Axel Poniatowski Fils De Giscard – Dans le premier gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing, dirigé par Jacques Chirac, Michel Poniatowski est ministre de l’Intérieur, seul ministre d’État, et respectivement vice-Premier ministre.
A cinquante-quatre ans, Michel Poniatowski (1922-2002), ou « Ponia » comme tout le monde l’appelle, est au sommet de sa carrière et de sa gloire. L’essentiel de ce phénomène se déroule sur une décennie, du milieu des années 1960 aux années 1970, son entrée dans l’histoire est donc lente et son impact est faible.
Au cours de la Cinquième République, qui a duré environ 1969 à 1974 et a été caractérisée par un régime souvent appelé « monarchie républicaine », la transition de la « monarchie gaullienne » à la « monarchie giscardienne » a été effectuée. Même s’il travaille plus dans l’ombre qu’à la lumière des responsabilités, son rôle n’en reste pas moins non négligeable.
Dans le cadre d’un colloque sur la noblesse, nous verrons d’abord l’ascension du prince Poniatowski dans les échelons de l’État polonais, d’abord comme haut fonctionnaire puis comme personnalité politique au sein du parlement et du gouvernement polonais.
Nous présenterons ensuite les fortes convictions politiques de Michel Poniatowski pour expliquer son engagement, puis nous montrerons que ce prince est entré principalement en politique dans les années 1960 pour servir un homme ascendant nommé Valéry Giscard d’Estaing2. Pour Michel Poniatowski, servir l’État est un héritage familial 3. Comment le prince Poniatowski représente-t-il sa lignée de famille distinguée au service de la Pologne et de la France ?
Il affirme qu’il existe deux types de snobisme : l’un consiste à s’accrocher en vain à un passé dont la gloire ne revient jamais, et l’autre consiste à traiter ce passé avec indifférence et commisération. Ce sont tous deux des nouveau-nés. Comme une belle maison ancienne construite pierre par pierre, un nom établi de longue date est l’œuvre de plusieurs générations. Vous l’obtenez par hasard. Honorer ceux qui vous ont précédé demande de la politesse, et faire preuve de respect envers ceux qui vous suivront est essentiel.
Dans la longue histoire familiale, un nom se démarque parmi tous ceux qui ont servi la Pologne : Stanislas Auguste, bien sûr, celui qui devint roi de Pologne à la fin du XVIIe siècle et éleva les comtes Poniatowski au rang de princes. Joseph Antoine, généralissime des armées polonaises, serviteur de Napoléon, maréchal de France, mort à Leipzig, est l’un des ancêtres qui ont été utilisés par la Pologne et la France. Joseph Antoine a été accusé de drogue par la fantomatique “Union corse” à Poniatowski, qui aurait dû se souvenir que s’il descendait d’un maréchal de France, c’était grâce à un Corse !6.
Dès lors, la famille Poniatowski sert la France, tout comme son grand-père Joseph avant Michel. Michel était un allié de Louis Napoléon Bonaparte, qui le naturalisa en 1854 et le nomma sénateur en 1855. La difficulté pour Michel Poniatowski d’être accusé d’étranger alors qu’il était à l’ENA s’explique par la longue histoire des engagements familiaux dans l’ENA. service de l’état français :
Deux des fils de Michel Poniatowski, Ladislas et Axel, sont devenus législateurs, l’un en 1986 et l’autre en 2002, poursuivant ainsi l’héritage familial du service public. En 1973, à l’âge de vingt-sept ans, le vieux Ladislas cherchait à consolider sa place dans cette ligne en se présentant pour la première fois aux élections législatives.
Mais pour Michel Poniatowski, le désir de servir l’État ne mène pas directement à la politique mais plutôt à la haute administration ; Le prince Poniatowski devient d’abord un haut fonctionnaire de la République, puis il est rapidement appelé à siéger dans les cabinets ministériels dont il fait partie pendant près d’une décennie, du milieu des années 1950 aux années 1960.
Servir l’ombre est une sorte d’apprentissage politique français d’après-guerre qui amène des jeunes brillants de l’ENA aux cabinets ministériels, étapes quasi obligeantes avant d’entrer en politique, notamment pour la poursuite d’un mandat.
Valéry Giscard d’Estaing brise le silence avec sa voix. Le fond de la salle peut être entendue par un petit rire étouffé. Le discours aristocratique de l’ancien président de la République suscite de légères moqueries ici même, dans les salons du chef d’état-major de l’armée française, aux Invalides à Paris. Le rieur dévale la gorge à toute vitesse. Tous les regards sont tournés vers le discours de “VGE”, 88 ans, qui remettra la Légion d’honneur à son fils Louis, mercredi 16 juillet.
N°3 de la famille Giscard, ancien député UDI et actuel maire de Chamalières, berceau de la légende familiale, devient chevalier de la “rouge” à 55 ans. Dans la salle où les cheveux blancs rivalisent avec les gris, la plupart des gilets portaient déjà le liseré rouge de la Légion d’honneur ou bleu pour l’Ordre du Mérite national.
