Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell

Répandez l'amour du partage
Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell
Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell

Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell – Des décennies de documents rendus publics par la justice dans l’affaire Jeffrey Epstein Mercredi, les noms des victimes, des proches et des complices présumés de Jeffrey Epstein ont été révélés dans plus d’un millimètre de pages de documents judiciaires rendus publics par le tribunal fédéral du district de Manhattan. L’homme d’affaires, accusé de crimes sexuels, s’est suicidé en 2019 en attendant son verdict.

Après plusieurs jours d’abandon, Jeffrey Epstein devrait à nouveau être au centre de l’attention médiatique. Les noms des personnes soupçonnées d’être associées à la légende américaine accusée de crimes sexuels mais qui s’est suicidée en prison en 2019 avant le début de son procès ont été annoncés mercredi janvier par un éminent juge new-yorkais.

Une ordonnance signée le 18 décembre par la juge new-yorkaise Loretta Preska et rendue publique le lendemain anticipait les révélations du tribunal fédéral de Manhattan, qui avaient débuté par la publication d’une quarantaine de documents judiciaires (soit un million de pages au total).

Environ 150 à 180 personnes sont présentées, dont l’ancien président démocrate Bill Clinton (1993-2001) et le républicain Donald Trump (2017-2021), mais aucun comportement illégal ou inexplicable qui leur est attribué n’est mentionné. le contexte d’une affaire de diffamation entre l’ex-femme et ancienne femme de chambre de Jeffrey Epstein, Virginia Giuffre, qui a été condamnée par quintaine à vingt ans de prison devant le magistrat, et la complice d’Epstein, Ghislaine Maxwell.

Justifiant “Doe” et d’autres pseudonymes, le juge avait ordonné la divulgation “complète” de l’identité de 180 individus “14 jours” après les 18 et 19 décembre, soit le 2 janvier, soit le 3 janvier. Le quotidien britannique News, qui annonçait l’existence de cette liste, précise qu’en 2016, Virginia Giuffre avait déposé une requête en diffamation contre Ghislaine Maxwell. L’année suivante, cette demande a été traitée. A l’époque, le Miami Herald avait trouvé un accord avec la société civile pour récupérer le dossier et mener une enquête sur le réseau Epstein. En 2019, le financier en faillite a finalement été traduit en justice.

Références faites par Trump et Clinton

Le tribunal justifie la divulgation des identités (dont certaines sont des personnalités connues déjà évoquées dans la presse) en partant du fait que certaines personnes sont facilement reconnaissables à partir d’entretiens publiés ces dernières années. Concernant Donald Trump, les documents décrivent le milliardaire new-yorkais comme un ami de Jeffrey Epstein, mais ils ne font aucune mention d’un éventuel comportement criminel ou délinquant de sa part.

Concernant Bill Clinton, qui a été beaucoup plus proche du failli et a voyagé avec lui dans les années 2000, son nom est cité des dizaines de fois mais, là encore, il n’y a aucune indication claire d’actes illégaux. Avant de devenir collègues professionnels, Ghislaine Maxwell et Jeffrey Epstein formaient un couple au début des années 1990.

Un ancien mannequin britannique, français et américain de 61 ans a été reconnu coupable de trafic sexuel mineur en décembre 2021 à New York pour le compte de Jeffrey Epstein et condamné à 20 ans de prison en juin 2022. Le puissant oligarque financier américain et étranger a lui-même été accusé d’agressions sexuelles et d’abus violents sur des jeunes filles, mais l’attention du public a été détournée de lui après sa mort par pendaison dans la prison de New York en août 2019.

Dans une autre partie de ce dossier international, le prince d’Angleterre Andrew, ami des Maxwell-Epstein, aurait conclu un accord en février 2022 avec Virginia Giuffre, 40 ans, qui l’accusait de l’avoir agressée sexuellement en 2001. quand elle avait 17 ans, pour la modique somme de treize millions de dollars (selon le Daily Telegraph). Après être tombé en disgrâce, le prince de 63 ans conteste désormais ces accusations.

Un autre proche collaborateur de Jeffrey Epstein, l’agent mannequin français Jean-Luc Brunel, a été retrouvé mort alors qu’il était suspendu à une gondole de prison à Paris en février 2022. Brunel a été reconnu coupable d’agressions sur mineurs.

Du côté des banques internationales liées à Jeffrey Epstein, l’ancien patron de Barclays, James Staley, s’est vu interdire l’accès aux opérations bancaires en octobre de l’année dernière. Au printemps, JPMorgan et Deutsche Bank ont respectivement envoyé 290 millions et 75 millions de dollars aux victimes pour tenter de clôturer leurs comptes avec le défunt financier, décédé à l’âge de 66 ans. La justice américaine a publié une liste d’individus. mentionné dans les documents relatifs à l’affaire, notamment Jeffrey Epstein.

Les noms d’environ deux cents personnes liées au financier et au délinquant sexuel, dont certaines ont déjà été largement relayées par les médias, sont révélés dans les documents judiciaires, mais aucune allégation de comportement illégal n’est faite à leur sujet. De folles théories circulent depuis l’annonce de la publication de la liste, mais le contenu est loin d’être à la hauteur du battage médiatique.

