
Léa Fontaine Judo Taille – Léa Fontaine pourrait avoir besoin de financements européens ! La judoka française de 19 ans (+78 kg) a perdu dimanche la finale contre la Turque Kayra Sayit (ippon), mais elle a remporté sa première médaille lors d’un événement international.
“Une suite logique” à ses deux sacres européens juniors (2019 et 2020), la Réunionnaise considère cette première apparition sur la plateforme continentale comme une progression naturelle. Cette vice-championne d’Europe “espère” qu’elle sera sélectionnée pour disputer les Jeux olympiques d’été de Budapest en 2021.
“C’est un pied chez les grands”, dit-elle. En racontant à Alain Rosalie d’Outre-mer la 1ère, “J’ai pensé à cela dans un coin de ma tête”, elle a révélé son secret. “Nous devrons attendre la sélection pour savoir de quoi il s’agit, mais j’espère que c’est une autre étape dans mon parcours.”
Pour ne pas avoir à m’inquiéter, je t’ai prévenu de ne pas m’interroger avant de te défier. J’avais énormément de chances de gagner et de ne rien perdre du tout ; c’était fini pour moi. «Je suis venue ici pour profiter de l’expérience», explique pensivement Léa Fontaine. J’en ai besoin maintenant pour m’améliorer, m’entraîner pour le prochain tour afin de pouvoir défendre mon titre avec plus de force et avancer.
La divulgation française
La sensation française de 19 ans des Championnats d’Europe de Lisbonne est Léa Fontaine. Sans réfléchir ni comprendre, elle a atteint la finale lundi chez les 78 kg, écrasant ses adversaires. Léa a finalement trouvé sa rédemption grâce à l’aide de Turk Kayra Sayit, 33 ans, originaire de Martinique, qui a concouru pour la France jusqu’à son mariage en 2015.
Le quotidien sportif L’Equipe va jusqu’à la qualifier de “nouveau bulldozer bleu”. » parce qu’elle est remarquable : « je suis très calme, gentille ». Je peux vraiment m’énerver et éclater”, a-t-elle confié à nos confrères de L’Equipe. L’entraîneur français de judo Larbi Benboudaoud a déclaré : “On a bien fait de penser à cette petite, qui est double championne d’Europe juniors”, mettant la jeune star en la même ligue que les plus grands de ce sport.
Grâce à cette médaille, son estime de soi va monter en flèche et il réalisera tout son potentiel athlétique. Elle est très en avance sur la courbe. Après avoir quitté La Réunion, ses proches et ses amis derrière pour suivre sa passion et s’efforcer de faire de ses rêves une réalité, vous pouvez être sûr qu’elle se lancera dans sa prochaine entreprise.
Lorsque la judoka pei Léa Fontaine avait cinq ans, elle a commencé à s’entraîner à la Réunion. Inspirée par les finales de judokas comme Clarisse Agbegnenou (quadruple championne du monde) et Audrey Tcheuméo (deux médaillées olympiques), elle revient au sport à l’adolescence après une courte pause pour se concentrer sur la voile et d’autres sports. Elle a ensuite passé un an à Strasbourg au sein du pôle espoir de La Réunion, et est devenue il y a deux ans membre de l’Insep de Paris.
L’Outre-mer multiplie les récompenses
Même si Teddy Riner (+100 kg) et Clarisse Agbegnenou (-63 kg) ne figuraient pas dans l’équipe de France à son arrivée à Lisbonne, aux côtés de Dicko, Malonga et Boukli, l’équipe a néanmoins réussi à repartir du Portugal avec huit médailles, dont une médaille d’or de la Martiniquaise Amandine Buchard (-52 kg). Chez les -57 kg, Sarah-Léonie Cysique, de Guadeloupe, s’est classée troisième.
C’est en effet Romane Dicko, 21 ans, qui a remporté deux titres européens (en 2018 et 2020), qui a reçu début avril le billet olympique de Léa Fontaine pour les Jeux de Tokyo (23 juillet-8 août), plutôt que Fontaine elle-même. Elle utilise le nom de judo Léa Fontaine et participe à des compétitions dans la catégorie des poids lourds. Le 7 décembre 2001, elle fait son entrée dans ce monde à La Réunion.
Aux Championnats d’Europe 2021 à Lisbonne, elle a remporté sa première grande médaille internationale, même si elle a perdu la finale contre son adversaire turque Kayra Sayit dans la division des plus de 78 kg. En l’an 2000, la judoka Léa Fontaine fait son entrée sur notre planète. Elle a concouru dans la division des +78 kg des Championnats d’Europe de judo 2021 à Lisbonne, au Portugal, et a remporté la médaille d’argent.
La participante turque Kayra Sayit a battu Léa Fontaine pour remporter la finale des +78 kg aux Championnats d’Europe à Lisbonne. L’adolescente athlète française a décroché une belle médaille d’argent. La médaille d’argent des +78 kg que Léa Fontaine a remportée aux Championnats d’Europe de Lisbonne l’a rendue très heureuse.
Elles ont été battues par ippon par Kayra Sayit, la gagnante turque des Championnats d’Europe 2016. Même si elle n’avait que vingt et un ans le 7 décembre, Léa Fontaine a un palmarès impressionnant. Son palmarès impressionnant comprend deux couronnes juniors (2019, 2020) et cadettes (2018, 2019), ainsi que deux années en tant que championne d’Europe dans sa catégorie de poids (+78 kg).
