Emmanuel Macron Origine Portugaise – Lors de sa nomination à Bercy, j’ai découvert cet arbre généalogique, et je peux le résumer. En tant que paternost, ce sont les Picards qui brillent le plus. La famille MACRON est la première mentionnée ; il s’agit d’un clan modeste, typiquement rural, avec un long héritage de savoir-faire artisanal.
Ouvrier traditionnel de la lignée familiale née dans le village d’Authie entre Amiens et Arras, Philippe Macron est né en 1625 de François Macron et de Catherine Authy. Avec les données publiées par François Rivallain sur Geneanet, cette piste de réflexion peut être poursuivie.
Une lignée d’ancêtres d’Abbeville travaillait comme artisans. Avec COURTECUISSE et une poignée d’autres notables, certains d’entre eux avaient des attaches nordiques (Arleux, Douai, etc.). Par ailleurs, la branche de l’Aisne compte quelques lignées marquantes, dont une branche BOSSEUR au Grand-Rozoy et, en point culminant, un arrière-grand-père nommé ROBERSON, originaire de Bristol mais installé en France après la première guerre.
Ascendance montre des débuts modestes, avec un grand-père valet de chambre dont l’arrière-petite-fille est devenue administratrice d’une école primaire et l’arrière-grand-mère d’Emmanuel comme petite-fille. Une lignée méridionale avec des ramifications dans quatre départements :
Hautes-Pyrénées (à Bagnères-de-Bigorre avec la NOGUES) et Arbéost ; Pyrénées-Atlantiques (à Mifaget, Gazost et Louvie-Juzon, où d’éventuels cousinages avec François Bayrou, encore à confirmer, sont en cours d’élaboration) ; et enfin l’Hérault et l’Aveyron, avec des antennes à Arbéost et dans les Hautes-Pyrénées.
Plus de 300 familles françaises partagent ce patronyme, dont deux autres nommées Emmanuel Macron. Il est probablement dérivé du vieux mot picard maqueron, signifiant « esprit éminent », ou il pourrait s’agir d’un diminutif de l’ancien prénom Macquart, qui est une combinaison de « magan » (puissance) et « dur » (durabilité).
La prochaine étape de notre série sur les arbres généalogiques des candidats républicains à la présidentielle est Valérie Pécresse. Considérons cette semaine l’arbre généalogique d’Emmanuel Macron car il est candidat à la présidentielle.
Le président français Emmanuel Macron est né dans plusieurs régions de France : l’Amiénois (la région autour d’Amiens), la Bigorre et le Béarn (la région au sud de Pau et Tarbes, à l’est et à l’ouest de Lourdes), le Saint-Affriquain et le Lacaunais ( la zone située au sud du Tarn et de la frontière aveyronnaise), et enfin le Pays de Châteaubriant (la banlieue de la même ville). Dans le sud-ouest de l’Angleterre, il a aussi des racines.
Région française du nord (groupe ethnique)
Les grands-parents d’Emmanuel Macron sont tous deux décédés à Amiens, la ville où travaillent ses parents. Il y est né en 1977. Mais seul son grand-père André Henri Gaston Macron est né dans la région ; il est né en 1920 à Corbie (Somme), non loin d’Amiens, et sa famille est majoritairement originaire du petit hameau d’Authie, à quelques kilomètres au nord de la ville.
De la première à la neuvième génération de Macron, dont un François Macron qui résida ici en 1624, vous les trouverez tous ici. Outre les MACRON, DENEL, PERIN, FROIDEVAL, VASSEUR, ACCART, FAUBRY, HUIEZ, etc., les généalogistes de ce village ont également rencontré les NIBART, PETIT, DHEILLY, DEBEAUVAIS, HOULIER, SAGUIER, DOUCHET, et bien d’autres encore des environs. familles (Hérissart, Pierregot, Rainneville, etc.).
Un grand nombre de ses ancêtres travaillaient comme cloutiers, charpentiers, tisseurs ou fileuses, ce qui s’écarte de la vie typique à la campagne. Sachant qu’un incendie détruisit la quasi-totalité d’Audry en 1803, les industries du coton et du lin purent s’implanter, employant naturellement un grand nombre d’habitants, on comprend aisément pourquoi.
