
Amine El Khatmi Compagnon – Au fil du Rassemblement national, ces dernières semaines, le nom du co-fondateur du Printemps républicain n’a cessé de revenir. Symbole du développement idéologique d’une personnalité unique. Se réunir. Tout a commencé par une étrange rumeur, une suite apparemment aléatoire de « apparemment » et de « paraît-il ».
Concernant Amine El Khatmi et le Rassemblement National, il est abordé. Dans les discussions en cours sur la future liste du parti de Jordan Bardella pour les élections européennes de juin 2019, le nom du cofondateur du Parti républicain, symbole de cette gauche libérale qui refuse de voir son camp enseveli dans un clientélisme électoral islamo-compatible , continue d’apparaître.
La mauvaise conscience de la gauche, Amine El Khatmi
L’ancien militaire socialiste, aujourd’hui président du Parti républicain, a pris sur lui de combattre les ambiguïtés de son camp concernant l’homosexualité. Un jeune homme qui a déjà tant d’ennemis. A 32 ans, Amine El Khatmi est membre du club peu envoyé, qui regroupe des personnes que les réseaux sociaux adorent détester. Il suffit d’une phrase – ou même d’un simple mot – pour qu’il révèle le repaire du monde ; blessures, menaces et intimidations éclatent alors de toutes parts avant de s’installer pour un retour plus confortable.
Tout a commencé un soir de janvier 2016, alors qu’il regardait paisiblement la télévision. Un militant du Parti des indigènes de la République s’en prend au philosophe Alain Finkielkraut lors d’une émission politique, avec lequel il est en profond désaccord. “Je suis affligé” par le niveau d’agressivité du militant, écrit Amine El Khatmi dans un tweet. Très bien. “Ensuite, j’ai eu des averses massives, des milliers et des milliers de…
Il est né à Avignon d’immigrés marocains. Son appartenance à la maire d’Avignon remonte à 2014, mais il est militant socialiste depuis l’âge de 17 ans. Il a été l’un des co-fondateurs du Printemps Républicain en mars 2016. En 2003 ou 2004, à l’âge de 15 ou 16 ans, il rejoint le PS en réaction à l’entrée de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle et à la fermeture ultérieure des centres sociaux d’Avignon par la municipalité du RPR, selon les sources.
Une idylle secrète entre Amine El-Khatmi et le Rassemblement national
En préparation des élections européennes de juin 2024, les proches de Marine Le Pen ont tenté d’appâter l’ancien président du Parti républicain, militant raciste et défenseur d’une idéologie politique islamiste. L’ancien socialiste se rapproche par son discours de l’extrême droite s’il dénonce tout rassemblement à venir.
Amine El-Khatmi, l’ancien chef du service de presse du Parti républicain, pourrait-il rejoindre la liste de Jordan Bardella aux élections européennes de juin 2024 ? La théorie a plongé une semaine après que l’hebdomadaire d’extrême droite Valeurs Actuelles ait confirmé la rumeur.
Wikipédia et Carrière
Deux proches de Marine Le Pen – Sébastien Chenu, vice-président de l’Assemblée nationale, et Philippe Olivier, eurodéputé – estiment cependant que ce n’est qu’un début. Leur angle mort idéologique reste l’ancien socialiste, qui se dit désormais « patriote », qui craint pour « [son] payeur » et, pour reprendre une disposition inquiétante du programme d’extrême droite, estime que le pays est en péril.
“On ne m’a proposé aucune place”, assure Amine El-Khatmi au Monde, précisant n’avoir jamais vu ni Jordan Bardella ni Marine Le Pen. Il a “un ami de dix ans”, selon l’attaché de presse du RN Victor Chabert, qu’il a rencontré alors qu’ils étaient tous deux membres du Parti socialiste. Même Sébastien Chenu, « ne personne ne réussira à [lui] faire dire qu’il est d’extrême droite », a été approché par la consommation médiatique obsessionnelle du groupe Bolloré.
élu socialiste à Avignon ; rançais; fils d’immigrés marocains; Musulman pratiquant. Pourtant, il était également considéré comme un « collaborateur », un « serviteur arabe » et un « esclave » en raison de son refus d’affronter les extrémistes islamistes politiques. Ce petit livre d’Amine El Khatmi raconte l’histoire de cet épisode ainsi que sa vie.
Un témoignage éclairant d’une France où il ne fait pas bon vivre en dehors des assignations identitaires, comme la pression croissante de l’intégrisme et de ses compagnons de voyage sur les citoyens musulmans qui comprennent leur foi comme une affaire sérieuse nécessitant le respect des lois républicaines. Il est certain que notre nation grandirait si nous les écoutions davantage que les fondamentalistes qui contrôlent le paysage politique et médiatique et ont remporté de nombreux sièges universitaires.
