Laurent Voulzy Fils De Henri Salvador – Leurs deux fils, Julien (né en 1973) et Nicolas (né en 1977), sont également musiciens ; Laurent Voulzy était marié à Betty, qui est sa cousine. July a cofondé le groupe Les Cherche-Midi avec le fils d’Alain, Pierre Souchon. Il épouse la journaliste Mirella Lepetit en juin 2010. Ils ont un fils, Quentin, ensemble en 2002. De plus, il est le père de Cliff, né en 1989 et qu’il n’a rencontré que plus tard dans sa vie.
Honky Tonk Man est un poseur-médiateur qui apparaît sur un album avec guitares et basse. Concernant June, elle jouait des claviers, de la basse, de la guitare et de la batterie. Notre temps est passé, comme un harmoniciste nerveux ou la chanson de la fiancée de June. Ou tout ce qu’il veut en retour, suggère-t-il.
Il semble que lorsque June dit cela, cela nous ramène à une époque où les chansons étaient plus préoccupées par la magie du moment que par le débat dans l’impasse sur les droits des compositeurs sur leurs œuvres.
Les portes s’ouvrent aussi librement qu’un certain nombre d’expériences. Par ailleurs, il doit déjà être juin. Figure majeure de la musique française, Laurent Voulzy est souvent cité au même titre qu’Alain Souchon, avec qui il collabore depuis des décennies.
À ce jour, il a enregistré neuf albums studio (dont un avec son compagnon de longue date), quatre albums live et s’est produit lors de nombreuses performances avec Les Restos du Cur. Malgré son génie évident, son rythme de création extrêmement lent se démarque, notamment par rapport à d’autres artistes qui ont débuté leur carrière à la même époque. Cependant, sa rareté est un attribut qu’il a. “Belem” est le nom de son album de 2017.
Vous pouvez l’écouter en ligne ou le retrouver sur notre site. Vous pouvez également écouter ses albums précédents. Sélectionnez un de nos bundles pour obtenir les MP3 de ses chansons. continuez à lire pour s’essayer au chant et à la danse à Paris (il chantera plus tard “Je suis né dans la grisaille par accident”).
Afin d’aider son fils à atteindre son plein potentiel, sa mère ne fait confiance qu’à une infirmière. Laurent Voulzy retourne vivre chez sa mère lorsque celle-ci abandonne ses rêves artistiques et se marie quand il a huit ans. Bien que sa mère écoute beaucoup de musique afro-cubaine, notamment de la salsa, du calypso, du merengue et de la conga, il se laisse vite influencer par la musique anglo-saxonne diffusée à la radio.
Durant son adolescence, il n’est pas un bon élève, et il se concentre actuellement sur l’amélioration de ses compétences en guitare [vœu pieux]. Ses premières performances ont lieu dans une maison de jeunesse à Nogent-sur-Marne, où il met régulièrement en vedette Claude Le Péron, qui deviendra le bassiste de Jean-Jacques Goldman.
Wikipédia et Carrière
Il a commencé à jouer de la basse pour le groupe qu’il a co-fondé, les Tigers, à l’âge de 14 ans. Plus tard, il rejoint le groupe The Ellences à la basse et joue de la guitare pour Mark Robson Sound avec les frères Robson avant de prendre le chant principal de Temple of Vénus et de commencer une carrière solo.
Alors qu’il sert dans le 2e Régiment de Hussards en 1968, il découvre qu’une maison de disques avait remasterisé et pressait une de ses anciennes démos. Puis il commence à écrire des chansons pour d’autres groupes et, à partir de 1972, sort chaque année un 45 tours sans jamais connaître le succès. Dans le film Un jour, une fête de 1974 (musique de Michel Fugain), il incarne le sosie de Pierre Fuger.