Opinions défendues par Arthur
Son arrière-grand-père, Alphonse Jules BOSSEUR, quitte le petit hameau de Villers-Hélon, situé à 130 km au sud de Soissons et à l’est de Villers-Côtterets dans l’Aisne, pour s’établir à Authie. On raconte qu’il épousa une jeune femme de la communauté. Les Champenois du Soissonnais qui ont résidé à Villers-Hélon, Arcy-Sainte-Restitute, Grand Rozoy, Muret-et-Crouttes, etc. et qui ont souffert des horreurs du front en juillet 1918 sont les ancêtres d’Emmanuel Macron.
Tous les membres des familles BOSSEUR et Duglands sont impliqués. Ils se séparent de leur ligne originelle à l’est de Soissons à Fontenoy par une toute petite branche : MIEL et CHARPENTIER. Il y avait un tailleur d’habits, quelques charrons, quelques manouvriers, une garde-moulin et une poignée de couturières, tous dans la moyenne.
La limite entre sa première et sa deuxième branche est son arrière-arrière-grand-mère paternelle, Suzanne Julie Amélie LEBLOND. Jamais cela n’atteint le littoral (Bernay-en-Ponthieu, Noyelles-sur-Mer, Forest-Montiers…) ; elle est solidement ancrée à Abbeville et dans les communes voisines.
Parmi eux se trouvent les suivants : Clochepins, Millons, Dubuses, Huberts, Troels, Maucombles, Planners, Saavrys. de Châteaubriant : le sieur Paul MALNOE (1731-1779) avait quitté son village natal de Rougé pour s ‘installer comme aubergiste à Amiens (familles MALNOE, GAULTRON, MASCE, LUSSE, CHONOUARD à Saint-Aubin-des-Châteaux, Fercé, Rougé, Ercé-en-Lamée).
Provence (la région sud)
Une figure souvent citée est feue Germaine Arribet, née à Tarbes et qui a été administratrice d’un collège ; elle était la grand-mère d’Emmanuel Macron. La région des Pyrénées-Atlantiques est le lieu où se sont installés certains de ses ancêtres.
Cette région comprend les villages de Bruges-Cabis-Mifaget (aujourd’hui commune composée de trois villages distincts ; seul Mifaget nous intéresse), Gazost, Germs-sur-L’Oussouet, Louvie-Juzon, Sainte-Colome, Arbéost. , et d’autres. Ces villes, que l’on appelle plus précisément hameaux, sont situées au pied des Pyrénées, entourées de forêts et de bocages.
Parce qu’il est original et mérite votre attention, le récit de Mifaget mérite qu’on s’y arrête. Sur le site Internet d’un passionné, on peut lire ceci : En 1385, quelqu’un mentionne « trois feux », ce qui signifie trois familles vivant dans trois ménages différents. Les terres agricoles furent vendues à la famille noble de Coarraze par la commanderie lors de la Réforme, survenue entre 1560 et 1599.
La commanderie Mifaget fut rachetée par les 37 ménages résidant sur le territoire entre 1752 et 1761. Un statut fut édicté le 15 mars 1752, avec pour sujets les religieux Barnabites de Lescar, leur accordant compétence administrative et autonomie. Ils n’ont pas encore atteint leur pleine autonomie par rapport aux Barabbadites, mais ils sont déjà en train de créer un corps communal gouverné par des législateurs élus ou des sages parmi eux.
Rejoignent officiellement Mifaget en 1792 sont les deux hameaux de Louvie-Juzon (Pédéhourat et Pédestarès) et le hameau de Sainte-Colome, dont les habitants avaient longtemps préféré Mifaget comme lieu de culte. S’il y avait des agriculteurs ou des bergers de l’ARRIBET, BOUHOT, TRIEP, QUINTALOUGUERE, LOT, GEIRÉ, LUQUET, GARROCQ, BRAU, etc., qui y passaient.