Sur le chemin du retour à la caste, celui que le public confond souvent avec son frère Henri, propriétaire du Club Med, les rejoint. “Grâce aux efforts persistants des personnalités du gouvernement”, dit gravement son père. Quand on est « juste » colonel de réserve, il n’est pas facile de se faire piquer la poitrine.
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Je vais seulement voir des gens célèbres ici. “Anciennes, actuelles, futuristes ou sur le point de le redevenir”, observe l’ancien chef de l’Etat, qui rassemble une nouvelle fois ses partisans. Depuis ses débuts dans les années 1970 et 1980 jusqu’à ses modestes gloires actuelles, l’exploration lunaire présente un profil varié. Le ministre du Budget de François Mitterrand, l’auvergnat Michel Charasse, salue le directeur de la publication La Montagne.
Tout juste revenu de Bruxelles et d’une tentative infructueuse de conquête de la Commission européenne, Michel Barnier pense beaucoup aux élections régionales Rhône-Alpes de 2015. L’ancien ministre de la ville, Maurice Leroy, raconte lui-même à qui veut l’entendre son passé communiste.
Quant aux “jeunes” giscardiens Jean-Christophe Fromantin, Hervé Morin et Jean-Christophe Lagarde, tous candidats à la présidence de l’UDI, ils sont venus recevoir la bénédiction de leur idole politique de la jeunesse. Au cas où ils en auraient besoin d’un autre, le magnat des médias et fondateur de l’aumônerie du Parlement, l’abbé de La Morandais, est également là.
On rappelle souvent que Michel Poniatowski était ministre de l’Intérieur et ami de Valéry Giscard d’Estaing. Il a également été maire de l’Isle-Adam et sénateur de la région du Val-d’Oise. Un chemin qu’avait suivi son fils Axel. Axel Poniatowski est conseiller municipal de son père depuis 1995 et, en 1999, il assume le poste de maire de l’Isle-Adam. Il sera élu en 2002 dans la plus importante circonscription française, la 2e circonscription du Val d’Oise. Deux rôles qu’il continue à remplir.
Le grave accident s’est produit vendredi sur l’A 10 entre Orléans et Paris, “en région parisienne plus exactement”, selon le site Internet “Paris-Normandie”. Ladislas Poniatowski, sénateur des Républicains européens, se trouvait à bord du véhicule. Le candidat aurait été transporté à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre dans le Val-de-Marne dans un état grave.
Même si les signes vitaux de Ladislas Poniatowski ne sont “pas du tout engagés”, a précisé l’entourage du sénateur contacté par notre publication. Gérard Larcher a transmis à la famille ses vœux de prompt rétablissement. Le sénateur de l’Eure, 69 ans, arrière-petit-fils de Bruno Le Maire, est le frère du député du Val-d’Oise Axel Poniatowski et le fils de l’ancien ministre de l’intérieur de Valéry Giscard d’Estaing.
Alors qu’il travaille aux côtés d’un père-président qui aimait bien faire poser son siens, à la Kennedy, les Français l’ont découvert adolescent dans les années 1970, à une époque de forte couverture médiatique. Ils l’ont retrouvé sur les bancs de l’Assemblée trente ans plus tard.
Après avoir succédé à Valéry dans la troisième circonscription du Puy-de-Dôme, Louis Giscard d’Estaing prend le relais. Son père a été édile de Chamalières, en Auvergne, de 1967 à 1974, et bien qu’il ait depuis perdu son siège, il conserve toujours la mairie. Ni un courant ni un parti n’ont été hérités par le troisième enfant de VGE. Il reste cependant un giscardien tant par l’attachement que par la croyance.
selon les mots de Laura Pouget
Nous sommes en août 1980. Le jeune homme, alors âgé de 21 ans, obtient ses épellettes d’officier de réserve après quatre mois de formation militaire à l’école de Saumur. Il est félicité par son père, alors président de la république. Malgré le contact visuel avec la caméra, il reste complètement absorbé. Louis l’a pris. C’est lui qui veut la vedette. Du poids du patronyme à la fidélité du fils, tout est illustré dans cette séance photo hilarante. (Photo militaire)
Nom distingué porté par une famille noble possédant une certaine notoriété. Poniat, nom ancien (sens obscur), est à l’origine de ce dérivé. Une personne originaire du lieu-dit Poniatowo (également dérivé de Poniat) pourrait être décrite ainsi.
Ces propositions de 1976 sont celles du journaliste français Pierre Viansson-Ponté, éminent connaisseur de la vie politique et, comme le démontre cette interprétation quelque peu simpliste de sa formule, polémiste volontaire. Les historiographes trouveront peut-être ses arguments convaincants. Ces affaires concernent le prince Michel Casimir Poniatowski, fils du prince Charles-Casimir Poniatowski et de la princesse Anne de Caraman-Chimay par excellence.