
Jean-Michel Bazire Et Sa Nouvelle Compagne – “J’avais gagné à 500 mètres de la ligne d’arrivée.” Jean-Michel Bazire et ses vingt sulkys d’or sont les seuls qualifiés pour monter un tel cheval. Après un bon départ en milieu de peloton, Hooker Berry accélère juste avant le départ de la dernière montée à droite. “A 500 mètres de l’arrivée, c’était gagné”, constate Jean-Michel Bazire, qui a franchi la ligne d’arrivée le premier avant même de franchir la ligne d’arrivée.
“C’est une joie indescriptible.”
Mais alors, quelle sensation quand on remporte son cinquième championnat américain ! La joie est indescriptible ; c’est comme si tu gagnais le premier. On est en pleine adolescence ! Un appui du public par excellence. Plus on se rapproche de la foule, plus on entend des cris.
Wikipédia et Carrière
Le joueur de 51 ans a remporté plusieurs éditions (en 1999, 2004, 2015, 2019 et 2023), il compte donc encore une victoire à son actif. Y compris mon défunt père Michel Bazire, décédé en 2010, toute ma famille était là en 2004. « C’est le plus important ».
Toujours un Bazire au sommet du monde en 2024 ?
Déjà en route pour l’entraînement à Grosbois (Val-de-Marne) après avoir remporté la victoire, Jean-Michel Bazire s’en va. JMB fera également partie de la chaîne de compétition. Il enseigne environ 400 cours par an. Les préparatifs pour le Prix d’Amérique de l’année prochaine vont bon train.
Qui de la famille Bazire brillera en 2024 sur la piste de Vincennes, après Nicolas en 2022 et Jean-Michel en 2023 ? “Ce n’est pas Pauline (ndlr : sa fille), elle se consacre à l’élection”, a déclaré Jean-Michel Bazire, qui a toujours faim de victoire. Ainsi, le rendez-vous est déjà fixé pour 2024.
Votre CV : Avec Jean-Michel Bazire, 1ère place : 9 Hooker Berry Avec Franck Nivard, 2ème place : Ampia Mede SM Italiano Vero, avec David Thomain, diffusé à 3e : 8. Hip Hop Haufor, avec Christian Bigeon, diffusé à 4 : 8. 01. Hohneck, avec François Lagadeuc, 5e : 11.Prix Amérique 2023. Jean-Michel Bazire, le “Zidane du trot”, a Julie Hardouin pour fan numéro un.
Profil et Biographie
Certains d’entre eux sont des passionnés de Bruce Springsteen ou de Kylian Mbappé. Julie Hardouin, Sarthoise, craque pour Jean-Michel Bazire, vingt fois Sulky d’or sacré, entraîneur de chevaux et conducteur d’écurie. Une véritable passion qu’elle partage avec une page Facebook qui compte actuellement près de 52 000 followers.
Un peu de place est réservée au temps libre. Il semble que le temps ne passe jamais pour la Fléchoise originale lorsqu’elle jongle entre son métier de bibliothécaire à Paris et l’animation de sa page fan Facebook, Jean-Michel Bazire. La vie d’un passionné de chevaux au galop. C’est dommage!
Jean-Michel Bazire est un formateur de pilotes basé à Solesmes, près de Sablé-sur-Sarthe, qui compte d’innombrables victoires, dont quatre dans le Prix d’Amérique au boudeur, et environ 52 000 personnes suivent chacun de ses mouvements avec un extrême intérêt.
Un jockey aux mille vies et aux vingt Sulkys d’or, Jean-Michel Bazire
Le jockey, légende du trot à 47 ans, vient de remporter son 20e Sulky d’or. Représentation d’un phénomène qui vient de décider de ralentir le rythme. Le Sulky d’or est un prix annuel décerné au meilleur jockey (ou « driver ») des courses de trot attelé françaises. Une récompense que Jean-Michel Bazire, alias « JMB », remporte chaque année depuis 2000 (il l’a également remporté en 1998). On ne voit rien de cette performance exceptionnelle.
Pourtant, depuis le début de sa carrière en 1987, tout ce que le natif du Mans a accompli est surréaliste. Il a remporté près de 6 000 courses, dont trois fois le Prix d’Amérique. Il remporte entre deux cent et trois cents courses chaque année, avec des gains qui dépassent régulièrement les sept millions d’euros.
Son tact et sa capacité à faire accélérer les trotteurs sont réputés dans le monde entier, et ce vingtième Sulky d’or marque encore la fin d’un cycle pour le cheval numéro un français. » Je m’arrête là parce que ça me fait grimper partout. Pour le numéro, j’allais faire le vingt et unième. Mais ce n’est pas tout.
Le “Ridane du trot”
Bazire a conscience de rater des moments forts de sa vie, et que c’est pourquoi il souhaite ralentir. Il lui a dit et l’a assumée, mais il aimerait se trouver une autre passion car les hommes ont besoin de vivre pleinement. Je n’aime pas cuisiner, par exemple. Ah, c’est long. Tu dois être patient. Dans l’univers hippie également. Mais les chevaux sont son truc, son auberge, son cadeau. Il a été surnommé le « Zidane du trot » par ses fidèles partisans.
