Jean-Christophe Markovic Wikipédia – Jean-Christophe Markovic était un basketteur professionnel français devenu l’un des plus grands de sa génération presque contre son gré. Ce récit fictif plonge dans sa vie. Dopage, manipulation, batailles d’ego, transferts, intermédiaires sulfureux, etc. font tous partie de ce microcosme, où les valeurs réelles sont parfois abandonnées pour des raisons qui dépassent la conscience fondamentale de l’athlète.
Les concurrents du plus haut niveau fascinent en vomissant leurs entraînements. Tous les aspects de la machine invincible qui détermine le sort des athlètes – du personnel médical aux médias en passant par certaines affaires administratives – sont connus. En fin de compte, les déraillements sont toujours horribles, et ils laissent toujours des traces indétectables lorsque l’ennemi intervient et que les pantins deviennent de simples observateurs de leur propre perte.
Suivez la vie d’un homme ordinaire au destin légendaire depuis sa jeunesse jusqu’à son dernier match professionnel dans ce récit émouvant et inspirant. Une œuvre de fiction centrée autour du sport du basket : “Markovic de Jean-Christophe, dans les caniveaux du sport business”.
Après le succès de son film “La légende”, le livre de Florian Hessique “Markovic de Jean-Christophe, dans les coulisses du sport business” est paru aux Editions de l’Harmattan. Hessique est acteur, réalisateur et scénariste. Élément de vente particulier : il joue avec le panier comme point central.
Même si Florian Hessique s’intéresse depuis longtemps au jeu d’acteur, à la mise en scène et à la scénographie, il n’est en réalité qu’un danseur dans l’âme. En ouverture de la compétition de la section “Cannes écrans juniors” du Festival de Cannes 2018, il rejoint le casting du long métrage La Légende (MC4 Distribution).
Résumé : Ce récit fictif plonge en profondeur dans le quotidien du basketteur professionnel français Jean-Christophe Markovic, qui fut presque inconsciemment l’un des plus grands de sa génération. Les viles procédures du sport d’élite fascinent, y compris les transferts, les intermédiaires sulfureux, le dopage, les manipulations et les batailles d’ego.
Tout, du personnel médical aux médias en passant par certains événements administratifs, fait partie du système imparable qui détermine la réussite ou l’échec d’un athlète. “L’être humain est complexe”, écrit-il. Il y a encore quelques semaines, l’idée de gagner sa vie grâce à cette activité m’était totalement étrangère.
Il me suffisait d’éprouver, ne serait-ce que pour quelques instants, la sensation d’être au sommet, qui ne m’avait jamais fait rêver auparavant. Sans avertissement, mon enthousiasme pour exceller a diminué. Cette idée me paraît complètement absurde. Elle ne me tient plus à l’esprit.
Même si je n’ai jamais fait trop d’efforts, j’envisage ici de tout faire, de manger à respirer en passant par dormir dans un panier. Le sport a permis à ce qui était autrefois une carrière de devenir un mode de vie. Disposition des fruits. Florian Hessique réalise et raconte le documentaire sur le basket-ball “Difficile de recréer l’illusion”.
Tourné à Angers en 2017, “La Légende” suit un basketteur en quête de rêves qui met tout en œuvre pour atteindre les sommets. Elle sera diffusée sur la chaîne l’Équipe le jeudi 7 mai. Florian Hessique, qui a grandi à Seich-sur-le-Loir (Maine-et-Loire) et y a passé son adolescence, est le cinéaste qui détaille le processus de réalisation du cinéma sportif.
Après avoir passé un temps considérable à se faufiler sur les parquets des terrains de basket, Florian Hessique, 33 ans, s’est finalement tourné vers la lumière des projecteurs. Son deuxième long métrage, “La Légende”, est tourné en Anjou en 2017 lorsqu’il se reconvertit dans la réalisation. Situé dans le théâtre historique Jean-Bouin d’Angers, ce film suit un basketteur anglo-saxon qui guide un joueur amateur, qui se trouve être le protagoniste, à travers les épreuves d’adaptation du sport au grand écran.
Comment s’est passée votre incarcération jusqu’à présent ?
À Paris, je suis tombé malade. L’exécution est impeccable. Je suis capable d’avancer avec des idées futures malgré leur imprévisibilité puisque j’écris fréquemment. En plus de cela, je l’utilise pour accomplir des choses pour lesquelles je n’aurais normalement pas le temps, comme lire un peu, regarder des séries Netflix, etc.
En matière de basket, Jean-Christophe Markovic est inégalé. Il pourrait évoluer dans une des meilleures équipes d’Europe, mais à 25 ans, il préférerait retourner sur son terrain d’entraînement d’Angers. Certains joueurs le traitent avec un peu de froideur puisqu’ils le perçoivent comme un adversaire.
En fin de compte, Markovic s’accepte et s’aime, mais ses aspirations sont anéanties lorsqu’il se fracture la jambe. Laure, sa kinésithérapeute notamment, a déclaré que sa carrière est terminée. En revanche, le jeune homme est déterminé à jouer pour la France au niveau national et a repris l’entraînement. Il finit par ruiner sa santé en recourant à des analgésiques surpuissants…
Dans son deuxième long métrage, Florian Hessique imagine le conte d’un prodige du basket qui, suite à un grave accident, retourne dans son club formateur. Malheureusement, les ralentissements interrompent les étapes de jeu. L’ancien acteur et réalisateur se dérobe à ses responsabilités d’esprit d’équipe et abandonne le reste du groupe.
