Franck Riester Parents – Pour les quatre catégories de handicaps : auditif, mental, moteur et visuel, MuseoParc a obtenu en juin 2018 le label d’État « Tourisme et Handicap ». Par ailleurs, dans le cadre de sa stratégie remarquable, il a mis en place un site Internet à la fois entièrement personnalisable et facile à utiliser.
Les lauréats du deuxième prix sont le musée Crozatier du Puy-en-Velay et le musée Granet d’Aix-en-Provence. Après sept ans de fermeture et d’importantes réparations, le musée Crozatier est revenu au public en juillet 2018. Le jury a notamment salué la nouvelle approche épurée du musée, qui met au centre la liberté du visiteur. Le nouveau projet culturel et scientifique du musée, qui promeut l’inclusion et offre à tous des compétences de médiation, lui tenait également à cœur.
Dans une période de rénovations et de réorganisations approfondies, le musée Granet a considérablement amélioré son système d’accessibilité. Il était impossible pour le jury d’ignorer les similitudes entre cette affaire et le MuséoParc d’Alésia. Les deux ont vraiment réussi à intégrer parfaitement le concept de service tout au long d’un parcours de visite, ce qui garantit la chaîne du voyage. Une politique d’inclusion similaire est en place au Musée Granet.
Les Archives départementales des Deux-Sèvres remportent la troisième place. Le jury a été satisfait de la candidature du Centre des Archives Départementales, même s’il était difficile de faire un parallèle avec les projets du musée. Les citoyens de tous horizons sont les bienvenus dans les Archives. Leur vaste réseau de sites est une aubaine pour les politiques visant à rendre les services plus accessibles à tous et un outil puissant de développement public.
Autre institution qui utilise la « chaîne de l’accessibilité » comme thème fédérateur : les Archives départementales des Deux-Sèvres. Ils intègrent notamment l’idée selon laquelle l’accessibilité généralisée fait partie intégrante de l’autonomie du visiteur-lecteur.
Reconnaissance notable : Mucem Le Mucem bénéficie d’une reconnaissance particulière. La nomination du Mucem a été approuvée à l’unanimité par le jury en raison de son parcours riche et minutieux, qui reflète la politique très efficace d’accessibilité générique du musée.
Depuis son ouverture au public en 2013, ce musée national a fait de l’accessibilité l’un de ses principaux objectifs. Ces considérations ont été présentes tout au long de la conception de l’établissement et continuent d’être la priorité absolue de l’équipe.
Parmi les trois lauréats des 4e trophées du Tourisme accessibles dans la catégorie « Lieux de visites » figure Le Mucem, qui a reçu la marque d’État « Tourisme et Handicap » pour les quatre familles handicapées en juillet 2014, exactement un an après son ouverture.
Le coût Conformément aux efforts anti-discrimination du ministère de la Culture, la préservation du patrimoine pour tous est une priorité absolue. Le patrimoine pour tous fait partie intégrante des objectifs déclarés de la Commission interministérielle du Premier ministre pour le handicap.
Le monde de l’art a été stupéfait la semaine dernière par la sélection de Franck Riester comme cinquième ministre français de la Culture en six ans. Tout récemment, le président Emmanuel Macron a démis de ses fonctions Françoise Nyssen, qui suscite la discorde, en invoquant son manque présumé de capacité politique et ses conflits d’intérêts.
Il est devenu évident que la nomination était davantage motivée par des agendas politiques, commerciaux et bureaucratiques que par les principes culturels sincères de la France après la nomination de Riester le mardi 16 octobre ; les initiés ont commencé à s’interroger sur l’identité de l’homme politique et sur la manière dont il avait obtenu ce poste.
Riester est un défenseur de la culture pop, de la télévision, d’Internet et du sport, contrairement à Nyssen, qui était un ancien cadre de la prestigieuse maison d’édition Actes Sud. Malgré sa longue carrière politique, qui a visé le ministère de la Culture pendant des années et a reçu de multiples nominations, il est resté largement inconnu parmi les experts culturels.
Le législateur conservateur et gay n’a pas publié de déclaration définitive concernant son mandat après son triomphe ; au lieu de cela, il a partagé des opinions générales sur la culture, la violence dans la presse, le coming out et les droits LGBTQ. Sur les sujets controversés français du mariage homosexuel et de l’adoption, il est un ardent défenseur.
Cette nomination, selon les critiques, démontre la volonté du président Emmanuel Macron de s’entourer de ministres plus faibles afin de garder l’attention sur lui-même. Sa première décision a été de rejeter l’équipe proposée par Riester et de nommer à la place ses propres candidats au ministère de la Culture. Le président semble résolu dans ses efforts pour faire les annonces et les décisions cruciales concernant les équipes et les budgets, malgré sa popularité décroissante et le fait qu’il soit mêlé à de vives discussions sur l’immigration, les frontières et les élections européennes de 2019.
