Chloé Chevalier Et Son Nouveau Compagnon – Fabien Claude, Chloé Chevalier, Léa Ducordeau et Aristide Bègue ont remporté la médaille de bronze au relais mixte aux Jeux olympiques d’hiver de 2012 à Innsbruck. Le père de Chloé Chevalier est la biathlète Anaïs Chevalier. Ses résultats aux Championnats d’Europe 2015 à Otepää étaient dixièmes au relais et vingt-septièmes au sprint.
Elle a remporté la médaille de bronze au relais en compagnie de sa sœur Anaïs Chevalier, Julia Simon et Coline Varcin. En 2015, elle remporte sa première médaille aux Championnats du monde juniors à Minsk. Au sprint, c’est sa compatriote Léna Arnaud qui s’impose, et elle termine troisième. Elle termine la poursuite à la cinquième place le lendemain. Chloé Chevalier, Julia Simon et Léna Arnaud triomphent de leurs rivales allemandes et russes.
Après avoir fait ses débuts au sprint de Pokljuka en décembre 2015 et terminé 69e, Marie Dorin-Habert remporte la Coupe du monde cette année-là. Cette course faisait suite à la Coupe IBU de la semaine dernière (Ridanna en italien), où Ridnaun a terminé deuxième. Au cours de la saison 2017-2018, elle a fait ses débuts dans la Coupe IBU Lenzerheide, où elle a terminé troisième. Sa deuxième place dans l’étape du Grand-Bornand de la Coupe du Monde lui permet de se remettre sur les rails.
Elle peut participer à la chasse car elle fait partie des 60 meilleurs sprinteurs. Elle disputera l’étape Ruhpolding de la Coupe du Monde en janvier 2018, après sa performance dans la Coupe IBU de Brezno, où elle s’est classée deuxième au sprint. Elle fait ses débuts à la Coupe du Monde relais et termine dans le top 20 du classement individuel.
Après avoir terminé le parcours à la dix-neuvième place, elle dépasse Célia Aymonier pour se classer troisième, derrière sa sœur Anaïs et Marie Dorin-Habert. Marie s’était déjà classée respectivement troisième et deuxième avec une note parfaite de dix au lancer du poids. Malgré une pénalité d’une minute, elle a remporté l’épreuve individuelle aux Championnats d’Europe 2018 à Ridnaun.
Deux jours plus tard, elle a remporté l’argent dans l’épreuve de sprint malgré une erreur de tir due à des conditions de ski fantastiques. Grâce à un tir sans faute en finale, Julia Simon remporte son deuxième titre européen et se classe troisième. Ils terminent quatrièmes en trio aux relations mixtes : Simon Fourcade, Fabien Claude et Enora Latuillière.
Elle remporte le petit globe de cristal et termine deuxième du classement général de ce circuit, juste derrière l’Allemande Karolin Horchler. Elle a ensuite participé à la finale de la Coupe du monde à Tioumen, où elle a terminé 36e à la poursuite et 41e au sprint. Lors de la saison 2019-2020, elle a atteint son premier podium dans la réserve de Coupe du monde à Nové Město. En 2021 et 2022, elle remporte le relais à Ruhpolding, en Allemagne, aux côtés d’Anaïs Chevalier-Bouchet, Justine Braisaz-Bouchet et Julia Simon.
Les commentaires francs de Chloé Chevalier sur le biathlon sont présentés dans Nordic Magazine. La Dauphinoise Chloé Chevalier envisage depuis au moins un an la suite de sa carrière sportive. Après mûre réflexion, l’Iséroise a décidé de reprendre un nouvel entraînement à la mi-avril, après s’être désintéressée du biathlon. L’annonce officielle a été publiée dans le numéro de mai de Nordic Magazine.
Maintenant que tout est clair, Chloé Chevalier va continuer à travailler sans hésiter. Elle est finalement montée sur le podium de la Coupe du monde après un hiver joyeux. Même si les Mondiaux militaires de Boden (Suède) vivent “un moment chouette”, elle parle un peu tristement de ses objectifs de carrière avec Nordic Magazine. L’entrée.
