Pierre Recobre Wikipedia

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Pierre Recobre Wikipedia – Pierre Recobre-Vielrecobre est né à Marcolès en 1889 et mort à Aurillac en 1983. Il était l’exemple parfait du héros de guerre. Toujours présent aux défilés en l’honneur des vétérans, il portait un pardessus bleu horizon de la 339e unité d’infanterie et était fier de sa moustache. Les Aurillacois se souviennent de la forme de son corps au pied du monument aux morts de la ville.

De 1910 à 1912, il sert dans l’armée au sein du 139e RI. Durant la Première Guerre mondiale, il est mobilisé et envoyé au combat. Il a été blessé en 1915 et a été félicité à plusieurs reprises par sa compagnie et sa division comme un brancardier courageux et dévoué. Le 17 mai 1918, il reçut sa troisième citation, qui le qualifiait de brancardier engagé, si audacieux qu’il était dangereux.

Volontaire pour toutes les actions du régiment, il s’est présenté de nouveau à l’attaque du 2 mai après 22 jours de durs combats et à l’attaque du 22 avril. Il y a fait un travail remarquable en s’y consacrant.

Il a remporté la Croix de Guerre avec une étoile d’argent en 1928, la Légion d’honneur en 1968 et le prix d’honneur (officier) en 1979, entre autres récompenses.

Je rassemble des objets militaires, tout comme Justin Coste. Cet homme qui s’intéresse aux guerres de 1914-1918 ne sait plus combien de choses il possède. Et comme le 100ème anniversaire approche, il s’apprête à les exhiber dans quelques lieux du Cantal.

Justin Coste, gardien des traces du passé:

Justin Coste, qui fut Meilleur Ouvrier de France comme maçon, s’intéresse à l’histoire depuis son retour de la guerre d’Algérie en 1959. Et plus particulièrement de la Première Guerre mondiale, qui s’est déroulée de 1914 à 1918. « Je savais beaucoup de choses sur Pierre Recobre.

Il connaissait des gens dans la famille, il habitait à côté de chez moi. “Allez Justin, buvons du Salers”, je savais qu’il allait passer des heures à me raconter des histoires. un infirmier en première ligne, il racontait des histoires, comme la fois où il donnait du cognac aux soldats blessés pour « leur remonter le moral ».

Des pièces qui me font ressentirCes moments passés ensemble ont rendu Justin Coste véritablement passionné. “C’est lui qui m’a donné envie d’honorer la mémoire de tous ces hommes.” Le chapeau du « Soldat de la Grande Guerre » et la veste décorée de son ami ont également été retrouvés.

Au deuxième étage de sa maison d’Aurillac, l’homme de 77 ans découvre chaque jour de nouvelles choses dans ce qu’il appelle son « grenier-musée ». Il sourit et dit : « Je ne sais même pas tout ce que j’ai. » Il y avait des coquilles vides, des cantines allemandes et françaises, des cartes de rationnement, des masques à gaz, des serviettes, des cartes postales, des portraits d’inconnus et des masques à gaz.

Cela fait cinquante ans qu’il fréquente les marchés aux puces, même s’il refuse les choses trop chères, pour dénicher l’objet spécial. Il ne se souvient pas de ce qui a déclenché tout cela. “Ce casque allemand dans une brocante m’a coûté le plus cher : 20 000 vieux francs.”

Parmi ses affaires, cette canne sculptée lui tient très à cœur.On aurait dit qu’il appartenait à un Auvergnat, mais je ne peux pas en être sûr. Il y a aussi des photos étranges, comme celle prise par un pigeon ou celle d’un âne portant un masque à gaz. “Je reçois beaucoup de magazines et je garde les meilleurs.

Parmi les nombreuses lettres envoyées du Doubs:

Une est plus longue que les autres. Une partie est lue par Justin Coste : “Dimanche, près de la moitié des soldats de la compagnie étaient en permission de 24 heures, ce qui est un désastre.” Mais le terrain n’est pas très joli, donc ça ne vaut quand même pas l’Auvergne. Je suis allé me promener dans les environs pour tuer le temps.

Ils craignent que leur grande collection ne soit perdue s’il s’avère qu’ils sont les collectionneurs de la guerre de 1914-1918. Son objectif était de transmettre ces histoires du passé dans la campagne de France et de Belgique”, comme le dit le journal encadré. “C’est dommage, des choses comme ça devraient rester au sein de la famille.” Je ne pense pas que quiconque voudra les récupérer après mon départ. Ils ont une énorme valeur historique.

Le collectionneur se sent mal de ne pas disposer d’installations. “J’ai besoin d’un musée sur la Première Guerre mondiale.” La mairie me dit non, mais je pense que c’est intéressant pour les plus jeunes. C’est beau ici, mais je ne vais pas parler des gens ; ce n’est pas possible.

Justin Coste a déjà prévu quelques spectacles possibles pour le prochain centenaire. Il s’agit notamment de ceux avec l’Onac (Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre), au Conseil Général, à Vic-sur-Cère et à Ydes.

l attend également avec impatience son rendez-vous à la préfecture. Pourquoi veut-on en savoir plus sur ce poilu ? C’est pour cette raison que les gens se souviendront longtemps de lui après sa mort, 40 ans après la Première Guerre mondiale. Certains, notamment sur les réseaux sociaux, voient en lui l’exemple parfait du héros de la Première Guerre mondiale.

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Célèbre parce que Pierre Recobre a commencé à porter un uniforme forme lorsqu’il sortait en public lors des célébrations, ce qui l’a rendu célèbre. Ses photos sont souvent rééditées, et il fait toujours l’objet de petites publications, notamment outre-Atlantique, où ce Français avec ses médailles pourrait se faire remarquer.

