Jean-Claude Pascal Et Son Compagnon

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Jean-Claude Pascal Et Son Compagnon
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Jean-Claude Pascal Et Son Compagnon – Vous vous souvenez du chanteur manchois Jean-Claude Pascal, vainqueur de l’Eurovision en 1961 ? Qui était-il? De quoi se souvient Jean-Claude Pascal ? Le chanteur remporte l’Eurovision le 18 mars 1961, après avoir passé sa jeunesse dans la Manche. Il a remplacé le Luxembourg. Ramenez tout cela au présent lorsque le 65e concours de chant annuel aura lieu le samedi 22 mai 2021.

Le 18 mars 1961, Jean-Claude Pascal remporte le Concours Eurovision de la chanson avec la chanson “Nous les Amoureux”. A l’époque, il y avait six candidats. En 1960, la France remporte le trophée avec Jacqueline Boyer et sa chanson “Tom Pilibi”, tandis que le Luxembourg est représenté par la chanteuse qui a passé sa jeunesse dans la Manche. Retour sur son parcours un seizième siècle plus tard, lorsque la 65e édition du concours aura lieu le samedi 22 mai 2021, à Rotterdam, en Belgique.

Jean-Claude Pascal fait seulement ses débuts en tant que chanteur lorsqu’il remporte l’Eurovision. L’acteur qui travaillait jusqu’alors a quitté l’année précédente, “lassé de jouer des rôles de beau gosse et de jeune premier”, comme il le dit. Il a commencé sa première carrière en 1947, alors qu’il avait vingt et un ans. vieux, en s’inscrivant dans une école de théâtre parisienne appelée Simon. Jean-Claude Pascal devient à ce moment son nom de scène, en remplacement de Jean-Claude Villeminot.

Son enfance se passe dans la Manche ; il est né à Paris.

Né dans une riche famille parisienne de créateurs de mode, Jean-Claude Worth perd son père alors qu’il n’a que 18 mois. Le manoir de Brion, à Dragey (Manche), a été acheté par ses grands-parents en 1923, et ce sont eux qui l’élèvent. La construction a commencé au début du XVIIe siècle, et “c’est sans doute le premier exemple de la renaissance artistique combinée avec le Moyen-Âge”, note Michel Lemoussu dans son ouvrage sur la commune, Dragey, histoire et patrimoine.

Tout en s’occupant des autres enfants du personnel et du village, le jeune Jean-Claude grandit dans un parc de 200 hectares aux côtés de son grand-père, véritable gentleman farmer. En 1944, alors qu’il a 17 ans, Jean-Claude Villeminot forge son identification afin de s’engager dans la 2e division aveuglée du général Leclerc. Tout cela était dû au déclenchement de la guerre.

D’abord dans l’industrie de la mode, il passe ensuite au théâtre où il travaille avec Pierre Renoir et Edgar Feuillère. Il joue dans dix films dans les années 1950, dont Comment ne pas épouser un milliardaire. Auteur-compositeur-interprète, Jean-Claude Pascal fait ses débuts comme chanteur à Bobino en interprétant des chansons écrites par de jeunes artistes méconnus comme Bernard Dimey, Serge Gainsbourg ou Jean Ferrat.

Selon certains témoignages, « il désirait acheter le presbytère de Dragey » lors de son retour au pays de son enfance au début des années 1990. Dans des ouvrages ultérieurs, comme L’enfant et les giboulées, dans lesquels il évoque son enfance, il assume le rôle d’auteur.

A 65 ans, il mettra fin à ses jours, ignoré des médias et malade. Ses cendres étaient dispersées, en partie, dans la baie du Mont-Saint-Michel. Plus tard, en 1965, le concours sera remporté par France Gall avec Poupée de cire poupée de son, et en 1977, par Marie Myriam avec L’oiseau et l’enfant.

En mai, la chanson “Us les amoureux”, interprétée par Jean-Claude Pascal à l’Eurovision, fait son grand retour grâce à un clip vidéo diffusé par Santé publique France dans le cadre d’une campagne contre les discriminations liées au genre et à l’orientation sexuelle.

