Bakary Samaké Origine Afrique – Ancien de l’Ecole supérieure multinationale des télécommunications (ESMT) du Sénégal et de l’Institut national des postes et télécommunications (INPT) du Maroc, Bakary Konimba SAMAKÉ est aujourd’hui ingénieur d’État spécialisé dans les télécoms.
Depuis 2003 et gravissant les échelons de la Société des télécommunications du Mali (SOTELMA):
il est aujourd’hui directeur régional de la première région du Mali, Kayes. Durant son séjour là-bas, il était responsable de l’accès et de la transmission de la radio mobile, de l’ingénierie et du déploiement, de l’exploitation et de la maintenance, ainsi que de l’exploitation globale du réseau.
Il a été le premier directeur du département des réseaux de télécommunications et de l’informatique de la Société malienne de transmission et de diffusion (SMTD-SA), qu’il a créée et supervisée pendant deux ans.
Enfin, l’auteur possède une vaste expérience en tant que consultant, ayant travaillé avec des clients tels que SIEMENS, ASECNA, CMTL et autres. Il enseigne également la sécurité des réseaux mobiles dans plusieurs universités du Mali.
Le 18 décembre 1978, Bakary Konimba SAMAKE entre dans ce monde en République du Mali. Après avoir terminé ses études à l’école primaire de Yanfolila et obtenu son DEF, il a poursuivi des études de licence technique en technologie industrielle au Lycée Technique de Bamako.
Il a ensuite obtenu un DEUG de mathématiques et de physique tout en étant major de promotion à la Faculté des Sciences et Technologies (FAST) de Bamako. Après avoir passé et réussi un examen en 2003, il a obtenu un diplôme d’ingénieur d’État en télécommunications de l’Institut national des postes et télécommunications (INPT) du Maroc.
Depuis Rabat, il opérait. Il rejoint également la Société des Télécommunications du Mali la même année. Il gravit ensuite les échelons de l’organisation, devenant chef de section, chef de département, directeur régional de Kayes et chef de département mobile money. Il a par ailleurs été le premier à diriger les réseaux informatiques et de télécommunications de la Société malienne de transport et de diffusion.
Pour un boxeur, Bakary Samaké est inhabituellement jeune:
il a commencé professionnel alors qu’il n’avait que dix-sept ans. Au fur et à mesure que son père avançait dans sa catégorie, il observait à distance. Son premier championnat du monde a eu lieu le 18 mars. Le jeune Seine-Saint-Denis, dont les ancêtres sont boxeurs depuis des générations, a une incroyable opportunité.
Le parcours de Bakary Samaké ne ressemble à aucun autre. Le parcours d’un boxeur adolescent à travers l’adversité et son éventuel succès est le protagoniste de cette histoire. A seulement 19 ans, ce combattant d’Aubervilliers se prépare à son premier combat pour un championnat du monde.
Le 18 mars à Gagny, Seine-Saint-Denis, France, il affrontera l’Argentin Lucas Brian Ariel Bastida. La ceinture de championnat du monde des moins de 25 ans de la division des superwelters est ouverte aux combattants pesant entre 66 et 69 kg. Son père a commencé à former l’enfant prodige dès son plus jeune âge, perpétuant une tradition qui a commencé avec ses grands-parents.
C’est ce qu’a fait samedi dernier le jeune combattant. Il est désormais le plus jeune champion du monde des super-welters de l’histoire de l’IBF. Je suis ravi d’avoir remporté le titre mondial dans ma ville natale après des mois d’entraînement et d’avoir donné le meilleur de moi-même. Mon objectif à long terme sera plus proche de son accomplissement si je fais cela. En retour, il a exprimé sa gratitude à Gagny et à son équipe pour leur soutien constant.
La boxe est la passion de Bakary Samaké depuis l’âge de huit ans. Sa famille a une longue histoire avec ce sport. Il a hérité du don pour le « noble art » de son père Issa, ainsi que de son grand-oncle et de son grand-père. “Je me souviens que mon père était champion de France Juniors et Cadets, et mon grand-oncle était champion d’Afrique dans sa catégorie”, raconte le jeune combattant.
On s’attendait à ce que son père, Issa Samaké:
commence à l’instruire dès son plus jeune âge. Nous avons commencé son entraînement officiel de boxe quand il avait huit ans et l’avons continué jusqu’à l’âge de treize ans ; il a également commencé à porter des gants dès son plus jeune âge. Il est important de pratiquer la technique de manière à ne pas nuire à l’adversaire.
Bakary Samaké acquiert rapidement de nouvelles compétences. L’entraînement et la compétition étaient pour moi amusants. L’individu affirme avoir terminé sa formation Torcy dans son département d’origine dès la fin de ses cours. Jusqu’à l’âge de dix-sept ans, il reste invaincu dans sa carrière de boxeur amateur, qu’il débute à l’âge de treize ans.
Au cours de son apprentissage sous l’œil vigilant de son père, il a affiné ses compétences. Le résultat est une amitié inhabituelle entre les deux gars. Pendant qu’il participe à une compétition, je dois l’encourager et l’aider à voir où il peut s’améliorer. On arrête de parler de boxe dès qu’on rentre à la maisonIl estime que chaque entraîneur “doit traiter son boxeur comme son propre fils”.
Bakary découvre que la boxe lui apprend bien plus que comment gagner des combats ; cela lui apprend également à construire une maison et à éviter les influences négatives. Cela m’a accordé le cadeau de la vie quotidienne
lf-contrôle. Entre autres choses, j’ai réalisé à quel point il est essentiel de s’engager dans un programme et de se mettre au défi physiquement sur le ring. Avoir ces normes était vital pour moi. «Certains de mes voisins n’ont pas eu autant de chance; certains se sont mêlés à la drogue et à la violence», confie le résident de longue date de Gagny.