Vendredi à Porec sera pour elle l’occasion de défendre ses titres de cadette de l’année (2018) et junior de l’année (Croatie, 2017). La favorite du tournoi doit être elle. «Si elle repart avec autre chose qu’une médaille d’or olympique, elle sera insatisfaite», a déclaré Edouard Gingreau, entraîneur de l’équipe sportive de Sainte-Geneviève. Lors des championnats de France disputés par les équipes de première division début octobre, le natif de Saint-Leu (La Réunion) a ressenti un certain réconfort après avoir manqué sept.
Championne du monde des moins de 78 kg, Madeleine Malonga, qui a remporté ses deux combats ce jour-là (Le Blanc-Mesnil), était l’une de ses deux adversaires à Brest. Sa confiance va monter en flèche suite à cette performance. De plus, Anaïs Perrot, qui pesait -48 kg et se trouvait sur le fret en raison d’un test COVID invalide, participera au test croate.
Après un long retard dans la réception des résultats du deuxième test, Génovéfaine n’a pas pu voler. Pour préparer ses débuts aux Championnats d’Europe Juniors, ce n’est pas la voie à suivre. Après avoir perdu le match final face à la Turque Kayra Sayit (ippon) le 18 avril, la judoka française Léa Fontaine (+78 kg), 19 ans, a remporté sa première médaille lors de sa première compétition internationale, la compétition européenne, à Lisbonne.
Romane Dicko, 21 ans, qui a remporté deux fois le titre européen (en 2018 et 2020), a toutefois décroché début avril le billet olympique pour les Jeux de Tokyo (23 juillet-8 août) dans la catégorie. Fontaine considère ce podium comme “une suite logique” après sa première participation, après ses deux sacres européens juniors (2019 et 2020).
La vice-championne d’Europe déclare : “C’est un pied chez les grands”, et ajoute qu’elle “espère” maintenant qu’elle a une chance d’être sélectionnée pour les Mondiaux-2021 étonnamment organisés qui se tiendront aux JO de Budapest en juin.
ja voulais être représenté, donc ja me suis assuré de ne pas poser de questions et de ne pas insister. J’avais tout à gagner et rien à perdre, donc c’était fini. Parce que je suis venu pour vivre, “j’ai pris” l’expérience, dit Fontaine. J’ai démontré ma fiabilité et ma volonté d’être ici sur le long terme.
L’équipe de France est repartie du Portugal avec huit médailles, dont une en or d’Amandine Buchard (-52 kg), même si elle manquait de deux piliers, Teddy Riner (+100 kg) et Clarisse Agbegnenou (-63 kg), ainsi qu’un nombre d’olympiens (Dicko, Malonga, Boukli).
Le match des 100 kilos entre les Français Alexandre Iddir et Cyrille Maret a été le moment fort de la journée, et les judokas français ont été sensiblement plus présents qu’hier. Même s’il lui reste un long chemin à parcourir avant de pouvoir retrouver le podium européen qu’il monte si régulièrement, Iddir fait de grands progrès lors de sa première épreuve de retour. Même si sa bête géorgienne Varlam Liparteliani l’a encore battu, Alexandre Iddir est toujours en quête de bronze en ce moment.
En phase finale, Fanny Estelle Posvite et Audrey Tcheumeo, qui pèsent 78 kg chacune, concourront également, mais pour le bronze. Léa Fontaine est la nouvelle machine de combat féminine et championne d’Europe juniors 2019 et 2020 dans la catégorie des +78kg ; Anne Fatoumata M’Bairo ne participera pas à cette catégorie de poids. Le camp français est assez impressionné par elle. La Turque (et ancienne Française) Kayra Sayit sera son adversaire.
À l’aube, qui fera la première chute ? Au début du combat, Alexis Mathieu, 21 ans, a rencontré un adversaire plus coriace que lui : le Géorgien Lasha Bekauri. Beka rencontrera plus tard Beka Gviniashvili de Géorgie en finale de la catégorie -90 kg. La séduisante hanche en garde croisée du terrible double champion d’Europe et du monde junior a été impliquée à chaque fois.
La catégorie des 100 kilogrammes était cependant au centre de l’attention, en grande partie grâce au “survivant” Cyrille Maret, actuellement classé 33e au monde, qui a battu Joakim Dvarby, classé 29e en Suède, en utilisant des techniques de waza-ari. comme un harai-goshi fort, des pénalités et la suite d’un waza sur ko-soto-gake. Ensuite, il a utilisé un grand enchevêtrement okuri-eri-jime pour obtenir l’exploit du jour sur l’Israélien Peter Paltchik, deuxième, provoquant brièvement le « départ » du redoutable Israélien du match.
Enorme ! Toma Nikiforov, son ancien adversaire et adversaire belge, avec lequel il a ensuite gaspillé un conflit, le saluait de manière inattendue à l’entrée, révélant son manque actuel de réalisations. Rebondissant, il se retrouve mêlé au célèbre harai-goshi azerbaïdjanais, Zelym Kotsoiev, resté trop actif et dérangé pour lui. Embrassez votre moi sacré.
