Caroline Rey Salmon Mari

Répandez l'amour du partage
Caroline Rey Salmon Mari
Caroline Rey Salmon Mari

Caroline Rey Salmon Mari – Franceinfo a publié un témoignage qu’une jeune femme a ensuite partagé sur Instagram dans lequel elle accuse le nouveau vice-président de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) de l’avoir agressée sexuellement. La pédiatre Caroline Rey-Salmon a fait part de sa volonté de se retirer du dossier “pour un moment”.

C’est trop pour elle de gérer seule. Une actrice et avocate nommée Caroline Rey-Salmon est la vice-présidente du dossier, et une dame de 25 ans nommée Louison* a annoncé qu’elle la poursuivrait en justice. La nouvelle feuille de route et le casting de CIIVISE 2 ont été dévoilés lundi 5 février.

Affirmant avoir été victime d’une agression sexuelle de la part de Caroline Rey-Salmon en juin 2020 à l’hôpital Hôtel-Dieu de Paris, le témoignage de la jeune femme a d’abord été partagé sur Instagram puis sur Franceinfo. L’accusation d’inceste fait partie de l’enquête pénale.

Comme le révèle Caroline Rey-Salmon à Franceinfo lors de la procédure, la Brigade de Protection des Mineurs (BPM) l’a envoyée procéder à une évaluation psychologique. Selon Louison, une deuxième agression sexuelle s’est produite lors de l’interrogatoire. L’expert judiciaire lui a dit qu’elle s’était « trompait » et « n’avait pas pu subir de viol vaginal parce que son hymen n’était pas déchiré » à l’auscultation.

Selon Louison, c’est à ce moment-là que le test est devenu fastidieux :

Elle le toucha doucement et murmura : « Fermez les yeux, imaginez que là c’est le pénis de l’agresseur qui est sur vous. » C’était évidemment sa préférence, n’est-ce pas ? À un moment donné, elle a révélé à Franceinfo : “Elle a fait plusieurs fois le geste va-et-vient sur mon sexe.” comme sa confession. Elle a fait le commentaire : « Alors fermez les yeux, souvenez-vous et revenez sur scène » (Caroline Rey-Salmon).

Les faits sont contestés par Caroline Rey-Salmon, même si elle a écrit un article concernant ces procédures. La jeune femme n’avait pas encore porté plainte puisqu’elle était en pleine résolution d’un différend lié à ses expériences traumatisantes d’enfance. Louison a peut-être été persuadé de porter plainte par Caroline Rey, qui conteste Salmon pour le poste de vice-président de la CIIVISE.

Cela va à l’encontre de mes propres convictions, pourtant j’occupe le poste de responsable de la CIIVISE, une organisation dédiée à la protection des mineurs contre les agressions sexuelles. Il semble que la société essaie à nouveau de se débarrasser de moi.

Le film Pouvez-vous me dire ce que signifient furtivité, point du mari et zone grise lorsque vous voyez la lettre Q ?

Lorsque nos confrères de Franceinfo ont interrogé Caroline Rey Salmon sur ces accusations, elle les a niées avec véhémence. Cependant, la source d’information précise que l’expert juridique aurait soutenu la procédure d’examen du plaignant dans un essai qu’il a rédigé pour la revue académique Les Cahiers de la Justice en 2018 :

Les enfants et leurs parents ne savent pas ce qu’ils ont vécu et l’apparence de leurs organes génitaux. L’objectif est de mettre l’enfant dans la même position que l’agresseur sur la table d’examen pour qu’il puisse ressentir ce que ça fait d’être là.

« Les violences sexuelles sur mineurs : diagnostic médical, constats et perspectives » a été publié dans la revue Les Cahiers de la Justice par Carolyn Rey-Salmon. Une tactique dont aucun autre médecin ou psychiatre nommé par le tribunal n’a jamais démontré qu’elle était fondée sur des données scientifiques solides.

Ce que Caroline Rey-Salmon identifie comme son “retrait total”

Caroline Rey-Salmon a déclaré au Parisien qu’elle quittait “pour un temps” son poste de vice-présidente de la CIIVISE en raison des soupçons portés à son encontre. Dans une conversation WhatsApp que le journal a pu voir, elle a exprimé son souhait que leur commission travaille ensemble.

“Le retrait total des activités de la commission tout au long de l’enquête” a été reconnu par la CIIVISE dans un communiqué publié plus tôt dans la journée. Ce retrait est vital si l’on veut sérieusement considérer les travaux de la commission. Les recommandations formulées par Sébastien Boueilh la veille sont reprises dans cette décision.

Lorsque le nouveau président de la CIIVISE est apparu dans l’émission “Quotidien” de TMC le 6 février, il avait promis de soutenir son vice-président. “Je pense que Caroline fera de même et que justice sera rendue si la victime s’était plainte davantage”, a déclaré le juge.

Mouv’Enfants, cofondé par Arnaud Gallais (anciennement de CIIVISE 1), entendait soutenir la victime présumée être Caroline Rey-Salmon et avait encouragé “le retrait” de cet autre groupe. La foulée a lancé une pétition à ce sujet.

Caroline Rey Salmon Mari

Les mots « Louison, nous croyons, nous soutenons ! ont été ajoutés à la pétition par un groupe d’habitants inquiets. Comment pouvons-nous garantir que la Commission indépendante sur l’incidence des enfants et la violence sexuelle offre un espace sûr aux survivants de violences sexuelles durant l’enfance si le vice-président est vraiment inquiet à ce sujet ? Un nouveau nom a été donné.

La marionnettiste connue et vice-présidente de Ciivise Caroline Rey-Salmon fait désormais face à des accusations d’agression sexuelle. Mercredi, alors que la commission de l’inceste (la Ciivise) enquêtait sur l’accusation d'”agression sexuelle” d’une ancienne patiente, ce pédiatre et juriste s’est “totalement démis” du dossier.