Au-delà de son parcours, qui prouve que la « méritocratie républicaine » – quelle qu’en soit la description – fonctionne toujours, Amine El Khatmi démontre dans cet ouvrage les mécanismes par lesquels peut s’engager un homme tentant d’échapper à son déterminisme dans la France des années 2010. En effet, il expose le fonctionnement interne et l’idéologie de groupes comme le Parti des indigènes de la République et le Collectif contre l’islamophobie en France.
Profil et Biographie
El Khatmi revient sur un épisode du “camp décolonial” survenu à Reims à l’été 2016 et montre comment les politiques locaux sont prêts à tout pour un faux sentiment de paix civile, et comment les universités et les médias contribuent à légitimer l’intégralisme. , même lorsque la haine raciale est utilisée pour l’alimenter. L’élu local, Amine El Khatmi, condamne également le silence de son propre parti face aux attaques brutales qu’il a subies : « Le PS ne sait même pas s’il doit ou non soutenir l’une de ces personnes, agressées. par les communistes parce qu’ils défendent la République.
Ils sont obligés de faire du laxisme une pensée et de ne jamais aborder cette question en profondeur. L’auteur fournit cependant de nombreux exemples de complicité des partis et de leurs représentants avec le fondamentalisme le plus rétrograde, « arrosé » au niveau local avec des dénis officiels de force, qui peuvent rassurer ou inquiéter les lecteurs « militants ».
Au-delà des anecdotes, l’auteur résume efficacement le dilemme auquel nous sommes confrontés. Faire un choix entre la République ou se soumettre à « ces névrosés de l’identité, qu’ils fraient à la droite de la droite ou à la gauche de la gauche, deux côtés d’une même pièce, deux côtés d’une même tenaille ». identité qui se resserre peu à peu sur la France.”
Le candidat PS Amine El Khatmi, fustigé sur Twitter par la “muslimsphère” pour être un “collago”, un “traître” et un “esclave”. Amine El Khatmi, critiqué sur Twitter pour avoir critiqué la revanche communautaire de certains musulmans, a été défendu par un parti socialiste non armé sur le thème de la laïcité.
C’est de Marion Van Renterghem. “Collabeur” était l’une des nombreuses insultes qui lui étaient adressées, et il en a appris une nouvelle dans l’énorme tâche. Les autres sont plus courants : « esclave espèce », « tapis », « colabo », « kapo », « beur de service », etc. Ses parents marocains, nés en 1952 et 1963 et arrivés en France dans les années 1980, n’a rien à voir avec la guerre d’Algérie, mais le mot « harki », utilisé comme synonyme de « traître », est l’un des plus courants.
Confortablement assis dans un café d’Avignon dont les terrasses sont pleines de monde, Amine El Khatmi fait, policier, l’inventaire des expressions qui lui sont affligées. Sa colère ne peut plus être cachée par son allure distinctive. Il est décrit à 28 ans comme “l’incarnation d’une intégration réussie” ou “un pur produit de la méritocratie républicaine”.
Il a grandi dans les quartiers défavorisés du nord d’Avignon, à la Cité de la Reine-Jeanne, a excellé au collège, au lycée, et faculté de droit. Il est aujourd’hui membre du conseil national PS, élu socialiste et conseiller du maire de la capitale du Vaucluse. Au milieu de ces jours mouvementés, il est arrivé à une conclusion : la politique dans laquelle il s’implique depuis le lycée ne sera plus jamais la même.
Vendredi, Amine El Khatmi, 34 ans, cofondateur du journal républicain Printemps, était à Nîmes. Bien qu’il ait été exclu du Parti socialiste pour avoir soutenu Emmanuel Macron en 2017, Amine El Khatmi a une position socialement consciente et ferme, exprimant sa volonté de ramener la Gauche en harmonie avec la classe ouvrière.
Vendredi, Amine El Khatmi, né à Avignon, était en visite dans le Gard. Katy Guyot, électorat PS de Vauvert, et Nicolas Ferrière, directeur de cabinet du Pays d’Uzès, nous ont invités pour une visite. Deux socialistes soucieux de « créer du débat » au sein de leur famille politique. Nicolas Ferrière, responsable de la laïcité à la Fédération PS, s’offusque du discours d’Amine El Khatmi : “Nous aussi pouvons parler laïcité et immigration !” Ce mouvement s’est créé en réaction à un certain relativisme d’un parti de la gauche qui m’a dérangé », poursuit-il.
