Marie-José Pérec Et Son Mari – La star du sport Marie-José Pérec est une fière maman et une habituée de la nouvelle émission quotidienne Aux Jeux, citoyens ! depuis le 24 juillet. Gala vous propose d’en apprendre davantage sur sa vie secrète loin des plateaux.
Avec la nouvelle émission quotidienne Aux Jeux, citoyens !, Marie-José Pérec est à l’antenne de France 3 depuis lundi 24 juillet. Théo Curin, vice-champion du monde handisports, Céline Dumerc, vice-championne olympique de basket-ball, la nageuse Laure Manaudou et la boxeuse Sarah Ourahmoune sont tous à l’honneur dans cette émission diffusée chaque semaine à 20h40. Dans un an, dans le cadre des prochains JO de Paris, les athlètes interagiront pas à pas.
L’occasion d’en apprendre davantage sur l’athlète de 55 ans, qui peut se targuer d’être la seule Française à avoir remporté trois médailles d’or olympiques dans son sport. L’ancienne athlète Marie-José Pérec est aujourd’hui consultante et journaliste après avoir pris sa retraite de l’athlétisme de compétition en 2004.
Son amour du sport ne s’est jamais démenti et elle a obtenu en 2007 un diplôme de management du sport à l’Essec. Elle est devenue l’heureuse maman d’un petit garçon trois ans plus tard. En effet, Marie-José Pérec a eu son premier enfant le 30 mars 2010, à l’âge de 41 ans, grâce à son pseudonyme Nolan.
Elle a un enfant issu de sa relation avec son compatriote athlète Sébastien Foucras. à l’âge de 52 ans, il décide de se concentrer sur le ski acrobatique et remporte depuis plusieurs médailles, notamment aux Jeux olympiques d’hiver de 1998,
Une famille heureuse résidant en Corrèze
L’associé de Marie-José Pérec est à la retraite depuis vingt-cinq ans. Après avoir accueilli leur premier enfant, cette femme avait accepté de figurer dans les colonnes de Gala. Pendant ce temps, elle nous a raconté qu’elle et son mari avaient décidé de ne pas connaître le sexe de leur enfant à naître.
Au moment de sa naissance, en milieu de matinée dans une clinique parisienne, le petit garçon était en parfaite santé, mesurant 50 cm et 3,2 kg. Les heureux parents ont acheté une propriété à Curemonte, en Corrèze, comme le révélait La Montagne le 4 septembre. Chaleureux et accueillants, ils avaient invité les villageois au centre du hameau pour faire connaissance.
Marie-José Pérec a évoqué sa maternité et son quotidien dans un entretien à Nice Matin. “Madame tout le monde” mène désormais une vie très paisible d’ancienne championne d’athlétisme. Longtemps inégalable sur les pistes, elle restera dans l’histoire comme l’une des plus grandes athlètes françaises.
Marie-José Pérec est une star avec trois médailles d’or aux Jeux Olympiques. Elle a brillé dans les années 1990 avant d’annoncer sa retraite en 2004 en raison de plusieurs problèmes de santé qui l’ont empêchée de performer à son apogée au cours de ses dernières années. Athlète qui occupera toujours une place à part dans le cœur des Français, elle a été officiellement intronisée dans la classe “Légende du sport” lors d’une cérémonie organisée au Musée National du Sport de Nice il y a peu.
Nice-Matin, journal local, a pu s’entretenir avec la Guadeloupéenne après sa retraite sportive et interviewer Marie-José Pérec, qui en a profité pour l’interroger. Notamment en 2019, dans l’émission Mas Singer de TF1, mais au-delà de cette apparition médiatique, l’ancien athlète de 53 ans a réussi à garder un rythme de vie simple. Elle a un fils, Nolan, né en mars 2010, avec son partenaire Sébastien Foucras.
Comme d’autres mères, j’emmène mon petit-enfant à l’école tous les matins et j’assiste aux conférences parents-professeurs. L’ancienne championne essaie de vivre une vie proche de ses rêves, même si elle est toujours aux prises avec les retombées de son glorieux passé.
Avant de conclure par une phrase qui traduit bien son état d’esprit, elle explique : “En fait, je suis comme ‘Madame tout le monde’ et ça me va très bien.” Elle poursuit : “Parfois, mon passé empiète encore un peu sur mon quotidien, mais comme toutes les mamans, j’emmene mon gamin à l’école tous les matins, je participe aux réunions de parents d’élèves, etc.”
Suite à son succès en tant que mère, Épanouie Pérec a décidé qu’elle n’avait plus besoin d’être au centre de l’attention médiatique et préférait mener une vie tranquille, à l’abri des regards indiscrets. Le couple a invité les habitants du centre du village, en toute simplicité, afin de faire connaissance.
La superstar d’un athlète
Elle est la seule athlète française à avoir remporté trois médailles d’or olympiques la même année (Barcelone et Atlanta), la deuxième à l’avoir fait aux mêmes Jeux olympiques juniors, la première (mixte) à remporter le titre du 400 mètres à deux reprises consécutives. Jeux olympiques juniors et champion du monde en titre dans la même épreuve à deux reprises. Bref, elle est l’athlète française la plus brillante.
Marie-José Pérec a fait ses débuts dans le sport lorsqu’elle était petite. Après avoir été recommandée par son professeur d’EPS à Basse-Terre, Marie-Jo, qui a été élevée par sa grand-mère Éléonore en Guadeloupe, s’installe à Paris pendant son adolescence.