Seine-et-Marne : le ministre de la Culture Franck Riester, “l’enfant de Coulommiers”
Mardi, le législateur de 44 ans a officiellement rejoint le cabinet. Il incarne toujours l’idéal d’un homme « ouvert et cultivé » dans la commune briarde qu’il présidait. Ambitieux aussi.
“Cross Road” de Franck Riester
Le survivant du COVID remet sa chaise à un infâme ministre de la Culture après une séquence saisissante. Un portrait entrepreneurial. La scène se déroule le 5 mai et est surréaliste. Franck Riester, qui est sur le point d’être intrigué par un tribunal des artistes publié dans Le Monde, est en visioconférence avec une douzaine de vice-présidents régionaux aux affaires culturelles sur le grand navire déserté de la rue de Valois.
Dans sa plus grande interview jamais réalisée – il a eu le Covid-19 en mars – il évoque la réactivation des conseils culturels des territoires et explique le fonctionnement de différents fonds d’urgence, accompagné d’un petit groupe de conseillers de ce ministère vacant qui ont profité de les attraits de la drogue. C’est technique et ennuyeux comme la pluie sur les jardins clos du Palais-Royal ; il y a des moments où la liaison n’est pas bonne et où les longues jambes du ministre s’affaissent sous la table. “Poursuivre…
Il est admirable que le nouveau gouvernement ait fait preuve d’une telle diversité en termes d’origines. Mais si l’on considère seulement le gouvernement restreint annoncé en janvier, les racines du sud de la Loire (Castéra, à lignée patronymique à Lectoure, dans le Gers ; Retailleau, née Galdin, à racines dans le Gard et en Lozère), le l’est (à l’exception de celui de Vautrin), et l’ouest (si ce n’est pour Séjourné ?).
5 pour Vautrin et Olivia Grégoire et Darmanin, et 3 pour Béchu. Pendant ce temps, le nombre de cousins d’Attal oscille entre 69 et 111 depuis son arrivée à Matignon ! A côté de son père, Jacques Barrot, s’ajoute Jean-Noël Barrot.
En même temps, il existe des généalogies inexplorées à découvrir (Bergé, Thévenot, Lebec, peut-être Séjourné, et bien sûr Dati, dont on ne sait rien au-delà des grands-parents). En particulier, des études intrigantes ont été présentées à Maurice concernant l’arbre généalogique des Thévenot, qui comprendrait apparemment les ancêtres traditionnels venus de l’Inde pour remplacer les esclaves affranchis (Balasoobramanen ou Balasoobrananian, Ramassamy) ; le nom Thevenot étant celui de son mari, banquier issu d’une famille originaire du nord de la Haute-Saône.
Ainsi, en dehors de ces arbres plus ou moins complets sur Geneastar, on peut trouver l’arbre généalogique de Fesneau publié par Philippe Galliot sur Geneanet. D’autres arbres généalogiques sont assez faciles à retracer à l’aide de diverses ressources en ligne ; par exemple, l’arbre de Roland Lescure recense un grand nombre d’ancêtres spécifiques, que l’on retrouve également dans l’arbre de Frédéric Valletoux par l’intermédiaire de sa mère, née CUNIN des BROSSES et descendante de Philippe III le Hardi.
Côté parents surprenants, on retrouve ceux que l’on connaissait : Darmanin avec Marine Le Pen et Brigitte Macron, Lecornu avec Borne, et Belloubet avec Ferrand. Entre-temps, tout ira bien, puisque ce nouveau gouvernement donne aux généalogistes — du moins c’est ce qu’on peut dire — de quoi chercher. Les lauréats du Prix du patrimoine pour tous ont été annoncés par le ministre de la Culture Franck Riester lors de la neuvième cérémonie annuelle.
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Le prix Patrimoine pour tous, qui se distingue par sa démarche exceptionnelle d’accessibilité généralisée aux personnes handicapées motrices, visuelles, auditives ou mentales, a été créé en 2011 dans le cadre du programme de démocratisation culturelle impulsé par le ministère de la Culture.
Les institutions appartenant aux gouvernements locaux ou aux sites du patrimoine national qui ont adopté une politique d’accessibilité universelle, de haute qualité et de valeur exceptionnelle pour les personnes handicapées reçoivent cette médaille annuelle. Il place l’objectif d’accessibilité universelle dans son contexte et présente les travaux les plus avant-gardistes en matière d’offres culturelles visant à offrir plus d’indépendance aux personnes handicapées. Suite à sa réunion en novembre de l’année dernière, le jury a sélectionné les gagnants suivants :
Alise-Sainte-Reine remporte le premier prix du MuséoParc d’Alèsia.
La qualité exceptionnelle de la candidature du MuséoParc d’Alesia a été universellement reconnue. Depuis sa création et tout au long de son projet, ce centre d’interprétation, ouvert au public en 2012, a intégré l’accessibilité universelle. Le souci constant de l’inclusion des visiteurs en situation de handicap et la volonté des équipes de favoriser leur autonomie se reflètent dans l’offre culturelle et la vaste gamme d’outils de médiation, tandis que la chaîne de transport permet une continuité fluide depuis la périphérie du site.