Toutes les chances sont désormais en votre faveur pour poursuivre votre carrière, dont vous disiez qu’elle serait cruciale pour déterminer son sort à l’orée de l’hiver. J’ai choisi d’ignorer l’idée que ma carrière pourrait toucher à sa fin en ce début de saison. Je ne voulais pas déranger en posant trop de questions, mais maintenant que j’ai atteint mon objectif principal, j’attends les jours d’hiver restants avec optimisme.
Biathlon, biathlon 2023, nordicmag, nordic mag biathlon, nordic ski mix, ski spécial, nordicmag, nordic mag biathlon, nordic magazine, biathlon, ski nordique et nordic magazine sont autant de noms associés à Nordicmagazine. Le mannequin français Chloé Chevalier est représenté par l’agence Manzoni, qui fait partie de Nordic Focus.
Quelle problématique ?
Si seulement je pouvais raviver ma compétitivité intérieure et trouver comment profiter au maximum de l’hiver, j’apprécierais davantage mon travail. C’était quelque chose que j’avais hâte de faire tout l’hiver. Bien sûr, il y aura de bons et de mauvais moments ; rien dans la vie n’est jamais parfait. Cependant, je n’avais jamais rien vécu de pareil cet hiver. Les résultats n’étaient pas cohérents, mais ils restaient valables d’un point de vue scientifique. Je sais exactement ce que je veux dans la vie et où je veux que ma carrière aille. Je comprends aussi pourquoi j’étais absent de plusieurs cours. La dernière étape de mon voyage est encore devant moi.
Votre passion pour l’entraînement au biathlon semble renaître ; Qu’est-ce qui se cache derrière ce changement d’attitude ?
Beaucoup de gens pensent que je suis hypersensible et émotionnellement instable. Toute mon existence est motivée par la science, à l’exception du biathlon. Jusque-là, je n’étais pas bien en compétition parce que ça devenait assez difficile à gérer. Mes émotions se figeaient trop souvent lorsque j’entrais dans un état de haute tension. Afin de comprendre mon fonctionnement perturbé, de l’accepter et de lâcher les montagnes rouges, j’ai finalement travaillé en étroite collaboration avec un psychothérapeute cette année.
Créer un modèle m’aide à gérer le stress que je ressens, c’est pourquoi je fais tout cela. Cette année, les montagnes russes n’étaient pas aussi escarpées, mais ce n’était toujours pas un pique-nique. Je veux dire, allez ! En plus de votre course et de votre ski réguliers, vous devez pour autant faire un travail supplémentaire…
Je ne pense pas me comporter comme les autres athlètes, du moins pas parmi mes coéquipiers de l’équipe de France. Grâce à mes pensées et mes actions, tout le monde peut voir que je suis différent d’eux. C’est la partie qui a été la plus difficile pour moi quand j’étais enfant. L’incroyable agilité de Martin Fourcade est un exemple remarquable de joueur que l’équipe de France admire. J’ai essayé d’imiter son approche, mais ce fut un échec complet.
Sa personnalité doit être respectée. Avec les conseils de mon psychothérapeute, j’ai passé tout l’hiver à me préparer à cet effort massif. Même si cela m’a énormément enrichi, c’est épuisant. Je lui serai à jamais redevable de tout le bonheur et du contentement qu’il a apporté dans ma vie ; les résultats ne sont peut-être pas spectaculaires pour le moment, mais ils sont à des années lumières de tout ce que j’ai réussi par moi-même. “Je ne laisse pas la faute à mon seul esprit” (ce qui serait mentir) n’est qu’une chose parmi tant d’autres. Le magazine Nordic interviewe Chloé devenue célèbre.
Le fait que vous ayez constamment progressé au cours des quatre dernières saisons ne vous empêche-t-il pas de gagner à haut niveau ?