Acteur, chanteur français , et écrivain Jean-Claude Pascal (de son vrai nom : Jean-Claude Roger Henri Villeminot) est né à Paris le 24 octobre 1927, et décédé à Clichy-la-Garenne le 5 mai 1992. Son engagement dans la 2e Division blindée, ce qu’il pénètre encore aujourd’hui à Strasbourg, s’est produit quand il avait dix-sept ans, en 1944. Il reçoit l’Ordre du Lion pour sa bravoure.

Jean-Claude Pascal débute sa carrière cinématographique au début des années 1950, dans le rôle d’un séducteur, après avoir quitté le métier de styliste de mode à la fin des années 1940 pour poursuivre une carrière théâtrale. Au milieu des années 1950, il se lance également dans une carrière de chanteur de charme. Il revient à ses racines littéraires et historiques au début des années 1970 en publiant Mémoires, noirs et romans historiques. Il est chevalier de la Légion d’honneur et maître des arts et des lettres. Il est mort en 1992, presque oublié.

Jean-Claude Pascal Et Son Compagnon

Membre d’une longue lignée d’industriels textiles, Jean-Claude Villeminot a débuté sa carrière de créateur de mode et de mannequin peu après la Seconde Guerre mondiale, travaillant pour des marques comme Hermès, Christian Dior et Roger Piguet.

Il est rapidement devenu connu pour sa beauté saisissante. Il met ensuite ses talents de créateur de mode au service de la scène, créant des costumes, notamment pour la production de Louis Jouvet du Dom Juan de Molière. Il décide rapidement de devenir comédien après s’être senti à l’aise dans le monde du théâtre.

Après avoir suivi les cours d’art dramatique de René Simon, il fait ses débuts sur scène en 1949, d’abord aux côtés de Pierre Renoir. De 1950 à 1952, il est le partenaire de la grande Edwige Feuillère dans La Dame aux camélias, écrit et réalisé par Alexandre Dumas fils. Puis, sur l’insistance de sa famille, il change son nom pour Jean-Claude Pascal.

Jean-Claude Pascal incarne la séductrice romantique qui enchantait le cinéma français des années 1950 avec sa grande stature, son élan, son regard ténébreux et sa diction classique héritée de sa formation de comédien de théâtre.

Parmi les acteurs les plus incompris de la critique française figure Jean-Claude Pascal. Malgré une transition réussie vers la musique, il est aujourd’hui largement oublié du public et des médias malgré son assassinat par la Nouvelle Vague dans ce film populaire. Pourtant, la population le tenait en haute estime comme une idole.

En fait, les historiens du cinéma ignorent ou dénigrent pour la plupart les metteurs en scène populaires qui l’ont dirigé, comme Ralph Habib, Léonide Moguy, puis Pierre Gaspard-Huit : Guinguette (1958) de Delannoy est considéré comme « soigné mais impersonnel », et Les Arrivistes ( 1960) de Daquin est considéré comme « conventionnel ». Malgré des partenariats intéressants avec Alexandre Astruc ou Pierre Schoendoerffer, l’acteur se contentait souvent de « vendre ses tripes », comme le reconnaissait volontiers Jean-Claude Pascal.

Aux côtés d’Anouk Aimée, des “scandaleuses” Françoise Arnoul et Martine Carol, de Zizi Jeanmaire, une Bardot en herbe, des bombes italiennes Gianna Maria Canale et Gina Lollobrigida (avec Lollobrigida dans le tristement célèbre film de Robert Siodmak, Le Grand Jeu de 1954), Romy Schneider. ou encore Michèle Mercier, Maria Mauban, Renée Saint-Cyr, Pascale Roberts, Anne Vernon ou encore Madeleine Robinson, toutes stars du cinéma traditionnel français, le beau Jean-Claude doit son premier succès d’acteur à une femme, Edwige Feuillère.

Après avoir affronté le légendaire Pierre Fresnay dans son quatrième film, Un grand patron (1951) d’Yves Ciampi, le jeune homme connaît le succès au théâtre. Le succès critique est dû au court métrage Le Rideau cramoisi d’Alexandre Astruc (1951), seul rôle qui le sauve de la colère des historiens du cinéma et exprime avec joie son trait de personnalité cyclique.

