Grands Parents Emile – Le 8 juillet 2023, vers 17h15, deux voisins du quartier du Haut-Vernet des Alpes-de-Haute-Provence sont les dernières personnes vues par Emile, deux ans. Huit semaines après la disparition, une « mise en situation » sera réalisée pour analyser les conversations qui ont eu lieu.
Jeudi 28 mars, huit mois après le mystérieux enlèvement du petit Émile au hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), une “mise en situation” ou recréation des faits est ordonnée. “Depuis longtemps”, telle est la stratégie de cette opération dans ce hameau de 25 habitants, qui réunira les “personnes qui étaient là au moment des faits” de l’été dernier. Il est essentiel d’éliminer toute contradiction potentielle dans les témoignages recueillis jusqu’à présent afin de faire progresser l’enquête, qui englobe de nombreux volets.
Impressionnante Disparition d’Emile : un cube de béton situé au centre d’une toute nouvelle piste, flanqué de deux ouvriers bulgares. L’avocate de l’enfant, Isabelle Colombani, considérée comme une grande confidente du grand-père Emile, a déclaré que “Toute la famille” et “une grande partie du village” seraient là.
Aucune personne de la communauté présente au moment de la disparition de la jeune fille n’a été contactée par les détectives, selon BFMTV. Les gens s’attendent à ce que quelqu’un qui n’était pas là au moment de l’événement revienne et remette les choses en ordre, malgré l’impression largement répandue du contraire.
Au centre de la caméra, deux témoins ont été témoins de ce qui s’est passé. Il semble que les personnes clés attendues jeudi aient été identifiées par les enquêteurs. C’est à juste titre que les projecteurs doivent être braqués sur les deux témoins oculaires et les grands-parents d’Émile, qui l’observaient. Dans ce cas, de nombreux habitants s’appuieraient largement sur les témoignages oculaires.
La Possession de la maison des grands-parents du petit garçon : le départ d’Emile est à voir absolument. Un témoin oculaire qui vivait à proximité de la famille a déclaré que l’enfant avait été vu pour la dernière fois marchant seul depuis la maison de ses grands-parents jusqu’au lavoir de la ville.
Après l’avoir vue se retourner, le second le vérifia. Toute coïncidence des heures indiquées ne rend pas les deux versions incompatibles. Cet arrangement pourrait offrir à ces deux personnes une chance de retrouver la mémoire. Enfin, vérifiez les éventuelles incohérences, confirmez les éléments existants et découvrez le moindre nouvel élément.
Vous pouvez entendre chacun des morceaux. Plan d’urgence, excursion ou incident ? Selon les nombreuses mises à jour concernant l’état d’avancement de l’enquête, aucune preuve n’a été découverte. Malgré le caractère inquiétant de celui qui a conduit à la chute mortelle, aucun reste n’a été retrouvé suite aux nombreuses attaques coordonnées contre le village.
Mais la famille et les amis d’Emile seront également au centre de l’attention. Il serait opportun que l’avocat des grands-parents du garçon soit présent pour les défendre. Un scandale a englouti Papy Terrestre. Concernant l’enquête sur des allégations d’agressions sexuelles et de violences dans une école privée catholique du Pas-de-Calais au début des années 1990, une source proche a vérifié que la grand-mère d’Emile, qui est du côté de sa mère, avait toujours été interrogée “au même niveau” comme le autres.
Lisez également Disparition d’Émile : le petit-fils du mineur cité dans une affaire de violence sur mineur en 1993. Selon le Canard Enchaîné, le grand-père a été cité comme témoin dans cette enquête concernant des événements à venir au sein de la communauté religieuse Sainte-Croix de Riaumont à Liévin (Pas-de-Calais).
Les gendarmes enquêteurs sur Emile “le savent depuis le départ”, selon l’avocat du grand-père, et divulgueront cette information constituerait “une violation grave de la présomption d’innocence”. Selon le reportage de BFM DICI du 14 février 2024, les enquêteurs du département de Marseille ont interrogé deux autres personnes dans le cadre de la disparition d’Émile. La première moitié de son audition a déjà été regardée par un homme.
Émile, tu as voyagé ? Personne n’a encore répondu à cette question au 8 juillet 2023. Le petit garçon de deux ans est passé ce jour-là sous le nez de ses grands-parents vigilants, alors qu’il était en vacances dans le Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence).
Après sept mois de recherches intensives, l’enfant est toujours introuvable. Il y avait encore beaucoup à entendre de la part des chercheurs de la Section de Recherche de Marseille. Deux autres personnes ont été auditionnées dans le cadre de cette disparition, selon une information BFM DICI du 14 février 2024.
Les gendarmes se sont présentés chez quelqu’un le 13 février 2024, en région Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Enfin, il a défendu nos confrères en affirmant que les militaires avaient été « tout à fait sympathiques » avec lui tout au long du procès. L’homme en question s’est montré direct lorsqu’on l’a interrogé sur le grand-père d’Émile.
En raison de sa relation avec les grands-parents d’Emile et de sa maison de vacances au Vernet, il affirme que les flics voulaient l’interroger pendant deux heures. Par conséquent, ses questions auraient porté sur un large éventail de sujets, y compris les proches du garçon et le caractère parfois décrit du grand-père.
