Anne Vernon A T Elle Des Enfants – Finalement, tout s’est bien passé. Vous avez peut-être vu le multimillionnaire avec qui elle a eu une relation et avec qui j’ai dansé d’ailleurs (rires). Elle n’a pas réussi à jouer sur scène, mais elle était sensationnelle et émouvante au cinéma. Son côté pathologique, ses follicules saillants.
Même si elle était une campagnarde très « basique », Ava Gardner l’avait aussi. Même si des accidents peuvent parfois arriver… on ne devient pas un mythe par hasard. Par exemple, Martine Carol était belle, mais elle avait peu de substance. Certaines personnes ont gagné leur vie en agissant selon leurs caprices et sans jamais avoir connu la vraie vie. Juste de terribles crétins !
Le mouvement #MeToo a déjà dépassé le stade de la formulation…
Je n’aurais pas dormi si nous avions choisi quelqu’un d’autre, mais j’en ai souffert ! Certaines actrices célèbres ont couché avec tous leurs co-stars et machinistes et n’ont même pas pris la peine de les cacher… En supposant, bien sûr, que leurs femmes étaient du côté du vainqueur (rires). De plus, ça persiste, même que #MeToo. Pas de violence, mais “donner” ! Cela me dérange qu’Adèle Haenel s’en aille. De mon point de vue, elle manque de modèle.
Quel impact ce serait de voir votre “fille” des Parapluies de Cherbourg se produire devant le Palais des Festivals ! Oh, Catherine Deneuve à l’écran ! Une femme charmante, très brillante et libre d’esprit. Alors que, dès qu’on vieillissait durant moi time, on était rayée! En ce qui concerne Cannes, c’est très politique.
En 1951, j’étais dans Édouard et Caroline de Jacques Becker, qui aurait dû être le premier, mais il y avait des histoires avec l’Amérique, et All About Eve, avec Bette Davis, a remporté deux prix… Nous avons été comblés de récompenses, dont la Palme d’honneur. « Ou alors que personne ne croyait aux Parapluies de Cherbourg ! Comme Brigitte Bardot l’a fait en 1973, on a arrêté de tout faire soi-même. Pour les mêmes raisons, n’est-ce pas ?
J’ai passé dix ans à peindre entouré d’animaux dans le milieu grimaudois du Val de Gilly après mon mariage avec Gainville (voir ci-dessous) parce que je me sentais tellement libéré et heureux d’être seul. J’ai sauvé la ruine en 1970. Comme ma sœur possédait une résidence secondaire à Ramatuelle, je connaissais bien le coin. Dans tous les sens du terme, c’était une retraite pour moi. L’isolement et la fin de ma carrière. Le moment le plus merveilleux de ma vie !
Sans remords ?
Le bling-bling, les apparences… étaient ce que moi déplaçait le plus. Ils m’ont appelé, mais m’insulter encore sur les plateaux ou les étages ne m’a rien dit ; en fait, je m’enfuyais chaque fois que je rencontrais des professionnels comme Brialy (ils tournèrent Arsène Lupin contra Arsène Lupin, 1962, Ndlr) ! Quoi qu’il en soit, ça durera trente ans ! J’avais envie de revenir à la raison pour laquelle je suis venu au monde : peindre. Contrairement au cinéma, où le public est emmené tel un pionnier, vous voilà maître d’un univers.
Allez-vous continuer vos Souvenirs de 1988 ?
Vous savez, je ne me considère pas comme quelqu’un de particulièrement intéressant ou important… Je me mesure à ma taille réellement. Je ne suis ni Greta Garbo ni Picasso en matière de peinture. Cependant, je suis toujours inondé de correspondance en provenance d’Ukraine, de Russie, etc., déchirées par la guerre.
C’est en partie à cause de l’Alliance française, qui diffuse de vieux classiques pour faire connaître le français à l’étranger. Beaucoup de gens aux États-Unis m’envoient également des billets de plusieurs dollars pour que je signe leurs photos ! rire aux éclats L’influence du cinéma ne cesse de m’étonner.
Les quatre “mousquetaires” de sa vie
Fille d’un couturier et d’un père multi-décor devenu comptable d’une usine Viandox puis directeur d’une aciérie, Édith Vignaud est née le 9 janvier 1924 “à la pire époque” dans un immeuble ouvrier de Saint-Denis. Édith trouve un compromis familial en s’orientant rapidement vers le dessin via l’École des Arts appliqués à l’Industrie, car elle n’a pas le goût pour les études et les écoles d’art sont interdites par le patriarche.
Selon Marcel Rochas, c’est sous l’occupation. Elle fait rapidement la connaissance de Cocteau, du cinéma et de ses plateaux à travers sa maison qui sert de symbole aux vêtements dans plusieurs projets. C’est sur celui de L’Éternel retour en 1942 qu’un producteur l’encourage à faire des expérimentations.
“Nice-Matin” a interviewé Anne Vernon, la première épouse de feu Robert Badinter, et elle a accepté de revenir sur leur histoire et les raisons de leur divorce. Les défis de la vie, dit l’actrice, ont été particulièrement durs pour son couple.