Pour Jean-Claude Pascal, les vêtements historiques convenaient parfaitement. L’acteur incarna ensuite “le caprice” dans “Un caprice de Caroline chérie” (1952) et “Milord l’Arsouille” (1955) d’après un scénario et des dialogues de Jean Anouilh, d’après Le Chevalier de la nuit (1953). Il prête également sa voix distinguée au prétendu amant de Marie-Antoinette, Axel de Fersen, dans Si Versailles m’était conté (1953) de Sacha Guitry et au tsar Alexandre Ier dans une production ultérieure, La Belle et l’empereur (1959). .

Dans ses rôles de Barbey d’Aurevilly (Le Rideau cramoisi) et d’Honoré de Balzac (Les Arrivistes (1960) d’après La Rabouilleuse), Jean-Claude Pascal semble se consacrer au genre romantique ; en 1956, il apparaît dans une adaptation de La Châtelaine du Liban de Guy Des Cars, et en 1959, il incarne le Pêcheur d’Islande de Pierre Loti, où il « s’y croit un peu, en loup de mer barbu », selon le critique. Aurélien Ferenczi. Jacques Companeez et Pierre Lary ont cosigné les scénarios de certains de ses films.

Durant le tournage, il apparaît dans de nombreuses productions saluées par la critique, dont celles mettant en vedette le comédien italien Toto et Simone Simon, Erich von Stroheim, Arletty, Yves Robert, Danielle Darrieux, Jeanne Moreau, qui était au sommet de sa carrière, Juliette Gréco, Paul Meurisse, Raymond Rouleau, Roger Hanin, Charles Vanel (à qui il succède dans Pêcheur d’Islande), Annie Girardot et Valérie Lagrange.

En face, il est très occupé avec les créations étrangères. Seuls quelques films italiens et Opération Opium (1966) de Terence Young, réalisateur des premiers films de James Bond, le mettent en scène. Dans le roman d’Anne Golon, Jean-Claude Pascal incarne un personnage noir, obsessionnel et complètement féminisé dans le final de la série Angélique de 1968, “Grand Eunuque du Sultan du Maroc”. Son dernier film, Les Toits de Saint-Paul d’Alfred Weidenmann, est sorti en 1970.

Jean-Claude Pascal va connaître une double renaissance : d’abord comme chanteur, puis comme auteur. Avec sa chanson à succès “Us les amoureux” de cette époque, il remportera la première place du Concours Eurovision de la chanson 1961 pour le Luxembourg, et vingt ans plus tard, avec “C’est peut-être pas l’Amérique”, il remportera l’or. encore une fois pour le Luxembourg. Il débutera sa carrière littéraire avec l’auto-écrit Mémoires (Le Beau masque) (1986) et enchaînera avec des ouvrages historiques comme La Reine maudite (1988), biographie-fleuve de Marie Stuart qui lui a demandé cinq ans.

En 1958, après avoir fait des débuts musicaux remarqués avec des chansons comme “Soirées de prince” de Pierre Delanoë, Jean-Claude Pascal donne son premier récital à Bobino en 1961, interprétant des chansons écrites par les jeunes auteurs Jean Ferrat, Serge Gainsbourg et Bernard Dimey ( avec qui il sera plus tard salué comme l’interprète « le plus pertinent ») avec des titres tels que « Quarante ans », « Chanson pour terminer », « Le Roi lune », « J’ai cinquante ans ce soir ».

L’année dernière, son interprétation de “Nous les amoureux” de Maurice Vidalin et Jacques Datin a remporté le Grand Prix de l’Eurovision pour l’équipe nationale luxembourgeoise. Le public ne doute pas que les paroles condamnant l’amour homosexuel laissent présager une future évolution mentale à leur égard, et que le chanteur devrait le reconnaître plus tard.

Vingt ans plus tard, en 1981, avec la chanson “C’est peut-être pas l’Amérique”, classée onzième, il représentera à nouveau le Luxembourg à l’Eurovision. Il remporte le prix Charles-Cros en 1962. Il revient au tube international Kilimandjaro de Pascal Danel en 1967 et connaît un énorme succès en Allemagne et en Autriche.

Charmeur polyglotte qui, au cours de sa carrière, enregistrera plus de 50 albums et connaîtra du succès dans une grande variété de pays. Des artistes comme Charles Aznavour, Guy Béart, Gilbert Bécaud, Guy Bontempelli, Barbara et Jacques Brel ont bénéficié de sa voix soyeuse et grave, qu’il utilise pour interpréter avec sensibilité leur musique.

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