Isabelle Mergault Parents – L’adoption de sa fille par Isabelle Mergault en 2010 lui vaut une invitation à apparaître dans l’émission “C à vous” de France 5. Des sentiments affectueux pour la petite fille, qui avait à peine un an, m’ont envahi lorsque j’ai rencontré sa mère. «J’ai commencé à le garder», a déclaré Isabelle Mergault.
“Je lui ai dit, écoute, si tu veux, je la garde à la maison mais il faut faire les choses en règle”, a déclaré l’actrice à l’homme, changeant d’avis quant à savoir si elle voulait ou non un enfant après leur rencontre. Tant que les liens avec la famille d’origine sont maintenus, il s’agit d’une simple adoption, a-t-elle précisé.
Une complicité nouée entre les deux mères “Elle est partie au Niger, elle est revenue en France, elle était très occupée”, explique-t-elle. Aujourd’hui, ils se fréquentent encore, ce qui permet à la petite Maya de conserver un lien avec ses parents biologiques. Maya peut donc toujours voir son papa et sa maman, mais je suis responsable de son éducation. Elle n’a pas renoncé à ses droits. “Cependant, elle porte mon nom.”
Unadoption qui n’était pas prévue
L’actrice de 65 ans avait expliqué ce qui l’avait poussée à récupérer la petite fille quelques années après l’adoption : La coach de vie professionnelle Isabelle Mergault est de retour devant la caméra. Son prochain long métrage, “Des mains en or”, sortira en salles le 7 juin. Sur scène, on peut voir Lambert Wilson, Josiane Balasko, ou encore Sylvie Testud.
Invités de Quelle époque! sont bombardés de questions, parfois sur des sujets ridicules. Samedi 10 février, Léa Salamé, son acolyte Christophe Dechavanne et leurs reporters ont accueilli huit nouveaux invités sur leur tribune : Laurent Lafitte de la Comédie Française, Jean-Luc Reichmann,
Sur le plateau, on pouvait voir du beau monde et avoir des conversations importantes. Parmi eux, l’un des plus riches était Laurent Lafitte, qui, comme ses voisins, parlait de son actualité. D’ici le 24 avril, il se produira dans une nouvelle production de Cyrano de Bergerac à la Comédie Française. Aux côtés de Jennifer Decker, Laurent Stocker et Nicolas Lormeau, l’acteur joue le rôle. Ses admirateurs pourront le revoir dans le long métrage d’Olivier Py, Le Molière imaginaire, qui sort le 14 février, jour de la Saint Valentin.
Isabelle Mergault était parmi les invitées et a elle aussi parlé des hommes et de leur vie. Et au moment où elle expliquait qu’elle était paresseuse et qu’elle trompait les hommes pour les faire quitter, Christophe Dechavanne l’a interrompue pour parler de tout autre chose. En fait, il s’est brièvement intéressé à elle, au point qu’elle n’a pas immédiatement compris ce qu’il voulait dire.
Il s’agit notamment d’une forme contractée de Mérigault (45, 86, 78), nom germanique qui apparaît dans les chartes sous le nom de Merigaldus, parfois Merigaudus, et qui était porté, entre autres, par un évêque d’Autun. Pour une autre option, voir également Mérigot. Sur la scène de quelle époque ! Le samedi 10 février, Isabelle Mergault a été interrogée au sujet d’une maladie dont elle souffrait à l’époque.
En effet, l’animateur lui avait demandé directement : “Est-ce que vous êtes toujours poto ?” Elle était potomane quand je la connaissais. “Hé, c’est fini ?” Il a demandé. “Ah oui!” dit-elle en réponse. “J’avais besoin d’au moins cinq litres d’eau chaque jour”, a-t-elle expliqué.
