
Bonnet Pierre Servent – Pour une raison quelconque, j’ai toujours eu l’impression qu’il s’agissait d’un personnage légèrement étrange. Un manipulé ou non, il part avec l’idée d’être un sauveur. Cependant, son comportement s’avère catastrophique. L’ambassadeur de France Didier Julia dit que les “bidons” décrivent leurs contacts. Imaginez s’il avait de meilleures relations avec les ravageurs qu’avec le gouvernement.
Il me semble que toute cette question est bidon. Il a peut-être eu des correspondants sur place. Mais tout n’est qu’une ruse : d’abord l’intervention américaine, puis celle syrienne. Aujourd’hui, j’entends dire que Philippe Brett n’irait que jusqu’à la frontière syrienne. Didier Julia abonde dans les détails. S’il avait été médiateur officiel, il n’aurait pas dit un mot. Le travail du MAE et de la DGSE (direction générale de la sécurité intérieure) a été plus compliqué qu’autre chose.
Oui, il a définitivement un réseau en Irak. En raison de ses prises de position et de ses rencontres sur le terrain. Cependant, l’histoire de Gbagbo est en réalité assez étrange. De quelle manière a-t-il été en contact avec le président ivoirien ? La question reste sans réponse. La disparition du journaliste français Guy-André Kieffer est largement imputée à Laurent Gbagbo et à son équipe. Peut-être aurait-il voulu donner l’exemple de la libération d’autres journalistes menacés.
Quel peut être l’impact de cette intervention sur la distribution des otages ?
Les otages sont plus touchés par la situation. On dirait que la France est gâtée. En tant que député, Didier Julia apporte une terrible réputation et met à mal la légitimité sur le terrain. Il n’y a plus de légitimité parmi les médiateurs français. La fuite des deux journalistes français et de leur chauffeur syrien est vraiment regrettable. Dans une situation similaire, tout ce qui a été fait était précisément ce qui n’était pas nécessaire.
Unité très opérationnelle, le “commando A 220” du service “Action” de la Direction générale d’études et de recherches (DGER), nouveau nom des services secrets, fait revenir Adrien Conus à Londres après ses aventures dans le Vercors.
Variété des missions (sabotage, tirs isolés, renseignement, destruction de bâtiments sensibles, attrition des forces ennemies, exécution ou capture de nazis), faible effort au sol (petites équipes de 7 à 10 hommes) et actions de commandos derrière les lignes ennemies sont autant d’aspects de cette mission. rôle d’unité spéciale qui répond à ses attentes.
Lamentable Colonel Maurice Duclos (Saint-Jacques) commande le service A 220. Il est compagnon de la Libération depuis 1943 et fut un vétéran de la bataille de Narvik en Norvège centrale (été 1940). Il rentre en Angleterre trois jours après l’appel, le 18 juin. Remarquable pour son travail sur le segment “Action”, il est une figure légendaire des services spéciaux français. Ses opérations secrètes ne sont plus envisagées.
Aux côtés du colonel Dewavrin (Passy), il rassemble ses forces en choisissant les individus les plus naïfs pour mener des opérations secrètes au cœur du Reich. L’Allemagne, fascinée par son armature nationale, continue de résister aux attaques de l’Est (Soviétiques) et de l’Ouest (Alliés). Le régime Hélio-Tsé jette dans la mêlée ses dernières forces, jeunes et vieux, avec des soldats âgés de 16 à 60 ans. Le Reich du millénaire ne cesse de le dévorer et de brûler ses promesses…
Pierre Servent, expert en stratégie militaire et questions de défense ; Wassim Nasr, journaliste à France 24 ; le colonel Olivier Rafowicz, porte-parole de l’armée israélienne ; et Nicolas Demorand et Léa Salamé sont les invités d’honneur. “Cette guerre nous a été imposée le 7 octobre”, a rappelé le porte-parole de l’armée israélienne.
Parce qu’elle se déroule en territoire urbain et que le Hamas est présent partout, cette guerre est compliquée. La fin de ce régime terroriste et le démantèlement militaire du Hamas sont les objectifs de cette guerre. Il affirme que “la grande majorité” des habitants de Gaza vivent “heureusement” du nord au sud du territoire.
Wikipédia et Carrière
Le colonel Olivier Rafowicz déclare : « nous y sommes entrés avec des forces spéciales d’élite de Tsahal, et des médecins militaires et des traducteurs arabes » en référence à l’opération qui se déroule actuellement à l’hôpital d’Al-Shifa. Nous poursuivrons cette opération avec toute la sensibilité et l’intelligence dont nous avons besoin, car nous n’avons aucune nouvelle de nos otages et le Hamas continuera à être une menace existentielle pour Israël.
Personne n’est à l’abri des critiques, et nous en sommes bien conscients, mais nous sommes une démocratie en guerre. L’islamisme extrémiste et la brutalité du Hamas sont identiques à ce que prônait Daech. Comment von Manstein a-t-il réagi lorsque les nationaux-socialistes sont arrivés au pouvoir ? On peut se demander si la personnalité d’Hitler l’attirait le moins du monde.