Ce mercredi 14 février, la France a rendu hommage à Robert Badinter, l’une des personnalités politiques les plus marquantes du XXe siècle. Son épouse Elisabeth, qui paraissait sombre et triste face à la foule, ainsi que leurs enfants et petits-enfants, ont été une nouvelle fois réunis à l’hommage national d’Emmanuel Macron sur la place Vendôme à Paris. Pour un homme qui a connu deux grands amours dans sa vie, c’est une scène déchirante en ce jour de Saint-Valentin.
L’homme qui s’est battu pour l’abolition de la peine de mort, décédé à l’âge de 95 ans, a été marié à Anne Vernon de 1957 à 1965 avant de nouer une relation amoureuse et d’avoir trois enfants au terme d’une relation de quatre ans avec Élisabeth Badinter. Aujourd’hui, cette belle histoire est revisitée par une actrice française qui a eu 100 ans et a accepté un entretien avec Nice-Matin.
L’actrice, qui réside désormais dans le Var avec son petit ami Cogolin, a accepté de revenir sur les raisons pour lesquelles elle et Robert Badinter ont rompu. Nos deux enfants sont arrivés. “Cela a pesé sur notre mariage”, révèle-t-elle avant de poursuivre, “et ils sont morts quelques jours après leur naissance, à huit mois, probablement contaminés par une de mes rênes malade.” “On a tué tellement de juifs”, m’a-t-il dit avec son accent juif. Je dois avoir des enfants. Pour moi, ce n’était plus envisageable de reprendre.
Beaucoup d’amour entre eux malgré la rupture.
La décision du couple de se séparer après huit ans de mariage a été une véritable déception. Robert, en tant que mari, était très apprécié par moi. Jusqu’au bout, je l’ai aimé d’une autre manière. Je l’aime comme un ami même dans la mort ! Nos liens restent étroits. rigole Anne Vernon. Juste avant de disparaître mystérieusement, Robert Badinter a eu une dernière conversation téléphonique avec sa première épouse. Sa fille Judith était également impliquée. Après mûre réflexion, l’ancienne actrice est arrivée à la conclusion qu’il avait un esprit et savait être lui-même.
Alors que l’hommage de Robert Badinter a réuni Culture et Politique le 14 février, Anne Vernon se souvient de son premier mari avec tristesse mais aussi émotion. “En peignant je n’étais plus un pion”: la comédienne d’or Anne Vernon, qui fêtera bientôt ses cent ans à Cogolin, La première épouse de Robert Badinter, comédien de l’âge d’or, parle de sa vie d’artiste dans le Var et de son ex-copine Marilyn, qui profite pleinement d’elle !Anne Vernon, née Édith Vignaud, ne voit pas à elle seule une carrière cinématographique ou picturale comme un monument.
Afin de s’immerger pleinement dans l’art qu’elle cultive et fait connaître au monde depuis qu’elle est toute petite, cette éternelle “mademoiselle” – qui avait des contrats avec Universal Studios et Warner – a finalement mis fin à sa carrière d’actrice le 16 mai avec Les Parapluies de Cherbourg. Le “dessin”.
A la veille de son 100ème anniversaire, elle donne ce dimanche une réception autour de ses dernières peintures sur toile (1), que l’on aperçoit dès qu’on franchit le seuil de son habitation cogolinoise entourée de reliquaires animaliers et visitée par des chats, occasionnellement errants, non loin d’une petite crique où nagent canards et oies.
Avec une voix élégante et un esprit aussi aiguisé que sa rapidité à nous montrer ses œuvres colorées, mi-enfantines, surréalistes signées FMR, elle évoque le mythe hollywoodien, parle des “copines” Ginger Rogers et Lana Turner, etc., tout en rêvassant. sur les routes sinueuses qui l’ont amenée ici dans les années 70 pour poursuivre sa passion.
Quel est le problème avec ton pseudo ?
Je cherchais un nom d’artiste. Mon ex-mari, Robert Badinter, avait une fille nommée DS. Citroën a perçu cela comme une allusion explicite à une “déesse”. En fait, je ne vends pas très cher, tout comme mon ami Jean Marais qui fichait. Avant, je commençais à faire pipi tous les jours. C’est moins courant aujourd’hui. Depuis un an, il est de plus en plus difficile d’aller à mon studio et de lever les bras…
De quelles manières se manifeste la rupture vers la comédie ?
J’étais le double théâtral de Gaby Sylvia dans Huis Clos de Sartre. Un plan facile pour gagner un peu d’argent pendant l’Occupation, quand on mangeait des haricots aux vers pour faire des protéines. Et puis un jour elle n’était plus là, donc c’était une bonne décision de m’y mettre ! Après mûre réflexion, je décide d’accompagner la Comédie Française pour une tournée de neuf mois en Amérique du Sud en 1946.
C’est ici que tout a commencé… Concernant ma carrière anglo-saxonne, j’ai pu commencer le tournage en 1947 grâce à ce méthode révolutionnaire du cadre indépendant. Les décors les plus sales étaient juste devant la caméra car nous évoluions selon des qualités tracées au sol ! Une cascade technique qui a explosé mais qui a ensuite été ressuscitée… Avez-vous été amis avec Marilyn Monroe durant cette période ?