La nouvelle Ciivise, la Commission indépendante sur l’inceste et la violence sexuelle contre les mineurs, a Caroline Rey-Salmon comme vice-présidente pour les deux prochains mois. Mercredi après-midi, la commission a déclaré dans un communiqué que le médecin légiste se retirerait “totalement de ses fonctions pendant toute la durée de l’enquête” après qu’une femme de 25 ans s’est plainte d'”agression sexuelle” lors d’un examen gynécologique. Néanmoins, son remplacement reste incertain.

Les annonces sont suivies de

“Il ne s’agit pas d’une déposition”, avait précisé plus tôt l’expert médical et juridique de 65 ans dans un message WhatsApp envoyé aux membres du panel. Puis, malgré nos demandes répétées de commentaires, elle n’a absolument rien fait. Son manque de parole est blessant. “Quelqu’un qui ne fait pas de bruit, qui scinde sa vie privée et professionnelle” (IVe) est le patient idéal, selon un conseiller anonyme de l’Hôtel-Dieu de Paris.

Elle a commencé à parler, mais personne n’y a prêté attention. On apprend à changer de vitesse en compagnie du médecin légiste. De nombreux détails sont connus, comme le niveau d’inconfort, sa perception en position assise, l’état du corps, la taille des plaies et le nombre de coups. Pour autant, Caroline Rey-Salmon n’a pas évoqué le sujet du corps.

Alors qu’il se tient devant les barreaux du tribunal de Paris, sa voix flûtée redonne vie à un nouveau-né sans vie. Comme de nombreux témoins de la mort, du piqûre et des incidents violents avant ou après avoir été interrogés, la jeune fille a pris la parole. Le médecin spécialiste a annoncé à l’enfant la nouvelle de son enlèvement alors qu’il était plongé dans ses réflexions sur son travail technologique crucial. Œuvrant pour l’enquête autant que pour sa mémoire.

Malgré le désespoir apparent de l’industrie, les législateurs spécialisés dans les mineurs semblaient secrètement remplis d’optimisme. Agir de front contre la maltraitance des enfants élimine le besoin de nouvelles hystérie et violence publiques. Reconnaissant les souffrances indescriptibles endurées par les enfants qui ont péri ou ont été assassinés. Allez au fond des causes et agissez en conséquence. J’aimerais donc rencontrer Caroline Rey-Salmon.

La fillette de quatre ans termine son œuvre dans l’espace d’attente médico-judiciaire d’urgence (UMJ) de l’Hôtel-Dieu. Une expression douloureuse traverse le visage de sa mère alors qu’elle dépose un doux baiser sur sa joue. Pour déposer un rapport d’agression, il faut d’abord contacter l’UMJ. La division en charge des mineurs est dirigée par Caroline Rey-Salmon, 53 ans. En 2003, elle a eu la brillante idée.

Crimes perpétrés contre des nouveau-nés, des enfants maltraités physiquement et psychologiquement. La plupart des gens soit ne veulent pas voir, soit se contentent de lire sur le large éventail d’« impensables », qui sont intrinsèquement distants, mais elle les rencontre tous les jours. “La violence n’est pas spectaculaire”, dit-elle juste. Parfois froid, parfois chaud. Parfois, axé sur des affirmations sans preuve.

Sur 1 300 adolescents admis chaque année, l’UMJ de Paris en traite 300 pour agression sexuelle présumée. Caroline Rey-Salmon a élaboré un message de bienvenue signature avec l’aide de Michèle et Patricia, deux infirmières qui l’accompagnent depuis le début.

Il n’y avait pas de “mon pauvre petit”, ni de stress, ni d’inquiétude car les rendez-vous étaient simplement programmés. Être victime n’est pas un signe de force. “Une fois que nous devenons victimes, nous devons faire tout ce qu’il faut pour ne plus jamais l’être.” Sur la table, on retrouve une grenouille en quête de renseignements gynécologiques.

L’étape suivante consiste pour l’enfant à faire l’image miroir, mais cette fois-ci, il doit positionner ses mains comme la grenouille. “On dédramatise, on explique tout.” Cette affirmation suscite des inquiétudes. Informez les parents que l’hymen a éclaté. Tromper le saignement comme provenant d’un hymen est une autre méthode “souvent plus difficile”.

« Hymens complaisants » est une expression que je trouve offensante. J’essaie de rassurer les parents en leur disant que les trois quarts des filles de leur âge vivent quelque chose de similaire lorsque nous parlons. Je pense qu’ils étaient complètement incorrects. Les anciens concepts proviennent des plantes.

A l’origine, Caroline Rey-Salmon voulait être gynécologue. Dans le but de soulager les symptômes de la ménopause. Il semblait que tout le monde adhère à l’extase des femmes. Afin de justifier son virage professionnel, elle raconte des anecdotes sur son premier enfant, né quand elle avait 22 ans. Tous les trois jours, les gynécologues devaient procéder à des inspections. Certainement pas pendant que je portais mon enfant.

Elle évoque le travail de son père comme pédiatre et combien elle aimait passer les week-ends “jouissant au pied avec les malades” dans les hôpitaux pour enfants. Le père était un professeur et chercheur qui s’est fait un nom dans le domaine des maladies gastro-intestinales pédiatriques. Comparé à lui, j’étais beaucoup plus productif au travail. Le sol est essentiel à ma survie. Cependant, il y avait un aspect de son caractère qui m’a apporté de la joie : il traitait les jeunes avec le respect qu’ils méritaient.

Caroline Rey Salmon Mari
Caroline Rey Salmon Mari
Sharing Is Caring:

Leave a Comment

error: Le contenu est protégé !!