Il conclut que la boxe est la clé de son émancipation et de son évasion. Son grand-père avait fait un choix comparable plusieurs années auparavant. Mon grand-père est arrivé d’Afrique en France à l’aube de l’ère moderne. “Il a pu s’intégrer ici grâce à la boxe”, remarque le père du petit boxeur.
Bakary est reconnaissant pour les disputes qu’il a eues avec son père dans son enfance.Cependant, il est conscient du fait que ce dévouement a nécessité d’importants sacrifices. é. “Nous avons toujours conditionné le niveau amateur à arriver tôt dans ce milieu car nous voulions que ce soit juste une porte d’entrée vers le monde professionnel.” Le jeune athlète et son équipage ont pu remporter la mise grâce à leur aide. Bien qu’il ait moins de dix-sept ans, il a fait ses débuts professionnels en juin 2021.
Deux choses y ont contribué. Au début, nous pensions qu’il était prêt mentalement et physiquement. La pandémie de COVID-19 a été une période de relative paresse pour la boxe, selon son père, mais ils ont pris soin de ne pas étouffer sa croissance.
Sans perdre un instant, lui et son fils participeront à la boxe olympique, même si elle n’est ouverte qu’aux amateurs. Un hic existe pour Bakary : l’âge légal pour combattre professionnellement en France est de 18 ans. Sa destination initiale pour les combats était soit la Belgique, soit le Luxembourg.
Tout ce qui s’est passé au cours de mes séances d’entraînement et d’une série de batailles s’est déroulé à la vitesse de l’éclair. La douleur était atroce. J’étais prêt à voyager et je voulais que le travail acharné de mon père et de ma famille porte ses fruits.
Avant de commencer sa carrière sportive professionnelle, il doit terminer son baccalauréat et terminer sa dernière année de lycée. Il a connu du succès avant de se consacrer pleinement à la boxe.
Suivant les traces de son père, il remporte ses premiers combats de boxe et devient rapidement une figure célèbre de sa division. Avec sa sixième bataille à son actif, il devient champion du Luxembourg. Il a décroché le coup fatal en moins de deux minutes et quarante secondes. Je m’entraîne à me battre sous la pression. J’ai toujours été à l’aise pour me battre devant un large public, même lorsque j’étais jeune enfant.
La famille Samaké a de grandes aspirations:
Bakary admire l’illustre boxeur américain Floyd Mayweather, invaincu en cinquante combats, et aspire à suivre ses traces et à devenir champion du monde. Avec six victoires par élimination directe à son actif, la surdouée de 19 ans est actuellement invaincue depuis dix matches. Pour lui et sa famille, sauter des étapes n’est absolument pas une option.
La ceinture mondiale des moins de 25 ans peut être un excellent point de départ pour commencer votre voyage vers votre objectif de devenir champion du monde à l’âge de 22 ans. “Faire un spectacle et rendre” ses proches fiers est son objectif lorsqu’il se produit devant le public. .
La loi française interdisant les combats impliquant des boxeurs mineurs, il a donc cherché refuge en Belgique et au Luxembourg voisins. En prenant du recul, on constate que Bakary a commencé à s’entraîner continuellement dès l’âge de huit ans.
Il est issu d’une longue lignée de boxeurs. Il a hérité du « noble art » de son grand-père, de son grand-oncle et de son père, Issa. Tous trois étaient maîtres de leur métier. Selon le petit boxeur, “mon père était champion de France Junior et Cadet et mon grand-oncle était champion d’Afrique dans sa catégorie”. Le média français Franceinfo a rapporté cette information.
Non seulement le physique de Bakary Samaké:
(1m81 et 69 kg) est réputé, mais son excellente technique aussi. L’ancien champion américain invaincu Floyd Mayweather a été particulièrement influent sur ce dernier. D’innombrables heures de pratique sont nécessaires pour devenir un maître boxeur. L’entraînement et la compétition étaient pour moi amusants. “J’y suis allé après avoir fini les cours”, se souvient le prodige, poursuivant sa conversation avec franceinfo.
Bakary Samaké, 18 ans, est un exemple de précocité. Deux victoires ont déjà été remportées par le jeune boxeur français en seulement sept combats. L’ambitieux Aubervilliers attribue à son père le mérite de lui avoir inculqué la soif de grandeur ; il a publiquement déclaré son désir de devenir champion du monde. Il enfilera les gants samedi à Villers-sur-Mer (Calvados) pour un combat des super-welters (-69 kg) contre Houcine Moulahi (31 ans, 11 combats dans le circuit pro).
Bakary Samaké, qui n’a que 18 ans, dégage une aura de maturité sereine. Quelques heures avant son huitième combat professionnel ce samedi 18 décembre à Villers-sur-Mer (Calvados), face à Houcine Moulahi (31 ans, 11 combats sur le ring), le jeune combattant français est dans sa bulle, restant cool et posé.
Le natif d’Aubervilliers n’est pas du genre à céder aux pressions de ses pairs. Se disant pleinement conscient de ses talents, affirme-t-il. Je ne me permets jamais d’être nerveux, même dans les minutes qui précèdent un combat.
Ce que j’écoute le plus souvent, c’est la musique qui m’inspire. Mon équipe m’encourage à réussir. Dans ma tête sont imprimées toutes les années de travail, les événements et les luttes que j’ai endurées. Dire que mon adversaire était dans un état épouvantable serait un euphémisme.