Cependant, j’avais vraiment peur. Non mais c’est terminé, ce n’était pas la question, on s’en fout !”, l’interrompit-elle. Elle est la fille d’un père chirurgien et d’une mère chercheuse ; ses frères et sœurs comprennent un frère et une sœur. Elle fréquente l’école des Beaux-Arts après avoir terminé son baccalauréat en tant que candidate libérale lorsqu’elle est adolescente.
Gleichzeitig enrole-elle dans des cours de théâtre, accompagné par une copine. A dix-huit ans, elle consulte un orthopédiste pour son trouble de la mentonnière. Le spécialiste lui conseille de conserver la petite marque du fabricant, qu’elle trouve très utile pour sa carrière d’actrice. Après réflexion, Isabelle Mergault décide de poursuivre dans cette voie. Parce qu’elle veut devenir sa propre patronne, elle se retrouve rapidement propulsée vers une vie active : elle commence à faire des castings et devient secrétaire-sténo-dactylo.
Sa carrière d’actrice débute en 1979 avec La dérobade de Daniel Duval, dans lequel elle incarne une prostituée ; en 1980, elle réalise Diva de Jean-Jacques Beineix. Elle enchaîne ensuite les seconds rôles dans des comédies des années 1980, dont : Les hommes préfèrent les grosses (1981), Pour 100 briques t’as plus rien (1982), P.R.O.F.S. (1985), Lévy et Goliath (1987), etc. Elle décide cependant de mettre fin à sa carrière d’actrice en 1991 avec Les clés du paradis de Philippe de Broca, qui sera sa dernière apparition sur grand écran.
A la fin des années 1980, Philippe Bouvard, captivé par sa gouaille sans pareil, l’invite à rejoindre sa joyeuse bande, les Grosses têtes. Elle utilise ce temps pour se concentrer sur l’écriture de scénarios et de dialogues pour la télévision et le cinéma, laissant derrière elle la comédie.
Elle passe à l’écriture de scénarios de téléfilms (Sans mentir, Un printemps de chien) après être apparue dans quelques épisodes de la série Classe mannequin en 1991. Mais c’est en 1999 qu’elle se fait connaître pour la première fois en écrivant le scénario du long métrage de Gérard Jugnot, Meilleur espoir féminin.
Isabelle, toujours paysanne, accepte de retrouver son ami Laurent Ruquier à la radio (Rien à cirer, On va s’gêner) puis comme animatrice de l’émission de France 2 On a tout essayé. Sur scène, le duo est tout aussi fantastique : la comédienne donne vie aux compositions de Laurent Ruquier ; en 2003, la presse est unanime, et deux ans plus tard, Si c’était à refaire, la réaction est immense.
J’ai ensuite repris le panache et j’ai écrit le scénario de Je vous trouve très bien. Après avoir été réticente au départ, l’actrice est finalement convaincue de passer derrière la caméra par le futur acteur Michel Blanc et le producteur Jean-Louis Livi.
C’est ainsi qu’Isabelle Mergault fait ses débuts en tant que réalisatrice en 2005, et cela devient un succès commercial éclatant. Outre Enfin veuve (2008) et Donnant donnant (2010), elle réalise deux autres films basés sur cette expérience. L’actrice apparaît fréquemment dans des productions scéniques, comme Adieu, je reste ! (2013) et Ouh Ouh (2014), restant fidèle à ses premières amours.
Vous pourrez la revoir en 2017 dans le film de Gérard Jugnot C’est belle la vie quand on y pense, dans le rôle de Lisa. En 2018, elle s’essaye au théâtre et écrit la pièce La Raison d’Aymé, dans laquelle elle joue aux côtés de son ancien partenaire au cinéma Gérard Jugnot. Isabelle Mergault joue aux côtés de Lambert Wilson, Sylvie Testud et Josiane Balasko dans le film 2023 Des mains en or.
Isabelle Mergault entretient son jardin secret dans sa vie privée. Elle a adopté une petite fille nommée Maya, née en 2009 et d’origine nigériane. Isabelle Mergault, actrice française, fait fortune grâce à l’adoption de sa fille.