Laurent Voulzy, chanteur français, est né Lucien Voulzy à Paris le 18 décembre 1948. Sa mère guadeloupéenne, chanteuse et danseuse, décide de s’installer à Paris alors qu’elle est enceinte de lui. Il vit sur l’île avec son père politicien. Laurent Voulzy est un grand de la banlieue parisienne. Parce que sa mère est toujours en déplacement, elle lui donne généralement un nounou pour lui tenir compagnie. Il retourne vivre avec sa mère à l’âge de huit ans après qu’elle se soit mariée et ait abandonné sa carrière artistique.
Profil et Biographie
Il a commencé à écrire de la poésie et des chansons et à jouer de la guitare, de l’harmonica et de la batterie quand il était petit garçon parce qu’il avait une passion pour la musique. Même s’il n’était qu’un adolescent, il avait déjà formé son premier groupe et a depuis collaboré avec plusieurs autres ensembles.
Malheureusement, il n’a pas beaucoup de chance. En 1967, lui et son partenaire Timide remportent un concours de chant local et il continue d’essayer de poursuivre une carrière solo. Il assume le rôle d’arrangeur pour Pascal Danel après avoir effectué son service militaire l’année suivante.
Il signe son premier contrat d’enregistrement avec RCA au début des années 1970. Milady, La fille en papier, L’Amour est un oiseau et ses singles ultérieurs sont tous des échecs commerciaux. En 1974, il rencontre Alain Souchon, nouvellement arrivé, par l’intermédiaire du directeur artistique du RCA.
C’est le début d’un partenariat professionnel et d’une amitié fructueuse entre les deux hommes. Ils joueront de la musique. Comme je lis depuis dix ans, ce livre a eu un succès immédiat auprès d’Alain Souchon.
C’est Laurent Voulzy qui a dit : “Henri Salvador était un farceur et une expérience”. Laurent Voulzy revient sur leur vie commune, de leur rencontre au studio parisien d’Henri Salvador jusqu’à la surprise du chanteur en 2002. Henri Salvador et Laurent Voulzy ont été amis pendant trente ans. Leur première rencontre a eu lieu au deuxième studio de Vendôme. Se raconte à nous et nous explique l’influence qu’elle a eue.
Comment avez-vous rencontré Henri Salvador ?
Jean-Louis Volzy. Il m’avait demandé de faire des arrangements pour son album “Salvador 77” de 1977 (NDLR : sorti en juin) et m’avait même invité à mettre Vendôme. Il m’avait légèrement refroidi par moi demander si je n’étais pas une pianiste (rires) alors que je ramé à la guitare sur un titre jazz lors de notre rencontre, alors que je l’avais arrachée de quatre chansons.
Ensuite, il a toujours été très gentil avec moi ; d’ailleurs, il m’a même proposé de loger dans son appartement parisien lorsqu’il était en déplacement. C’est drôle parce que quand j’avais 15 ans et que j’étais prêt à me lancer à mon compte, ma mère m’a dit d’aller le voir parce qu’il était producteur de jeunes artistes et qu’il était aussi originaire des Antilles. Mais, bien sûr, je n’avais jamais osé.
L’artiste a-t-il volé une sacrée bimbo ?
Ma plus profonde estime et mon respect vont à Henri, qui était à la fois un farceur et un expérimentateur, un grand musicien très raffiné. Il a néanmoins écrit au moins 950 chansons ! Il avait une inquiétude insatiable et adorait les sons bizarres. Je me souviens de l’avoir amené à la cabine de mixage de Los Angeles en 1979 alors que j’enregistrais “Le Coeur Grenadine” au studio Davout. Un fantastique son basse fréquence avait été entendu.
Et quand je suis revenu à ma chanson, j’ai changé le son de basse. De plus, Henri m’a donné l’exemple en étant le premier à meubler son home studio. Il continue d’enregistrer dans les grands studios, mais le sien lui laisse beaucoup de liberté. Lorsque j’ai ouvert mon atelier à Joinville-le-Pont en 1980, j’ai été l’un des premiers à le faire. Cette vision artisanale est ce que nous recherchons. En fait, il est venu ici pour le répéter une fois avant une émission de télévision où nous chantions en duo.
