Catherine Colonna Vie Privée – Fille d’agriculteurs corses, Catherine Colonna est née à Tours, en Indre-et-Loire, le 16 avril 1956. Enfant, elle vivait dans le village de Dolus-le-Sec, près de Loches, dans la famille ferme. Sa sœur aînée est Anne-Marie. En 1980, elle s’inscrit à l’Institut d’Etudes Politiques, où elle obtient finalement un DEA et une maîtrise de droit public. C’était une jeune femme exceptionnellement brillante. De retour à l’Ecole Nationale d’Administration en 1981, elle s’engage dans le mouvement Solidarité.
En 1983, immédiatement après avoir obtenu son diplôme de l’ENA, elle commence son travail de secrétaire aux Affaires étrangères. Peu de temps après, elle embarque sur un navire à destination de l’Amérique, où elle reste jusqu’en 1986 comme première secrétaire à l’ambassade de France à Washington, DC. Parmi les individus qu’elle rencontre, il y a Dominique de Villepin. De retour en France, elle commence à travailler pour différents ministères en tant que consultante technique et missionnaire.
Le 2 mai 1995, au lendemain de la victoire de Jacques Chirac, elle assume les fonctions de porte-parole du président de la République et occupe ce poste pendant plus de 10 ans, jusqu’en 2004. Entre 2004 et 2005, elle dirige le Centre National de Cinématographie. et a été vice-président du festival. Elle a été ministre déléguée aux Affaires européennes sous Dominique de Villepin de 2005 à 2007.
Après la fin de son mandat en 2010, Catherine Colonna a continué à exercer ses fonctions de représentante permanente de la France auprès de l’UNESCO. En 2019, la diplomate reprendra son rôle d’ambassadrice au Royaume-Uni, en Italie et en République de Saint-Marin.
Le gouvernement d’Elizabeth Borne l’a nommée ministre de l’Europe et des Affaires étrangères le 20 mai 2022. Elle continue d’exercer ses fonctions actuelles jusqu’à ce que Stéphane Séjourné prenne la direction de la nouvelle administration de Gabriel Attal le 11 janvier 2024. Catherine Colonna avait espéré échapper aux projecteurs médiatiques lorsqu’elle était plus jeune, comme le souligne sa nécrologie par Libération. Malgré son parcours impressionnant, cet objectif reste inachevé…
Le parcours de Catherine Colonna a surpris plus d’un membre de son entourage. Cela commencera par sa sœur Anne-Marie. Comme elle l’a confié à ses confrères de Libération dans un portrait mettant en avant les femmes en politique en 2004, la ministre aujourd’hui âgée de 66 ans ne s’attendait pas à devenir la célèbre femme politique française qu’elle est aujourd’hui.
D’après ce que nous pouvons déduire des propos de la sœur de Catherine Colonna, les premiers objectifs professionnels des deux sœurs étaient assez différents. Anne-Marie avait déjà dit : « Lorsque nous imaginions notre avenir, je rêvais d’une vie pleine de gloire et elle tout en harmonie, comme nos parents ».
Catherine Colonna a fait peu de marque dans le paysage politique français, mais la sœur a poursuivi une carrière en éducation. C’est une preuve d’une rare confiance qui s’est révélée réelle. Alors que l’actuelle ministre d’Elizabeth Borne “estée célibataire et sans enfant” tout en veillant à garantir la confidentialité de son activité personnelle, les médias avaient précédemment rapporté qu’Anne-Marie était mariée et avait trois filles.
Revenez sur le parcours politique de Catherine Colonna
Suite à la déclaration d’Elisabeth Borne sur son nouveau gouvernement, plusieurs personnalités politiques notables sont apparues sur le devant de la scène. Il faut avant tout citer Catherine Colonna. Le 20 mai, elle succède à Jean-Yves Le Drian à la tête du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE). L’actuel ministre des Affaires internationales est sur le terrain depuis plus de 40 ans ; son père était agriculteur corse. Catherine Colonna a étudié le droit pénal à l’Université de Tours, à l’Institut d’études politiques de Paris et à l’ENA. Elle devient alors experte en politique étrangère.
Après être devenue membre du Quai d’Orsay et ambassadrice de France aux États-Unis de 1981 à 1986, elle entre officiellement en politique en 1983. Elle utilise ensuite sa dernière expérience comme tremplin pour gravir les échelons du ministère des Affaires étrangères. , où elle dirige désormais l’unité chargée de la législation européenne.
Après sa nomination en 1993 comme porte-parole du Quai d’Orsay, Catherine Colonna a été ministre déléguée aux Affaires européennes de 2005 à 2007. De 2008 à 2010, cette dernière a été représentante permanente de la France auprès de l’UNESCO. Elle continue ensuite à travailler comme ambassadrice en Italie, dans la République de Saint-Marin et, à partir de 2019, au Royaume-Uni.
