Lucas Mort Aux Urgences

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Lucas Mort Aux Urgences – C’est au petit matin du 1er octobre 2023 que les urgences de l’hôpital d’Hyères ont perdu Lucas Mannina. Quoi qu’il en soit, l’arrestation de l’homme était injuste, malgré ses aveux dans l’après-midi. Le 12 décembre, ses proches ont dénoncé dans leur procès un « homicide involontaire ».

Quelques heures après l’apparition des premiers symptômes, j’ai repris conscience. Dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre, à l’hôpital de Hyères, dans le Var, le patient Lucas Mannina, 25 ans, s’est soudainement effondré dans la chambre mortuaire après des heures de souffrance.

C’est trois mois après que la mère de Lucas, Corinne Godefroy, a déclaré à TF1info avoir porté plainte pour “homicide involontaire” auprès de nombreux proches le 12 décembre, estimant que son fils n’avait pas reçu les soins médicaux nécessaires ce jour-là, qu’elle a évoqué Mediapart. Finalement, après avoir fait le point sur ses sentiments, cette mère en deuil déclare enfin : « Je veux savoir pourquoi mon fils est mort », après avoir perdu son deuxième enfant.

Où se trouve le centre médical

Quel jour exactement était le 30 septembre ? Ce matin, après avoir souffert d’un malaise qui persistait depuis des heures, Lucas Mannina, mécanicien hydraulique hyérois, et sa compagne Ludivine ont contacté SOS médecins. L’heure d’arrivée du médecin étant incertaine et l’état de Lucas se dégradant, Ludivine décide de composer le 15 à 13h30.

Pendant onze minutes, la jeune femme va discuter avec le médecin du Samu. Il garde son sang-froid et traite Lucas de « jeune » dès le départ. Corinne Godefroy, la mère de Lucas, nous a informé que son fils comprendrait rapidement la gravité de la situation après avoir écouté un enregistrement de leur conversation.

Lucas vient de parler à son médecin de ses symptômes, qui comprennent des palpitations, des difficultés respiratoires, un inconfort persistant et une peur irrationnelle de la mort. Le retard des médecins SOS ne nous arrêtera pas. A leur arrivée à 15h20, les pompiers transportent Lucas aux urgences de l’hôpital d’Hyères.

Quinze minutes après l’heure, Lucas est vu par une infirmière traitante qui se concentre sur les situations moins urgentes. Sa mère serait très inquiète pour son fils, qui est sous brancard et risque de mourir pendant qu’il est sous brancard. Il y a un couloir où le personnel demande à Lucas d’attendre avec les autres patients.

Tout le monde à l’hôpital était vraiment gentil et compréhensif lorsque nous sommes arrivés vers 16h00 et avons demandé à voir notre enfant. Une femme a crié avec enthousiasme : « Oh mon Dieu, c’est absolument hilarant ! » Elle a poursuivi : “Vous avez un téléphone et il an un téléphone”, ce qui a fait rire Corinne Godefroy. Vers 17h30, le patient reçoit l’antidoleur.

“Je ne pouvais pas le supporter. Je n’ai plus le choix. Suite à cela, le jeune reste en contact avec sa famille et celles de ses amis. “Je me plains à tout le monde que j’ai du mal à respirer mais personne ne fait rien”, il écrivit à sa mère à 14′02. Si SOS Médecins n’avait pas été aussi pratique, je me serais gêné ; J’y suis presque.

Ses derniers mots furent “Je ne sais plus quoi faire” à 18h06. vraiment horrible et vraiment faible, je le ressens. Mes plus sincères condoléances pour cette terrible prison. La disponibilité d’un médecin dispensaire leur est inconnue. Je pensais qu’il y en aurait largement assez pour les heures suivantes. La mâchoire s’est tendue. Maman, c’est vraiment horrible. Vers 19h30, on lui administre un antiémétique, un médicament qui prévient les nausées et les vomissements.

“Si ça va ? L’idée aurait été rejetée avec véhémence par l’enfant. Une meilleure façon pour le médecin d’établir un lien entre sa consommation de cannabis et ses symptômes aurait été de s’enquérir ou de le retirer de ses dreadlocks. La dernière option pour soulager la douleur consiste à administrer un sérum au patient. Pourriez-vous s’il vous plaît en avoir un de plus ?

Mort, douleur invalidante et paralysie

Lucas ressent un malaise soudain vers 11h30. D’après Damien, le voisin de Lucas, nous l’avons trouvé allongé sur le dos, la tête baissée et les yeux ouverts ; il était mort. Nous l’avons rencontré suite au décès de notre enfant. Il a dit que tous les spécialistes regardaient notre enfant avec un désespoir total. Lucas a fait mesurer sa tension artérielle à 105 mm Hg par les ambulanciers qui ont répondu à l’appel de Damien au 911. Lucas est transféré aux soins intensifs par le médecin traitant en réaction à l’appel à l’aide urgent de l’infirmière.