En bref, Jean-Christophe Markovic vit actuellement l’apogée de sa carrière de basketteur professionnel à vingt-cinq ans. Malgré les offres de certains des clubs les plus réputés d’Europe, Jean-Christophe aura l’idée audacieuse de retourner dans son club d’élite autrefois promu. Les rêves d’un fils ? Equipe nationale de France.
Critique : On espérait une vision méta-discursive des buts du personnage de basketteur de Florian Hessique dans l’amateurisme du film, qui lui servait de premier long métrage. Le jeune cinéaste fait peut-être confiance à ce novice qui rêve d’équipe de France pour remporter un Oscar pour son long métrage. Mais cet endroit reste intact.
Compte tenu de la nature terrifiante de son travail, l’attention minutieuse portée aux détails par Hessique dans le tournage de ses personnages est décourageante. Bien qu’il soit difficile de cerner exactement, les interprétations et la photographie qui animent ce long-métrage sont radicalement différentes de ce que l’on voit souvent au cinéma. Si cela devait aller quelque part, ce serait dans des téléfilms mal réalisés.
Le médecin du sport dont les lignes de conversation incroyables sont racontées par un surjeu qui les rend encore plus hideuses est un autre exemple d’une de ces terribles décisions de casting ; une autre est Géraldine Lapalus, l’une des “stars” de la série Camping Paradis, qui pourrait jouer le rôle amoureux du protagoniste.
Patrick Préjean, actif depuis longtemps, n’a publié que quelques ouvrages entrant dans cette catégorie encourageante. Le cas le plus intéressant est celui de Florian Hessique car il ne comprend pas la situation de cet athlète antipathique. Il a envie de lui faire de plus en plus de coups de gueule, et à chacun il s’immerge de plus en plus dans sa drôle de caricature.
Parce qu’il cherche à documenter le côté le plus sordide du basket-ball – un sujet en contradiction avec la sanctification conventionnelle de l’éthique sportive – le visionnage du film devient pénible malgré ses nobles intentions. Compte tenu des effets de ralenti utilisés dans chaque scène sportive et de la bande sonore qui domine sévèrement les émotions du personnage de Hessique, il semble que les publicités les plus dérangeantes soient la seule source d’inspiration de Hessique.
Vous pouvez être certain que la tentative de La Légende de mettre en valeur l’ambition destructrice du protagoniste en utilisant ses défauts est totalement infructueuse. On y voit plutôt une preuve de l’innocence de son réalisateur, dans le sens où on le gronde presque pour cela. Au moins, nous ne pouvons que prier pour que les amateurs de basket en France qui attendaient une adaptation de leur sport bien-aimé pardonnent son sombre tableau.
La vie de basketteur de Florian Hessique a inspiré l’intrigue de son prochain film La Légende, qui sera diffusé en avant-première jeudi à 20h50 sur la chaîne L’Équipe. Même s’il est sorti en 2018, le film reste toujours une fiction. Dans les années qui ont précédé sa carrière de danseur de cinéma, Florian Hessique a accumulé un solide CV de basketteur.
A l’affiche de son long métrage La Légende de 2018, dont l’avant-première est prévue ce jeudi à 20h50 sur L’Équipe, il s’apprête actuellement à incarner le rôle principal : un ego gonflé et un os cassé affrontent le jeune basketteur Jean-Christophe Markovic alors qu’il lutte contre le dopage.
Pour quelles raisons avez-vous décidé d’écrire sur le championnat de France de basket ?
Au début de l’article, il a été souligné que les médias français ignoraient largement le basket-ball. Je trouve cela désastreux. Les cinéastes américains présentent également fréquemment des joueurs de basket-ball dans leurs films, ciblant généralement un public adolescent avec des titres comme High School Musical. A l’inverse, documenter un match de basket n’a jamais été mon objectif.
Pour commencer, l’intrigue tourne autour de la drogue et des problèmes individuels ; ce n’est pas exclusif à ce sport. Un héros qui ne recule devant rien pour atteindre son objectif représente l’idéal américain. Maîtrisais, j’ai été maîtrisais à un moment donné. Parmi les clubs dans lesquels j’ai rebondi du 16 au 22, il y avait Angers, Auxerre et Gap.
Même si j’ai concouru jusqu’en Pro B, j’ai remis en question mes capacités. “Ce n’est pas possible, ce sont des clubs amateurs” est une réponse courante des clubs professionnels interrogés sur le territoire. Il n’y a pas de logistique, juste un peu de gestion pièce par pièce. Il fonctionne comme son propre petit univers. Bien qu’elle ait un aspect public, elle n’en reste pas moins une fiction. “The Last Dance”, le documentaire de Michael Jordan, n’est pas cela.
Avez-vous frappé des joueurs de basket-ball ?
Il y a quelques personnages secondaires inspirés de mes expériences de jeu, mais ils ne sont visibles que dans les avant-premières. Les acteurs ne devraient pas être des personnages célèbres ; c’était mon intention. Même si Thierry Lhermitte fera un excellent travail en tant qu’entraîneur, on verra surtout Thierry Lhermitte. Dans cette partie, Olivier Pagès excellait. Il a même été confondu avec Jacques Monclar par d’autres. De plus, sa voix dégage un air d’attrait magnétique. En France, « Notre société n’est pas très basket-boutique ».