Pas moyen de l’arrêter ! Depuis que je maîtrise le circuit, mes adversaires peuvent progresser un peu plus vite. Mais chacun trace son propre chemin dans sa carrière en fonction de ses capacités. La capacité de faire face à l’adversité est une qualité personnelle ; tout le monde en fait l’expérience. Néanmoins, je m’efforce d’éviter la tendance gênante à me comparer aux autres.
Même si je ne prétends pas le contraire, j’admets que mes opinions sont loin d’être le seul facteur contributif. A titre d’exemple, j’ai eu du mal à me remobiliser pour la chasse le lendemain de mon arrivée à Antholz tellement je l’avais vécu intensément. J’ai franchi la ligne d’arrivée l’esprit en pleine course, même si j’avais parcouru le parcours dix fois [rires].
Même avant de commencer, cela me rendait nerveux. Une bénédiction et un fardeau, je suppose, est ma capacité à remarquer les choses avec autant de détails. Je n’arrive toujours pas à attirer mon attention là où elle doit être, au bon moment. Biathlon, ski nordique, Cyril Burdet, Chloé Chevalier, nordicmag, biathlon magazine, nordicmagazine, nordicmagazine.fr, nordicmag.fr, nordicmagazine.ca, nordicmagazine.fr, nordicmagazine.fr, nordicmag biathlon, nordicmagazine.fr et nordicmagazine. tous inclus dans ce contexte.
Cyril Burdet et Chloé Chevalier, deux artistes danois (Manzoni/NordicFocus)
Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir, comme vous l’avez mentionné au début de notre conversation… Il y a peut-être encore du chemin à parcourir, mais je progresse déjà sur la montagne (ou dans son esprit, si l’on en croit l’éditeur), en dans les airs et sur les pistes. J’ai vraiment hâte de reprendre l’entraînement en mai car je sais exactement ce que je dois faire et j’ai une longue liste d’axes de travail passionnants sur lesquels me concentrer. Que cela soit vrai ou non sera révélé plus tard ; Pour l’instant, je tiens juste à préciser que je suis vraiment motivé pour l’année à venir. Nordic Magazine contient une interview de Chloé Chevalier.
Votre première apparition sur le podium olympique est-elle prévue pour les Jeux de 2026 à Antholz, en Italie ?
Le faire une fois par an est, selon moi, la technique la plus efficace. plus vieux que toi. Après quatre ans, tout cela a du sens, mais je suis plus intéressé à l’écouter à la fin qu’au début, car je me rapproche de la fin. Si vous êtes toujours intéressé par le biathlon, j’aimerais le savoir. Quand on jouera aux prochains Jeux, j’aurai trente et un ans. S’il peut y avoir d’autres formes d’envie envers cette région, celle-ci ne sera pas aussi ancienne.
Néanmoins, c’est important. Donc je préfère dire que je suis vraiment motivé pour l’année prochaine ; si cela reste vrai ou non, cela deviendra plus clair plus tard. Attends une seconde. Biathlon, biathlon 2023, nordicmag, nordic mag biathlon, nordic ski mix, ski spécial, nordicmag, nordic mag biathlon, nordic magazine, biathlon, ski nordique et nordic magazine sont autant de noms associés à Nordicmagazine.
Est-ce que vous êtes conscient des conséquences de l’arrestation de votre sœur Anaïs Chevalier-Bouchet ?
Ma carrière sportive en sera affectée car j’ai toujours participé à des compétitions de biathlon avec elle. Tout le monde était dans le même bassin, quel que soit le circuit ou le groupe ! Nous sommes là pour nous entraider. C’est vrai : je comprends les bases. C’était une grande bénédiction de pouvoir faire les deux, car avoir quelqu’un de confiance pour tout était crucial, à mon avis.
Parce qu’elle est soulagée d’avoir pris cette décision, ce serait égoïste de ma part de me sentir désolée pour elle [rires]. Son emprisonnement n’a jamais mis mon travail en péril, malgré ma grande foi dans le mystérieux. Ce n’est pas parce qu’elle l’a fait que je devais arrêter d’avancer.