Catherine Colonna, une éminente femme politique française, est née à Tours le 16 avril 1956. Son objectif à sa sortie de l’ENA en 1983, c’est pour entrer dans le domaine diplomatique. Jusqu’en 1986, elle était membre de l’ambassade de France à Washington, DC, où elle a passé ses années de formation. De 1995 à 2004, elle fut la porte-parole officielle de Jacques Chirac.
Elle a été ministre déléguée aux Affaires européennes du cabinet Villepin de 2005 à 2007. De 2008 à 2010, elle a été représentante permanente de la France auprès de l’UNESCO. De 2014 à 2017, elle est nommée ambassadrice en Italie. De 2019 à 2022, elle sera en poste au Royaume-Uni. Elle siège également au conseil culturel de la Monnaie de Paris et de la Fondation Chirac.
Entre 2009 et 2014, elle occupe la double fonction de présidente du conseil d’administration de l’École du Louvre et de vice-présidente du Conseil franco-britannique. Lors de la deuxième présidence d’Emmanuel Macron en France, en mai 2022, Élisabeth Borne a nommé Catherine Colonna ministre des Affaires étrangères et de l’Europe.
Vie privée
Catherine Colonna est issue d’une famille d’agriculteurs ; son père est d’origine corse. Parmi ses distinctions figurent l’Officiière de l’ordre national du Mérite(2009), le Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres (2015) et l’Officiière de l’ordre national du Mérite (2010), qui contribuent tous à sa notoriété. En 2017, Catherine Colonna a reçu le titre de Grande Officiière de l’ordre Étoile d’Italie. Elle détestait devoir s’exprimer en classe.
“Parcourage, alors je travaillerais dur pour que le professeur ne m’interroge pas.” Les progrès de Catherine Colonna ont été remarquables. Elle a expliqué les idées du président, défendu sa politique et capté ses dérapages verbaux pendant plus de neuf ans après avoir été nommée porte-parole de la présidence au “Je détestais ce travail, mais c’était épuisant”. Elle a choisi de démissionner de son poste à l’Élysée après de longues années de service en tant que porte-parole présidentielle la plus importante au monde. De plus, elle devient officiellement directrice du CNC le 22 septembre.
Catherine Colonna est une petite femme turbulente, énergique et directe dont le visage est souvent tiré par l’épuisement ; elle n’a pas été influencée par l’attention des grands et des puissants du monde. “Salut Catherine, comment vas-tu ?” Pendant qu’elle cherchait, George W. Bush l’accueillait, jamais loin de Chirac.
Un message d’adieu lui a été remis par Vladimir Poutine, le président de la Russie. Chirac l’a finalement laissée partir après avoir insisté pour qu’elle reste jusqu’à la fin de son premier mandat en 2002. Une télévision à écran plat lui a été présentée lors d’une fête organisée à l’Élysée. Même Bernadette, toujours réservée envers les employés, était présente, tout comme sa fille Claude.
“Une personne doit prendre des décisions et s’assurer qu’elles soient appropriées. On croit souvent qu’il y a un monde différent de l’autre côté du miroir, mais c’est faux”, a-t-elle déclaré. L’ancien conseiller présidentiel qui a participé à tant de discussions avec des dignitaires étrangers et accompagné Chirac dans tous ses déplacements hors de l’Hexagone, Jacques Attali, n’envisage pas d’écrire de mémoires. L’apiculteur avait entendu chaque mélodie.
Femme de ménage, Catherine Colonna est toujours là pour le président et est une fine petite soldate de la République. S’il veut comprendre, ne serait-ce qu’un peu, ce sentiment de responsabilité, il lui faudra sûrement revenir à sa jeunesse. Elle s’appelait Dolus-le-Sec lorsqu’elle était enfant et grandissait dans une ferme du département d’Indre-et-Loire, près de Loches.
Le père avocat de son fils se lance dans l’agriculture après le mariage ; l’heureux couple considère la propriété comme idéale pour fonder une famille. Il a passé ses années de formation dans une ville rurale corse. Vous pouvez retrouver votre mère, qui a un permis d’anglais, dans le hall. Un autre grand-parent est la grand-mère maternelle vénérée, une gentille femme au foyer et ancienne directrice d’école.
Ni Catherine ni sa sœur cadette Anne-Marie n’étaient baptisées ; ils avaient trois ans. Bien qu’ils s’identifient comme républicains, la famille n’est pas anticléricale. Leur éducation morale était laïque et chaleureuse, explique Anne-Marie en soulignant le discours.
Catherine se souvient de son « enfance heureuse », caractérisée par des salles de classe à trois étages, des acclamations au gymnase et des invasions de maisons en été par ses cousins. Catherine, la plus jeune, est une petite chose espiègle et courageuse. Avec sa sœur, elle et son père partent à la chasse à la bricole, au faisan, au lièvre et à la perdrix. “Je suis une campagne, pragmatique et terre-rouge”, a-t-elle déclaré.
La porte-parole de l’Elysée s’accorde un répit dans la maison familiale, située à une heure de Paris en TGV, deux fois par mois. Son père y vit toujours. Elle cintre la taille et ourle un pantalon en velours délavé. La sonnerie de son téléphone l’agace, mais il trouve que cela soulage son stress.