Contrairement à ce qui structure son univers mental et son panthéon personnel, le chef de parti tonitruant est aux antipodes de celui-ci. En fait, Adolf Hitler se plaint régulièrement de l’intense animosité dirigée contre l’ensemble de la caste des officiers. Évitant soigneusement la compagnie des nobles généraux prussiens, il les considérait comme l’antithèse des officiers nationaux-socialistes qui avaient absorbé les idées révolutionnaires du Troisième Reich.
Une figure comme Souabe Erwin Rommel, qui est une descendante de la plèbe et dirigera un instant sa garde personnelle, va lui plaire. Le chancelier du Reich a déclaré à plusieurs reprises au début de son règne combien il admirait Staline tout en mettant en œuvre impitoyablement des purges radicales dans son haut commandement.
Francetv info a rencontré Pierre, un jeune ingénieur qui s’inquiète d’une possible violation des libertés liées au système fiscal. Ingénieur informaticien « autodidacte » et prestataire pour une grande entreprise française, Pierre est un trentenaire réservé et réservé. Il s’est installé à Rennes (Ille-et-Vilaine) il y a cinq ans ; il est parisien et « franco-italien » de naissance. De quoi être qualifié de « Breton de cœur et d’adoption » et de rejoindre le mouvement des « Bonnets rouges ». “Par peur d’une récupération politique”, il refuse d’accepter le célèbre couvre-chef, pourtant il “soutient à fond le mouvement).
“Génial, enfin la France se réveille”, raconte » le jeune homme, qui écrit depuis le 11 mai une note sur ces portiques et l’a publiée sur un site internet confidentiel. Il écrit ensuite : « J’ai près de chez moi un grand pont truffé de caméras », racontant sa rencontre avec la police. Je crois que c’est un peu Big Brother”, confie Pierre, citant comme exemple l’exemple de “Pays-Bas, qui ont installé des trucs similaires et s’en sert aussi pour surveiller les gens”.
Profil et Biographie
En parallèle, il s’interroge sur les liens entre des entreprises comme Ecomouv’, Autostrade, Thales et Benetton. Il flirte parfois avec les théories complotistes et s’inquiète d’une éventuelle atteinte aux libertés. Quoi qu’il en soit, en tant qu’ingénieur, il souhaite savoir quels types de données sont capturées par les ports et ce que les autorités en font.
Il prend donc position, participant à la manifestation de Quimper le 2 novembre et au “blocage pacifique” du port de Montauban-de-Bretagne la semaine suivante à la sortie de Rennes. Il rapporte : « On a joué au palet breton devant la ligne de CRS, c’est dire si c’était bonne ambiance » (photo à l’appui).
“On nous impose de nouvelles taxes sournoisement”
Pierre, qui ne vote pas, veut se présenter comme un « libre penseur » et croit diagnostiquer une « société à bout de souffle dans tous les secteurs ». Il demeure calme tout le temps, habillé dans son pull noir zippé jusqu’au menton. Au premier rang de ses réfutations figure la nécessité de supprimer l’impôt sur les successions.
Ensuite, une « enquête approfondie sur le contrat » préalablement conclue entre l’État et Ecomouv. Finalement, la suppression du “matraquage fiscal”. Il vérifie sur son iPhone le petit fichier qu’il a créé, terrifié à l’idée d’oublier ce qu’il voulait dire “pour une fois” que quelqu’un allait écouter, alors qu’ils sont en route pour se rencontrer.
“Pas contre” (contre) l’indépendance britannique
Il continue de lire : « On est revenus au temps de la dîme et de la gabelle, un État devenu une machine à voler l’argent des citoyens, pour le redistribuer aux grandes entreprises, via les appels d’offres, les subventions ou les allègements de charges.” Cette situation ne l’empêcherait pas de payer tous ces impôts “s’ils étaient bien utilisés”. Mais ici, « l’ultralibéralisme » poursuit les despotes de la « finance internationale ».
Au final, il n’est pas “pas contre une autonomie de la Bretagne, telle qu’en parle beaucoup de Bretons”, notamment plusieurs régionalistes avec lesquels il entretient de longues conversations sur les nombreux réseaux qu’il fréquente. D’un côté, il préférerait une “vraie concertation nationale sur une modification de l’Etat, qui ne fonctionne plus et doit mieux impliquer le citoyen”. En revanche, il se sent plus comme un « électeur » que comme un « citoyen actif ».
Lors de la manifestation du 30 novembre organisée par le collectif Christian Troadec, Pierre dénoncera le manque de musique qui attire l’attention et le fait qu’elle n’émeut vraiment personne. “Une mobilisation citoyenne, pacifique et déterminée” est son espoir pour le mouvement breton.
Comment peut-un simple député s’engager de cette manière ?
A Toutes les pistes sont enroulées par une aventure catastrophique qui a pour vocation de rendre les négociations pour la libération des otages encore plus complexes. Très tôt, j’ai exprimé mes doutes sur l’affaire de Didier Julia. Tout était recouvert de crasse blanche. Même avant la sortie, les annonces trompeuses étaient quelque peu étranges.
C’est alors que j’ai hésité entre manipulation et amateurisme. Faire comme s’il ne l’avait pas fait n’avait que peu d’effet, même s’il avait des contacts sérieux. Un législateur est libre de faire ce qu’il veut, et Didier Julia s’est déjà fait un nom en prenant position sur la question irakienne et en soutenant Saddam Hussein. Par conséquent, rien ne pouvait le empêcher de retourner en Irak.