A contre-courant de l’idée d’une France « notée en guerre » sur les forums de discussion, même même si la vérité est plus compliquée, comme le montre cet article de 2016 du Washington Examiner 1 en reprenant une « vieille blague » : « à vendre – fusil français, jamais tiré et seulement lâché Le but est de montrer le militaire, mais surtout, le parcours mémoriel de ce soldat.

Nous disposons de nombreuses informations sur lui maintenant que la Grande Collection des Archives Départementales du Cantal et l’étonnante collection de photos du journal local “La Montagne” 2 ont été rendues publiques. C’était une occasion unique de voir comment le personnage a évolué au fil du temps, de le regarder et d’essayer de comprendre à quoi il ressemblait dans sa mémoire complexe à la fin de sa vie et à quoi il ressemble aujourd’hui.

Une avec de la fourrure comme les autres, une actrice mémorable Le parcours de Pierre Recobre est le même que celui des autres militaires de son époque. Il sert pour la première fois au 139e RI du 1er octobre 1910 au 25 septembre 1912. Ensuite, tout se prépare pour 1914. Il est responsable de la 2e compagnie du 139e RI jusqu’au 10 avril 1915, date à laquelle un éclat d’obus frappe.

Lui à la jambe gauche dans la région de Tilloloy et l’a blessé:

Il ne retourne au front que le 24 septembre 1915. Non pas au 139e RI lorsqu’il va mieux, mais au 339e RI, qui est l’unité de réserve du 139e RI. Il ne changea de régiment qu’en 1919, date à laquelle il fut démantelé. Il débute dans la 18e compagnie et y travaille jusqu’en août 1916. Après cela, il rejoint la 17e compagnie puis le 16 juin 1917, il rejoint la 5e compagnie de mitrailleuses.

Tiré d’une photo prise après septembre 1915. Le 2 novembre 1918, il perd son beau-frère. En avril 1919, il rejoint le 22e RI et n’en repart que le 8 août 1919. Il obtient trois tickets pour sa bravoure et sa loyauté comme brancardier et rentre chez lui avec un léger handicap. L’un était à l’ordre du 139e RI et les deux autres étaient à l’ordre de la division.

Après cela, il a repris une vie normale. Il se marie en 1919 et commence à travailler comme cantonnier pour une compagnie ferroviaire. La revue syndicale “Le cheminot du PO” de 1929 contient des informations sur Pierre Recobre, qui travaillait sur la route principale.

Il se présente d’ailleurs aux élections syndicales comme délégué de la région toulousaine. Il existe une piste dans la commune d’Aurillac qu’il dessert. Lorsque Pierre Recobre est élu, il apparaît dans différents numéros 3. Voici ce qui se passe en avril 1931.

Recobre, en tant que délégué de la 21ème catégorie auprès du chef de service régional, informe tous ses collègues de cette catégorie de travail. Si vous avez une réclamation, merci de l’adresser au plus vite à Recobre, le cantonnier principal d’Aurillac, ou à Iché, le cantonnier de Lenos.

Il leur appartiendra de l’examiner et, si possible, de le réparer. De plus, nous ne saurions trop insister sur le fait que chacun de nous devrait demander à ses amis solitaires de rejoindre le mouvement confédéré : c’est le seul qui peut protéger leur cause et améliorer leur vie.

Il se présenta aux élections du 11 mai 1932 et fut réélu. Il a été libéré de l’armée en octobre 1938, et la plupart de ce que nous savons de sa période pendant la Seconde Guerre mondiale provient de références à des actes de résistance. Il s’est remarié en 1953 après la mort de sa première femme en 1945.

En 1947, il use de son droit à démissionner. Mais si nous avons quelques connaissances, nous pouvons voir que ce n’est pas tout à fait vrai. Il s’installe au village de Giou-de-Mamou à une heure inconnue. A Aurillac, il est membre de la 914e section des médaillés militaires et participe à la vie associative des anciens combattants. En tant que leader, il sera photographié par les caméras du journal local La Montagne, ce qui l’aidera à devenir célèbre sur Internet à l’avenir.

Un incontournable pour les funérailles et les mémoriaux:

Pierre Recobre devient au fil du temps un acteur important de l’événementiel public. Il participe en tant que porte-drapeau les 8 mai, 18 juin, 14 juillet, 11 novembre et à d’autres moments de pose des décorations.

Les photos proviennent du journal La Montagne et ont été prises en 1955-1956. Il est difficile de trouver des photos de Pierre Recobre datant d’avant le milieu des années 1960. S’il est là, je n’ai pas pu le retrouver car il n’a pas encore le corps qu’on lui connaît et les photographes qui sont passés là-bas ont une manière très stéréotypée de capter les événements.

Il est important de montrer la grande foule et les personnalités (surtout les dirigeants et le préfet). Comme la prise de vue est toujours prise sous le même angle, seuls quelques porte-drapeaux sont visibles (voir figure 3). Ensuite, nous voyons quelques drapeaux et les personnes qui les portent. En fonction de h C’est là que l’on peut voir Pierre Recobre.

Bien sûr, la première fois qu’il a été vu, c’était sur une photo prise le 11 novembre 1965, lors d’un événement à la gare. La deuxième fois, c’était le 11 novembre 1967, lorsque des couronnes de fleurs furent déposées au monument aux morts. Quand la commune n’est pas donnée, c’est toujours Aurillac, qui est dans la province du Cantal.

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