Ce dernier a la réputation d’être assez dictatorial à l’égard de sa descendance et de sa progéniture. “Absolument pas de violence ou de paroles déplacées”, telle était la position claire de l’homme sur le sujet. Étant donné que leurs enquêtes auraient couvert un vaste domaine dans le passé, les enquêteurs auraient accordé à cette personne beaucoup de temps pour se fier à ses souvenirs.
Durant le mandat de maire de Monsieur Mollet (de 1953 à 1977, ndlr), ils s’enquièrent de la vie du village. Tous ceux qui y vivent depuis longtemps recherchent un portrait détaillé des familles d’origine. “Les recherches sont profondes et ça ratisse large”, signala-t-il après les déclarations. L’enquête sur la disparition d’Émile n’a révélé aucun coupable, comme indiqué précédemment.
Cette audition de deux heures est l’une des nombreuses que mène la Section de recherches (SR) de Marseille pour retrouver l’enfant. Émile, 2,5 ans, est porté disparu du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) depuis le 8 juillet et des informations font état d’au moins deux autres personnes assistant les détectives dans leurs recherches.
Le 9 février dernier, des membres de la gendarmerie nationale ont interrogé un résident secondaire de la région marseillaise. Le 8 juillet 2023, vers 17h00, il observe depuis son domicile les camions bleus aux gyroscopes lumineux montés en hauteur s’approcher du port du Haut-Vernet. C’était juste au moment où l’alarme était envoyée. Je ne reconnais pas cet homme. Avec qui passait-il du temps samedi ? Pourquoi a-t-il proposé de participer volontairement à l’étude ? Avec assurance, l’homme répondait à toutes les demandes.
“J’ai compris ce qui les intéresse”
Lundi 13 février, les militaires ont repéré une énième habitation secondaire. Sept mois après le début de cette mystérieuse affaire, Daniel* est soumis à une audition matinale de deux heures chez lui en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. “Ce sont des cadets marseillais qui ont été transférés”, révèle l’enquêteur avec lequel BFM DICI a pu rétablir des contacts.
Même si sa relation avec les troupes était « tout à fait sympathique », il est honnête et sait apprécier la curiosité des gendarmes à son égard. Il visite depuis longtemps le Vernet et y entretient une maison de vacances. Il coupe alors toute communication avec les grands-parents d’Émile.
Les inquiétudes concernant ses liens avec la famille d’Emile ont attiré l’attention. Les grands-parents, leurs enfants et la réputation du couple dans la communauté ne le préoccupent plus. A ne pas négliger : le caractère distinct des ancêtres d’Émile, en particulier leur moralité et l’apparente autocratie dont ils faisaient preuve envers leur progéniture. “Absolument pas de violence ou de paroles déplacées”, a rétorqué Daniel, mettant fin aux spéculations sur les grands-parents.
Comme c’est généralement le cas pour la plupart des auditions, les enquêteurs se sont contentés d’écouter et de prendre des notes sur la performance de Daniel. Il se souvient très bien de chaque instant de sa vie, de sa jeunesse à son service militaire, en passant par les pays qu’il a traversés, et même le petit village du Haut-Vernet, où se trouvait l’école du « Haut ».
Ils m’ont approché pour m’enquérir de la vie du village pendant le mandat de Maire de Monsieur Mollet. Tous ceux qui y vivent depuis longtemps recherchent un portrait détaillé des familles d’origine. En conclusion, Daniel résume les investigations longues et approfondies en affirmant que les enquêteurs ont à peine eu le temps de signer une déposition de trois pages avant de repartir pour Marseille.
Des perquisitions ont eu lieu mardi dernier dans 31 logements répartis dans 6 départements et sur la commune du Vernet. L’un de ces lieux est la maison où Emile, un petit garçon, a disparu le 8 juillet de la maison de ses grands-parents. Le 7 novembre, trente et une personnes ont été entendues, ce qui constitue une nouvelle et importante étape dans les investigations sur la disparition du petit Emile, selon le Parisien.
Depuis près de quatre mois, les investigations n’ont donné aucun résultat. Il est fort probable que les individus visés par ces opérations étaient liés d’une manière ou d’une autre à Emile, puisqu’ils ont été retrouvés près de son lieu de disparition le 8 juillet. L’analyse des données mobiles a été importante pour identifier à la fois les résidents de longue date du Vernet et les touristes de passage dans cette affaire.
Les enquêteurs se pencheraient sur les arrière-grands-parents et grands-parents maternels du petit Émile, porté disparu le 8 juillet. En effet, il y a quatre ans, leur résidence secondaire a été la cible d’un incendie criminel, selon Le Parisien qui a révélé l’affaire jeudi 3 août.
La famille d’Émile, deux ans, est portée disparue depuis le 8 juillet et la nouvelle est tombée il y a un peu plus d’un mois dans Le Parisien, qui les a déjà touchés. Nos confrères nous racontent qu’en 2019, les arrière-grands-parents maternels de l’enfant habitaient encore le hameau de Boullard dans les Alpes-de-Haute-Provence, et qu’ils ont vécu une terrible épreuve.