Lucas Mort Aux Urgences

Le jeune homme reçoit des antibiotiques à vingt-trois heures. Il donne un dernier appel à sa mère. Sa voix m’envoûte, je dois dire. Il se tient à une hauteur modeste. Il utilise un mot différent du précédent. J’ai semé la peur parmi eux. Leurs pensées semblent être tournées vers elle, d’après ce que raconte Corinne Godefroy.

Bien qu’ils envisagent sérieusement un séjour à l’hôpital, les proches de Lucas choisissent finalement de le rechercher à nouveau. En vain. Elle se déchaîne complètement pour essayer de le sauver. A midi, Lucas sera intubé et mis dans le coma. Il a succombé à un choc septique deux heures après avoir contracté une infection méningococcique invasive.

Le massage cardiaque lui a finalement été administré après 45 minutes d’attente. Nous étions présents pendant les vingt dernières minutes. Aucune personne s’inquiétant pour lui n’aurait pu être témoin de sa survie à l’hôpital. La mère de Lucas, visiblement bouleversée, confie : “Malheureusement, nous le massions, mais nous savions qu’il était mort.”. Dans ces terribles circonstances, personne ne pouvait le réconforter ou l’aider.

Après que les médias ont posé un certain nombre de questions, les responsables de l’hôpital ont déclaré : « dans le cadre de la plainte déposée, nous collaborons pleinement à l’enquête menée par l’autorité compétente ». L’homme aurait reçu les « sincères condoléances » de l’hôpital et l’institution serait « attentive à l’émotion que ce décès a provoqué au sein de la famille » en ce moment.

Mercredi matin, TF1info a tenté de contacter le parquet de Toulon pour commentaires, mais celui-ci n’a pas encore répondu. Corine Godefroy, la mère de Lucas, 25 ans, décédé à l’hôpital mardi 19 décembre des suites d’une lésion médullaire survenue dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre, a été accueillie par Bonsoir Var.

“Ils l’ont condamné à mort en ne s’en occupant pas”. Entre le samedi 30 septembre et le dimanche 1er octobre, un jeune homme prénommé Lucas a perdu la vie à l’hôpital de Hyères à cause d’une hémorragie septale. Son 25ème anniversaire était passé. Corine Godefroy, sa mère, garde l’espoir que son fils ait pu être épargné. Selon sa mère, « Il aurait pu s’en sortir car ce genre de pathologie, c’est le temps qui fait tout » (BM Toulon Var). obtenir un rendez-vous avec un médecin.

“Personne ne fait rien”

Le 30 septembre, le jeune homme a hâte que son brancard soit déposé dans un couloir d’hôpital. Après décision du médecin traitant, le 15, Lucas a été transporté aux urgences de l’hôpital dans l’après-midi, vers 15h50. Nausées, vomissements et douleurs abdominales faisaient partie de ses symptômes.

Lorsqu’il est présent en cas d’urgence, rien n’est fait. Une brancard est placée pour lui dans un placard. “Jusqu’à sa mort, l’homme attendra cette brancard.” Les professionnels de la santé ont signalé que son état s’était progressivement aggravé tout au long de la journée. Corine Godefroy regarde de loin son enfant évoluer et grandir. Le seul moyen par lequel elle peut maintenir le contact avec son enfant malade est leur correspondance.

Lucas informe sa mère : “Je me plains à tout le monde que j’ai du mal à respirer, mais personne ne fait rien”, a-t-elle déclaré dans un message qui lui a été offert. On m’a informé que je devrais attendre patiemment qu’un médecin passe. Un prestataire de soins administre le dernier traitement quatre heures après l’admission.

Il y a une vingtaine de minutes, il nous a envoyé un SMS pour nous informer qu’un médecin l’avait examiné. Finalement, j’ai crié. Dans un entretien accordé à BFM Toulon Var, sa mère Corine Godegroy a raconté que son fils a dû attendre plus de quatre heures pour voir un médecin. Plus Lucas passe d’années à l’hôpital, plus son état s’aggrave.

Vers 21h30, le jeune homme commence à constater une aggravation de ses symptômes vagaux et une recrudescence des arrêts cardiaques. La bactérie méningocoque s’était installée dans le ventre de Lucas environ deux heures après les 45 minutes de massage cardiaque, et il est décédé d’un choc septique. Alors que son fils Lucas écrit à Corine depuis l’extérieur de l’hôpital, lui expliquant les subtilités du transfert, elle regarde avec horreur la mort de son bébé. Intérieurement, il vit la vie de patient. Il entretient une relation étroite avec Lucas.

“Œil sur la mort d’un patient”

vu”, a déclaré la maman de Lucas. Il semble que la mort du patient soit le sujet principal de la lettre.

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