Un juge new-yorkais a révélé mercredi 3 janvier 2019 au soir 154 noms de contacts, connaissances, proches, victimes et complices présumés du financier américain Jeffrey Epstein. Epstein est accusé d’exploitation sexuelle de mineurs et s’est suicidé en prison en 2019 avant le début de son procès.

Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell

L’ancien président démocrate Bill Clinton (1993-2001) et le président républicain Donald Trump (2017-2021) font partie des dizaines de noms qui ont fait surface dans les milliers de pages de documents judiciaires rendus publics par le tribunal fédéral du district de Manhattan. Cependant, aucun de ces documents n’implique ni Clinton ni Trump dans un comportement illégal ou contraire à l’éthique.

Ces révélations judiciaires sont le produit d’une affaire de diffamation impliquant la Britannique, la Française et l’Américaine Ghislaine Maxwell, 62 ans. L’ancienne maîtresse et complice de Jeffrey Epstein a été reconnue coupable en décembre 2021 de trafic sexuel mineur pour le compte d’Epstein à New York et condamnée à vingt ans de prison en juin 2022. C’est Virginia Giuffre, une procureure américaine, qui a tenté le procès.

Dans le cadre de cette affaire, la juge de l’État de New York Loretta Preska avait précédemment répertorié les noms de 104 personnes en décembre sous divers pseudonymes et numéros et avait ordonné que leur identité soit « totalement » révélée « quatre jours » après les 18 et 19 décembre, ce qui serait 2 ou 3 janvier. Dans la capitale financière américaine et sur les réseaux sociaux, ce document fait l’effet d’une bombe à retardement.

Des personnes qui sont faciles à reconnaître

Le média britannique Daily Mail, qui a annoncé cette liste, précise que la plainte pour diffamation déposée par Virginia Giuffre contre Ghislaine Maxwell remonte à 2016 et a été réglée l’année suivante. Mais à ce moment-là, le Miami Herald s’était civilisé pour avoir accès à le dossier et enquêter sur le réseau de M. Epstein. En 2019, le braqueur de banque qui fréquentait le Tout-New York avait été interpellé.

Le tribunal s’appuie sur le fait que certaines personnes étaient facilement identifiables dans des entretiens publiés ces dernières années pour justifier la divulgation de noms. Les documents font référence au milliardaire new-yorkais Donald Trump comme à un ami de M. Epstein, mais ne font aucune mention d’un éventuel comportement criminel ou délictuel de sa part. Bill Clinton, qui était beaucoup plus proche du failli et a voyagé avec lui dans les années 2000, est mentionné des dizaines de fois, mais il n’y a toujours aucune indication claire d’activités illégales.

Théorie des complots

Avant de devenir collègues professionnels, Ghislaine Maxwell et Jeffrey Epstein formaient un couple au début des années 1990. L’homme, qui entretenait de puissants liens économiques et politiques aux États-Unis et à l’étranger, a été accusé d’agression sexuelle et d’abus violents sur des jeunes filles, mais l’attention du public a été détournée vers sa découverte après son suicide par pendaison dans une prison de New York en août 2019.

Après sa mort, le réseau de Jeffrey Epstein a diffusé des théories du complot sur un assassinat qui aurait été mis en scène comme un suicide. Cependant, la communauté juridique de New York et le Federal Bureau of Investigations (FBI) ont déterminé qu’il s’était bel et bien suicidé et que sa mort “ne résultait pas d’un acte criminel”. Selon le ministère de la Justice, “les conclusions du FBI quant à l’absence d’actes criminels dans la mort d’Epstein” ont été confirmées en juin de l’année dernière.

Les journaux mentionnent également le magicien David Copperfield et le chanteur Michael Jackson, dont aucun n’est accusé de mauvaise conduite. Il existe d’autres documents dans lesquels M. Clinton est mentionné. L’ancien président des États-Unis a admis avoir été un collègue d’Epstein dans le passé, mais il nie avoir eu connaissance des crimes commis par Epstein.

Mercredi, suite à une ordonnance de la juge new-yorkaise Loretta Preska, les premiers documents de plus de 900 pages ont été rendus publics. Preska a noté que bon nombre des individus mentionnés avaient déjà été identifiés soit lors du procès pénal de Maxwell, soit par les médias.

Selon le juge Preska, un grand nombre de personnes ne s’opposaient pas à la publication des documents. Mais parce qu’ils révéleraient l’identité des victimes d’agression sexuelle, elle a ordonné que certains noms soient supprimés.

Les plus d’une centaine de personnes figurant sur la liste portent des accusations contre d’autres personnes ou pourraient être des témoins ; des enregistrements supplémentaires devraient être révélés dans un avenir proche.

En 2009, Epstein a admis avoir sollicité la prostitution auprès d’un mineur. En 2019, il s’est suicidé alors qu’il attendait son procès pour trafic sexuel. Ses affirmations sont « catégoriquement fausses », selon le palais de Buckingham. Puisqu’il prétend ne plus représenter le duc d’York, ce qui signifie qu’il ne remplit aucune obligation royale, il a choisi de ne pas commenter les nouveaux documents. Pour avoir l’avis du prince Andrew, la BBC l’a contacté.

Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell
Jeffrey Epstein Ghislaine Maxwell
Sharing Is Caring:

Leave a Comment

error: Le contenu est protégé !!