Jean-Michel Bazire a porté plusieurs casquettes au fil des années : propriétaire, entraîneur (après 1997) et pilote. Il ne lui consacre aucune minute. Voilà son organisation millimétrée. Ses 75 trotteurs sont répartis sur deux terrains d’entraînement. Situé sur le centre d’entraînement de Grosbois, à vingt minutes de Vincennes (Val-de-Marne) et sur sa « ferme » à La Bodinière, dans la Sarthe, à proximité de Solesmes.
C’est là qu’il nous reçoit. Le planning d’une journée type est le suivant : Je me lève tous les matins à 6h30. Chaque jambe est scrutée lorsque je descends voir mes chevaux. à 7 heures, on fait le point en intimant Ludo (NDLR : Ludovic Mollard, son bras droit à La Bodinière). A 7h30, mon copain et moi allons prendre un café.
Quinze minutes plus tard, au trot. “Après cela, j’essaie de faire quarante minutes d’exercice et trente minutes de sommeil”, a-t-il ajouté en entrant dans sa maison bien fermée à clé. “Et je mange toujours ici”, dit-il en français, en désignant la table basse posée sur un épais tapis à l’intérieur de leur maison. J’aime avoir mes disques. C’est crucial.
Pièges, pauses et AVC
Un mot le décrit : « méticuleux », selon Jean-François Meyer, journaliste qui le connaît bien. Cela a du sens lorsque vous suivez quelques-unes des meilleures courses de Formule 1 sur piste. JMB chouchoute et forme des liens étroits avec ses cadors. “Allez, jeune homme”, dit-il à Dorgos de Guez, un charmant alezan de six ans, en le caressant à plusieurs reprises sur la croupe avant de l’envoyer s’entraîner.
Quand on connaît les obstacles que ce brillant ailier gauche a dû surmonter, son style sur les pentes européennes devient encore plus apparent. A 12 ans, il joue avec ses cousins, tombe d’un arbre et fait le mort. Le petit garçon s’en débarrasse avec une rêne en moins. En 2011, il subit une double fracture tibia-pédoncule alors qu’il prend le départ d’une course. En février, il abandonne la route noire de Vincennes sur un civil, mais il parvient à tomber sur le Sulky d’or fin décembre.
Pire des cas : le 15 juillet 2012, il se battait pour la victoire dans une course importante avec l’un de ses chevaux, Quoumba de Guez, lorsqu’il est victime d’une rupture de l’artère cérébrale (AVC) dans les derniers mètres sur l’Hippodrome d’Enghien à Val-d’Oise. “Je me sens comme si je tombais”, dit-il, la voix s’éteignant. Il a été retombé après que j’ai réussi à le soulever une première fois. Je me suis dit : “C’est quoi ces conneries ?”
Sa voix est impeccable, mais ses réflexes et son talent de conducteur sont intacts. Ceux qui disaient que ce chauffeur aux mains d’or prenait sa retraite mangent leur propre chair. Cette année, le leader du peloton remporte son quatorzième Sulky d’or, dépassant les 46 victoires de son père Éric Raffin. Ses adversaires sont tout aussi impressionnants qu’intimidants.
La Sarthe est située. Jean-Michel Bazire se confie à son ami après avoir remporté son cinquième Prix d’Amérique Le Prix d’Amérique 2023 a été remporté par Jean-Michel Bazire et son cheval Hooker Berry. Installé à Solesmes, le pilote et entraîneur revient sur son cinquième site sacré. Sur le monde ! Il a remporté pour la cinquième fois le Prix d’Amérique, considéré comme la plus grande course de trot au monde.
Une autre Bazire avait grillé en 2022. Elle avait été fiancée à Davidson du Pont par son fils Nicolas. Les blessures de ce dernier avaient probablement caché certains secrets à la famille Bazire. Sans être sûr de sa capacité à qualifier un cheval pour le Prix d’Amérique 2023, le Solesmien s’est même confié aux Nouvelles de Sablé.
Enfin, dans le Prix du Bourbonnais, Hooker Berry, qui aura bientôt six ans, s’est montré honnête et s’est qualifié pour le Prix d’Amérique. Le cheval s’est beaucoup amélioré à l’automne. Il s’est confié à lui. Par la suite, on a refait beaucoup de travail avec lui, et il s’est légèrement amélioré. Une seconde sur 2 700 mètres est énorme ! C’est grâce à cela qu’il est devenu compétitif.
Bazire, Jean-Michel
« Hooker Berry est un trotteur parfait. »
Mais alors, dimanche, avant le départ du Prix d’Amérique, celui que l’on appelle le Zidane des courses ne pensait-il pas pouvoir le gagner ? Un beau cheval vif, Hooker Berry, était présent avant la course. Sur la piste, il était rebondi d’une manière. “Il maîtrisait vraiment totalement ses moyens.” En fait, JMB montre de l’admiration pour son cheval. J’ai eu le plus grand plaisir à entraîner Hooker Berry et les autres chevaux. Il est extrêmement aimable et très gentil. C’est le trotteur idéal.
