’autres plagiats de la part de celui qui est devenu en seulement deux ans une figure majeure de l’universalisme : en 2021, nous dévoilerons le portrait de ce personnage hybride, ancien sportif de haut niveau, consultant politique, responsable associatif, auteur et scénographe, devenu une canaille médiatique, de LCI au Figaro.

Mec, on retrouve toutes les chroniques de Rachel Khan sur le site de Radio classique. Quel désolé. Cependant, avec l’aide du Web Archive, nous avons réussi à en restaurer certains. Seize des vingt-huit colonnes corrigées par l’ASI au premier semestre 2023 étaient des cas évidents de paraphrase ou de citation du travail d’autrui.

Permettez-moi de le répéter : je n’ai pas réussi à créditer les auteurs originaux. L’article pourrait être écrit façon RTL, sur les super coraux de la mer Rouge dans le Monde (chronique du 7 avril), sur l’avenir de la viticulture dans l’Humanité (chronique du 31 mars), sur la diplomatie du Panda dans Wikipédia (chronique du 19 avril), ou encore des coupures de l’AFP réutilisées par d’autres médias, comme celle-ci sur la fin du programme nucléaire allemand (qui constitue la quasi-totalité de sa chronique du 14 avril).

En fait, Rachel Khan soutient une entreprise qui vend des cartes-cadeaux pour des produits respectueux de l’environnement et socialement dans un article qui sera publié le 17 mai. Ils ont volé les deux premières minutes (jusqu’à deux minutes trente secondes) et presque chaque mot d’un article des Echos, une rubrique sponsorisée par Enedis, au lieu d’écrire leur propre rubrique jeu vidéo le 21 avril.

En 1938, un journaliste nommé Jean-François Kahn entre dans ce monde. Il a obtenu un emploi dans l’industrie de l’imprimerie après avoir obtenu une licence en histoire. Sa brillante carrière de journaliste démarre avec son envoi pour couvrir la guerre d’Algérie.

Une enquête sur le scandale Ben Barka a été ouverte à la demande de Jean-François Kahn. Il est employé par de nombreux médias, dont Paris-Presse, L’Express, Europe 1 et Le Monde. Le poste de directeur de la rédaction des Nouvelles Littéraires lui est confié en 1977, et il l’assume en 1983.

Jean-François Kahn dirige l’hebdomadaire d’information Marianne depuis ses débuts en 1997. Dans le même esprit , Kahn produit simultanément Événement du Juudi.Jean-François Kahn était un écrivain français politiquement engagé et controversé. Ses œuvres incluent Tout changement parce que rien ne change. Le voyage de retour vers le monde natal de Djid Salutations, Andrew !

Donner un aperçu de la théorie de Fayard sur l’évolution sociale (1994/2006). Comme deux frères, Critique de la raison capitaliste, Les Rebelles : Celles et ceux qui ont dit non, Le Camp de la guerre, Ce que Marianne en pense, Mille et une nuits, Fayard, Plon, Victor Hugo, un révolutionnaire, 2001, et Victor Hugo, un révolutionnaire, 2002 sont toutes des œuvres de Victor Hugo. Mentionnons également les visions du souvenir et du croisement (Stock, 2006) et les bulgorates (Fayard, 2006).

La ville française de Viroflay a été le lieu de naissance de Jean-François Kahn le 12 juin 1938. Il est né du philosophe Jean Kahn-Dessertenne et du chimiste Olivier Kahn ; son frère Axel Kahn est généticien. Sa carrière de journaliste débute une fois sa licence obtenue. Il découvre qu’il est bon en journalisme après avoir travaillé dans un bureau.

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