Maladie Bouder – Le fleuve de sa vie n’a pas toujours été calme, même s’il est désormais marié à Booder. Le 13 août, le comique fêtera son 45ème anniversaire, évitant ainsi une disparition tragique et prématurée. Le 12 février, lors de 50′ Inside, Mohammed Benyamna, de son vrai nom, a évoqué le chemin difficile que ses parents ont dû parcourir pour l’avoir.
Dans son interview franche, l’humoriste franco-marocain a évoqué cette période difficile de sa vie. À l’été 1978, je suis né dans une petite ville marocaine. Il avait décrit comment, à cette époque et dans ce lieu, personne ne connaissait ce type de maladie, mais qu’il souffrait d’une bronchiolite très étroite et d’un grave asthme, ce qui lui rendait la respiration très difficile.
Wikipédia et Carrière
Sa mère a appelé son père en France après la décapitation, et le patriarche n’a pas bougé. Les parents de Booder ont été victorieux lorsqu’ils se sont unis. “Ma maman lui a pris part des inquiétudes du docteur et mon père a dit non, cet enfant va vivre”, a déclaré Booder, la voix émerveillée.
Ce sont ses parents, ses “héros”
Des vérités cachées qui ont profondément affligé Nikos Aliagas. À la fin de cette conversation profondément émouvante, Booder a fait une magnifique proclamation publique de son amour pour les personnes qui lui avaient donné et sauvé la vie. Ils ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui”, a-t-il déclaré au présentateur de TF1 avant de conclure sur une note triste et pleine de reconnaissance : “Pour moi, ce sont mes héros.”
La tolérance, la paix au quotidien et une attitude positive sont les pierres angulaires de mon éducation idéale. L’émission 50′ inside de TF1, animée par Nikos Aliagas, a accueilli Booder comme nouvel invité le samedi 12 février 2022. La maladie de l’humoriste l’a contraint pour parler de son éducation et des défis auxquels il a été confronté lors de l’accouchement.
Profil et Biographie
Booder, 43 ans, est toujours souriant et a un grand sens de l’humour. En raison d’un obstacle qui a bouleversé leur vie, le comique a gardé une approche positive depuis le jour de sa naissance. Nikos Aliagas était le confident de Booder après son apparition dans “Portrait de la semaine” (TF1) le samedi 12 février 2022. Je me tiens devant vous dans ma deuxième existence.
Il affirme qu’il ne devrait pas être là, mais qu’il est heureux d’être là. Les médecins ont en effet constaté lors de son accouchement au Maroc en août 1978 que ses bronches étaient extrêmement petites. “J’ai eu beaucoup de mal à respirer et un asthme très prononcé”, voilà comment Booder décrit son combat à l’animateur de TF1, qui a lui-même vécu une expérience d’accouchement extraordinaire.
Depuis le début de sa carrière au Jamel Comedy Club, l’humoriste Nikos Aliagas lui confie : “Dans ce village-là, on ne connaît pas ce genre de maladie.” En raison des ressources limitées, le médecin a dû annoncer à une mère la terrible nouvelle : “Cet enfant ne passera pas l’hiver”.
“Ce sont mes héros”
Même le père de Booder n’abandonne pas maintenant qu’il a appris la terrible nouvelle. La France était la maison de mon père. Pendant qu’il était au travail, ma mère lui a fait part des inquiétudes du médecin. “Je vais vous ramener en France, ce bébé va pas vivre”, faisait dire mon père. Je suis allée à l’hôpital Necker avec ma mère. Voir la joie de ma mère d’être témoin de la vie de son enfant a été l’expérience la plus puissante pour moi, mon destrier.
Les efforts de secours auraient pu sauver la vie de l’enfant. Même si Booder a eu peu de succès avec le Paris Saint-Germain, il se souviendra toujours de ce défi et de la force que ses parents lui ont apportée. “Ce groupe est mon héros”, a-t-il déclaré à Nikos Aliagas. Booder est heureux d’avoir eu une « éducation parfaite » qui lui a appris « le respect des gens, la tolérance et le vivre-ensemble » puisqu’il en est fier. N’oubliez pas que Booder n’a jamais hésité à s’exprimer : il tond même ses propres cheveux sans crainte de représailles.
Dimanche 25 février, Booder a évoqué sa naissance dans une interview accordée à RFM. Personne dans le domaine médical n’osait rêver qu’il vivrait assez longtemps pour fêter son premier anniversaire. Booder est toujours à vos côtés !
Vendredi tout est permis. S’il n’enregistre pas une nouvelle émission, il regarde également attentivement ses spécifications. Il a un concert de Booder is back dont il fera une tournée en France dans quelques semaines. Le 26 février a eu lieu la première du téléfilm Le Nounou, avec Booder (de son vrai nom Mohammed Benyamna) sur la Une.