Qui était-il en tant qu’ami ?
Il y avait peut-être un lien un peu familial. La musique, néanmoins, était notre point d’ancrage. Peut-être a-t-il trouvé en moi ce qu’il avait quand il était plus jeune. Nous nous sommes croisés fréquemment. Lors d’une interview sur France Inter, il l’a interrompu pour faire l’éloge de l’album “Avril” lors de sa sortie. Et il m’a fait une surprise extraordinaire en 2002, lors d’un concert à Nantes, qui était justement mon anniversaire.
Pourquoi la foule applaudissait était un mystère pour moi. A mon retour, j’ai assisté à l’arrivée d’Henri en dansant. Afin que nous puissions chanter “Amélie Colbert” et qu’il m’offre une guitare ornée d’une draperie anglaise qui faisait également office de lecteur CD, il avait parcouru 400 km. Je l’aurai toujours.
Laurent Voulzy, née Lucien Voulzy, est un musicien né le 18 décembre 1948 à Paris. Sa mère, chanteuse et danseuse guadeloupéenne, décide de quitter l’île et de partir à Paris alors qu’elle est enceinte de lui. Son père, homme politique, est toujours sur l’île. Sa mère se confie à une baby-sitter alors qu’elle est en déplacement. Il emménage avec sa mère, qui s’est mariée et a abandonné sa carrière artistique, quand il a huit ans.
Lorsqu’il est enfant, il développe un amour profond pour la musique, écrit de la poésie et joue de la guitare, de l’harmonica et de la batterie. Il forme son premier groupe à l’adolescence et travaille ensuite avec de nombreux autres ensembles. Malheureusement, il n’a pas beaucoup de succès. Il continue d’essayer de réussir en solo et, en 1967, Timide et lui remportent un concours de chant local. Après avoir terminé son service militaire l’année suivante, il tourne sur des maisons de disques et travaille comme arrangeur pour Pascal Danel.
Finalement, il signe son premier contrat avec RCA au début des années 1970. Par conséquent, il sort une série de singles sans succès, dont « L’Amour est un oiseau », « Milady » et « La fille en papier ». Il rencontre un autre artiste de la relève, Alain Souchon, en 1974 par l’intermédiaire du directeur artistique du RCA. C’est le début d’une longue amitié et d’un travail fructueux entre les deux hommes. Ils kommer à la komponera “J’ai 10 ans” est un succès instantané pour Alain Souchon.
Laurent Voulzy chante ensuite sur Rockollection en 1977, chanson qu’il a co-écrit avec Alain Souchon. Sur ce tube de l’été, la chanteuse se dévoile au monde. Il commence alors à enchaîner des singles, habituellement sans rapport avec ses albums, pour remplir les tubes. Laurent Voulzy est un artiste minutieux qui prend son temps pour réaliser des disques. Ses débuts en 1983, Bopper en larmes, ont été suivis par Caché derrière en 1992 et Avril en 2001.
Parallèlement, il écrit Histoires Naturelles (2005) pour Nolwenn Leroy et travaille avec Alain Souchon et d’autres artistes. En 2011, Laurent Voulzy sort Lys & Love, un album complètement influencé par l’âge mûr, une période difficile dans la vie du chanteur. Cela marque un changement de genre pour Voulzy. Jeanne, le premier clip audio, devient un succès et remporte la Victoire de la musique de la chanson de l’année.
Une fois de plus, le public est au rendez-vous, l’album se vend à plus de 350 000 exemplaires et la tournée se déroule sans incident. Alain Souchon & Laurent Voulzy est un album sorti en novembre 2014 par les deux complices, Alain Souchon et Laurent Voulzy, dans lequel ils chantent en duo toutes les chansons. Inspiré par la musique brésilienne, il sort son nouvel opus, Belem, quelques années plus tard en 2017.