Observer Murat-sur-Vébre d’en haut
En continuant vers l’est depuis Grandpère Jean NOGUÊS, nous atteignons Bagnères de Bigorre, célèbre ville thermale qui s’étend à travers les plaines au pied de la montagne et encore plus lorsque la Méditerranée est considérée comme faisant partie de son territoire. D’autres communes comme Argelès-Bagnères et Castillon sont à proximité ; ce sont les maisons des NOGUÆS, MAZOUA, IZAAC, TARRISSAN, PUJO, ESPOEY et autres.
Les régions de Haute-Bretagne, du Tarn et de l’Aveyronnais ont chacune contribué pour moitié au sang de Jean NOGUÊS, selon sa mère. Esther Rosalie Emma MAS est née dans la petite commune de Pouzolles, non loin des villes de Pézenas et Béziers. A proximité d’Alignen-du-Vent, vous trouverez les familles MAS, BOUSQUET, SICARD et LIBÈS, qui sont ses “traverseurs” ou ancêtres agriculteurs.
L’Aveyron abrite Brusque, Camarès et Peux-et-Couffouleux, tandis que le Tarn abrite Nages et Murat-sur-Vèbre. Au nord du Larzac, dans les départements de Peux-et-Couffouleux et de Camarès, se trouvent ces communes. Situés dans une région densément boisée du sud du Massif Central, constituée en majorité de communes, les Monts de Lacaune abritent ces branches.
Le décompte de Brusque en 1868 était de vingt-trois lieux-dits (maisons insulaires), sept « villages » (plus de 25 habitants) et sept « hameaux » (moins de 25 habitants). Par temps clair, le sommet du Merdelou, culminant à 1 110 mètres, l’un des points culminants de la région, offre une vue sur la mer Méditerranée et la plaine de Béziers.
Leurs ancêtres, les ROUQUETTE, SÊBE, BLAYAC, ROQUE, CALAS, SÉNÉGAS, GOUZES, BARRIÉ, ABBAIL, GAYRAUD, CHABBERT, SENAUX, etc., vivaient dans cette région au XVIIe siècle, où l’on est conduit à une promenade à cheval le long de routes sinueuses. les sentiers. Ils étaient aussi agriculteurs, bouchers, maçons, forgeron, cardeur et même maître d’école.
Branche filiale en Angleterre
Aucune famille européenne n’aurait pu imaginer l’insondable tragédie que fut la Grande Guerre, et les effets de la guerre sur les générations qui suivirent ne se limitèrent pas aux familles des jeunes hommes qui périrent. Le soldat George William ROBERTSON d’Angleterre, comme plusieurs de ses compatriotes, était boucher de formation lors de la bataille de la Somme.
Lorsqu’il réalise qu’il a une chance de survivre, il décide de faire de la région son domicile permanent et rencontre Suzanne LEBLOND. Après son mariage en 1919, lui et sa femme ont eu un enfant avec la grand-mère d’Emmanuel Macron et ont finalement vécu à Abbeville. Dix ans après son divorce, il retourne en Angleterre et décède en 1956.
Il descend d’une longue lignée de personnes vivant dans le Devon, ayant des liens avec les régions du Gloucestershire, Bristol, Kempley, Stroud et Berkeley dans le sud-ouest de l’Angleterre, jusqu’à Exeter. Il est accompagné d’un grand nombre de Robertson, Notts, Nicholas, Skinners, Sindarbys, Baylies, etc.
Jeudi 5 mai 2022, Libération révélait qu’en février de l’année dernière, Emmanuel Macron avait reçu Marcelo Rebelo de Sousa à l’Élysée. Lors d’une visite privée, le président du Portugal a révélé un état de santé douteux… Un investissement très malavisé.
Selon le récit de Libération du jeudi 5 mai 2022, Emmanuel Macron a rencontré le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa à l’Élysée le 11 février. A l’occasion du lancement de la saison France-Portugal, événement dont l’objectif est de promouvoir l’actualité culturelle et politique des deux pays européens, le président français entend secrètement jeter un coup d’œil sur la communauté portugaise.