Sur MDR, il aspire à incarner le personnage de Samir, un homme de 40 ans résidant avec sa maman. Malgré l’incapacité de sa mère Malika à exercer son métier d’infirmière pendant qu’elle est à l’hôpital, il parvient à intégrer l’entraînement de l’équipe de football des enfants dans sa journée. Dans une banlieue branchée, où les parents de Booder sont tous deux des hommes, il emménage avec Luna et Lucien. C’est le choc des civilisations du point de vue de son personnage !
Lorsque Booder était très malade, les médecins informaient ses parents “qu’il ne passerait pas l’hiver”. Au vu de cette information, Booder s’est exprimé avec émotion au micro de RFM, dimanche 25 février, sur son parcours de vie et sa jeunesse, marquée par un problème de santé à la naissance. Il est vrai que des professionnels de la santé d’un village marocain isolé lui ont diagnostiqué un asthme sévère et une obstruction des voies respiratoires en 1978, alors qu’il débutait.
Un grave tremblement de terre a frappé sa région et le manque d’expérience du médecin n’a fait qu’empirer les choses. Il n’aurait jamais pu permettre que des vaches et des moutons soient donnés aux animaux. “Il ne passera pas l’hiver”.
À partir de là, tout devient une affaire sérieuse. Même si papa était contre l’envoi de son enfant en prison, maman était impuissante et désemparée. La tromperie rapide de ce “professionnel de la santé” est de la plus haute importance pour Booder : il n’y avait pas de machine. “Ces compétences étaient celles de l’époque.”
Booder Booder avait déjà évoqué ses débuts mouvementés dans 50 Minutes Inside en 2022, au grand plaisir de ses parents. Il a été envoyé à l’hôpital Necker en France dès son atterrissage. Que faire pour redonner le sourire à sa mère. Sa motivation, a-t-il déclaré à l’antenne, était de voir la joie de sa mère de voir son bébé vivant. Interrogé sur les rumeurs médicales de longue date qui tourmentent le comique, il a tenté de prendre un air de courage.
Parmi eux, vous trouverez des mots choquants. Savez-vous qui contrecarrerait cela ? Ce n’est pas le cas de Booder, qui fait continuellement l’objet de rumeurs négatives sur son image corporelle. L’humoriste de 45 ans entendait se moquer des propos qu’il reçoit lors d’un entretien diffusé à la télévision ce jeudi 19 octobre avec Ciné Télé Revue. Contrairement à ce qu’affirment certains individus non informés, nos frères et sœurs belges ont souligné qu’aucune personne ayant eu une enfance difficile n’est malade d’une maladie héréditaire.
Lorsque je l’ai lu pour la première fois en ligne, je n’ai pas pu m’empêcher de rire. Booder a décrit ce qui s’est passé avant que les parents ne commencent à l’informer par lettres que leur enfant souffrait de la même maladie qu’elle. “Ce n’est pas facile. Au motif que “je n’ai aucune maladie”, il a pris soin d’en revenir. Quant à l’humoriste obstiné : je ne souffre d’aucune sorte de handicap physique, de trisomie ou de naincédomina. Je Je ne sais pas quoi dire ainsi aux parents : face à un enfant malade, “le plus important c’est qu’il se sente bien dans sa peau”, dit le “père de famille” autoproclamé.
“En plein deuil” fait référence au refus de Booder d’expliquer sa disparition.
Wahid Bouzidi, 45 ans, est décédé tragiquement en août dernier. Lorsqu’il jouait avec l’organisation Jamel Comedy Club, il a été découvert en tant que comique. L’acteur a eu un accident vasculaire cérébral quatre jours auparavant, qui a nécessité une hospitalisation aux urgences. L’acteur n’a pas réussi à sortir du coma.
Terrible nouvelle qui a stupéfié de nombreuses personnalités, dont Booder, son ami. Le jeudi 19 octobre, ses révélations seront publiées dans le numéro du jeudi du magazine Ciné Télé Revue. Nous étions tous les deux à Marrakech lorsqu’il est entré dans le coma. L’observation était essentielle. Je suis resté à ses côtés jusqu’à ce qu’il nous quitte.
L’amitié presque fusionnelle entre Booder et Wahid Bouzidi est une nouvelle fois au centre de son attention. “C’était presque en train de se produire. En discuter est encore un peu difficile. “Je suis toujours en plein deuil”, a-t-il poursuivi, expliquant qu’il ne s’est jamais remis de la perte de son acolyte.
Il y a des matins où j’aimerais lui donner un sonne, mais il est parti. Pour terminer sur une note personnelle, j’espère qu’il trouvera le bonheur où qu’il soit. Son interview avec “50′ Inside” en février a parlé de son voyage, de sa maladie et de sa convalescence, c’est l’occasion de revenir sur ce sujet.