Marie-José Pérec a débuté sa carrière sportive dès son plus jeune âge. Marie-Jo, qui a été élevée par sa grand-mère Éléonore en Guadeloupe, s’installe à Paris pendant son adolescence sur recommandation de son professeur d’EPS à Basse-Terre.
Peu de temps après que Colette Besson soit devenue la deuxième Française à remporter la médaille d’or du 400 mètres aux Jeux olympiques, la reine du sprint en titre Marie-José Pérec a suivi ses traces. L’événement a eu lieu à Barcelone en 1992, précisément vingt-quatre ans après l’exploitation de sa sœur aînée par la JO du Mexique. Avec un doublé sur 200 et 400, la native de Basse-Terre reconstitue son succès de 1996 à Atlanta.
Au total, trois titres mondiaux et deux titres européens ont été remportés par la gazelle. Avec un nouveau record de France de 49,13 secondes, Marie-José Pérec a battu le record aux Championnats du monde de 1991 à Tokyo, réalisant la huitième meilleure performance de l’histoire de l’athlétisme. Les records d’athlétisme enregistreront à jamais son triomphe.
Marie-José Pérec a établi un record qui n’a plus été battu depuis 1993 lorsqu’elle est devenue la première Française à courir le 200 mètres en moins de vingt-deux secondes (21,99). Le seizième et dernier élément de son palmarès personnel est son record de France du 400 mètres en 48,25 secondes, qui attend également d’être dépassé. En 1998, après avoir contracté le virus Epstein-Barr, elle a commencé à éprouver des difficultés cardiaques. Son développement sur les pistes a été limité par cette maladie jusqu’en 1999.
Mais aux JO de Sydney, la carrière de Marie-José Pérec prend un tournant radical. Le 20 septembre 2000, la veille de l’épreuve inaugurale du 400 mètres, le monde sportif prend la décision de vivre indépendamment des médias. Selon elle, ses expériences traumatisantes en Australie ont été exacerbées par son sentiment d’être menacée et par ses affirmations ultérieures selon lesquelles elle avait été victime d’une tentative d’invasion dans sa chambre d’hôtel pendant cette période.
Marie-José Pérec a plongé tête première dans sa vie d’appartement parisien, sa Guadeloupe natale et les États-Unis (pays de naissance de son ancien partenaire de course, Anthuan Maybank). Elle est restée discrète pendant près de deux ans. Son livre de 2008, Rein ne sert de courir, détaille sa tentative d’évasion.
Sébastien Foucras, ancien champion de ski, entretient une relation engagée avec Marie-José Pérec depuis sa retraite du ski de compétition en 2004. Tous deux sont aux États-Unis. Le fils du couple, Nolan, est né des deux sportifs en 2010. Le président de la ligue athlétique guadeloupéenne a été nommé officier de la Légion d’honneur en 2013 par François Hollande.
La triathlète française Marie-José Pérec a mis au monde un fils mardi matin, selon son ami Sébastien Foucras. Les joyeux parents d’un nouveau-né originaire de région parisienne sont Marie-José Pérec et Sébastien Foucras, vice-champion olympique de ski acrobatique en 1998.
Pérec est la seule athlète féminine à avoir remporté trois médailles d’or aux Jeux olympiques ; elle l’a fait au 400 mètres à Barcelone en 1992 et aux 200 mètres et relais 400 mètres à Atlanta en 1996. Pérec a 41 ans et vient de France. En 2004, à l’âge de 36 ans, une ancienne skieuse surnommée « la gazelle » prend officiellement sa retraite du sport.
Vous pouvez facilement partager des articles en cliquant sur les icônes de partage situées en haut à droite de chacun. Étonnamment, Anthuan Maybank intervient : « Une question sur Marie-Jo, et l’interview est terminée. » Néanmoins, la coureuse américaine qui s’entraîne avec Marie-Jo Pérec s’est récemment classée deuxième des séries du 400 mètres aux championnats américains de qualification pour les JO de Paris du 23 au 31 août (jeudi 19 juillet).
Alors, il parle spontanément de lui et elle avec un sourire amoureux. Oui, sa bien-aimée, qui s’était déjà engagée à revenir cette saison, est absolument époustouflante – et cela veut dire quelque chose, étant donné qu’elle n’a pas pris une seule photo. Dans ce stade bondé de l’Université de Stanford, essaie-t-elle de se cacher ? La triple championne d’or olympique semble lui avoir fait part de son étrange et inquiétant béguin.
Le changement des saisons
Anthuan Maybank est restée fidèle à sa parole et a passé deux saisons sans scandale depuis la tragédie des Jeux olympiques de Sydney. Marie-Jo Pérec a affirmé avoir été victime d’une effraction dans une chambre d’hôtel et le duo a quitté l’Australie avant le début de la course de 400 mètres. “Je m’entraînais, j’étais en forme, assure-t-il, mais l’envie de compétition n’était plus là.”
Comme son collègue, Anthuan Maybank s’entraîne actuellement à San Diego avec l’entraîneur national Brooks Johnson. Bien qu’il ait enduré l’escalade dévastatrice de Singapour et les inondations dévastatrices de Sydney, il sort triomphant après une violente altercation avec un caméraman trop zélé.
Les dégâts que cela a causés à la réputation de Marie-Jo en France me font regretter de ne pas l’avoir fait. Puisque le journaliste lui a fait plus peur qu’il ne s’est inquiété lui-même, il dit que c’était lui qui voulait le plus lui faire peur. Il persistait à s’approcher de trop près de Marie-Jo malgré mes avertissements répétés.
