Maladie Pierre Servant – Tout comme le reste d’entre nous, les personnes célèbres peuvent parfois tomber malades. Le grand jour, certains le dévoileront, tandis que d’autres préféreront rester anonymes. Dans ce diaporama, onze personnalités bien connues discutent de leurs luttes contre des problèmes de santé non reconnus.
Troubles du système circulatoire comme le diabète, le cancer, la fistule artério-veineuse, la maladie de Parkinson, etc. Personne n’est surpris par nos célébrités de renom. Même les corps célestes qui ont quitté ce monde peuvent être mêlés à la maladie. Certaines personnes préfèrent cacher leur angoisse aux regards indiscrets ou attendre que leurs blessures guérissent avant de les partager, mais d’autres trouvent des moyens créatifs d’utiliser leurs expériences pour sensibiliser et briser les tabous.
Dans ce diaporama, vous verrez peut-être les stars qui ont caché leur maladie le temps d’une journée. “On peut tout à fait cacher son cancer pour des motifs positifs”La perception du cancer a radicalement changé au cours des dernières décennies. Il était particulièrement inutile d’en parler dans les années 1960, estime Benjamin Berbez, professeur de philosophie, d’anthropologie et de sociologie à Rose Up.
En revanche, l’idée selon laquelle les personnes malades avaient besoin d’un environnement favorable pour partager leurs histoires et trouver des moyens de s’en sortir a commencé à prendre racine dans les années 1990. “Les malades peuvent décider de parler ou non de leur cancer”, avait annoncé le ministre de la Santé en 2018.
Moins évidents pour les observateurs, la médecine moderne a rendu ce choix viable pour les victimes du cancer. Il existe de nombreuses raisons raisonnables pour lesquelles une personne malade voudrait garder sa maladie secrète, parmi lesquelles : préserver son identité sociale, démontrer du respect pour ses idéaux, éviter une évolution de carrière, etc.
Le professeur de sociologie poursuit : « Taire son cancer , c’est un droit et une liberté”, avant de mentionner que garder une maladie secrète pour ses proches peut avoir des implications difficiles. Cette tendance peut être suivie de critiques. Le guitariste des Rolling Stones, qui aura 74 ans en juin 2021, a évoqué l’année dernière son combat caché contre une deuxième maladie.
Divulgation : “J’ai lutté contre un cancer à petites cellules lors de mon dernier confinement et j’ai eu un cancer de la prostate en 2017”, a-t-il déclaré dans une interview au tabloïd anglais The Sun. L’art-thérapie, et en particulier la peinture, l’a énormément aidée, tout comme l’amour et le soutien de sa famille.
Il semble que la guerre ait éclaté sur Terre. Ils n’ont pas beaucoup réfléchi aux batailles depuis des décennies. Les divisions militaires combattant les divisions militaires et les nations combattant les États ne sont plus subordonnées les unes aux autres. Son sens de la mode est dynamique et somptueux.
De même, personne n’a de bon nom pour eux. Dans cette brume, un détail ressort : le champ de bataille s’étend à un rythme effarant. Comparés à ce cancer, les célèbres modèles des années 1900 ont causé bien plus de décès. Cependant, son état d’esprit mutant est horrible. La prochaine guerre coûtera plus de vies que les deux guerres mondiales réunies et durera bien plus longtemps que toutes celles qui l’ont précédée.
Ce nouveau type de conflit, qui implique à la fois des forces du bien et du mal, transforme les « gentils garçons » en fervents combattants, recrute des familles entières pour le jihad et touche cinq des six continents. Elle se joue aussi bien sur terre que dans les airs.
Rien n’est sûr alors que des groupes armés construisent un État islamique en Mésopotamie, que la Russie soutient les séparatistes en Ukraine et intervient en Syrie sous couvert russe. Le Conseil de sécurité des Nations Unies compte la Russie comme membre permanent.
Un « messianiste » qui écrit l’histoire à sa propre image peut être le résultat d’une combinaison d’extrémistes religieux et d’ultranationalistes. Tout le monde sait que nous ne fermerons pas les yeux sur ce sujet. À ce stade, nous sommes tous en état d’alerte en raison de l’expression de son visage.
Vaincre les djihadistes au Mali, c’est le projet de l’armée française, selon Pierre Servent. Quatre enfants, âgés de 1,5 à 4 ans, ont participé à un essai de traitement génétique du syndrome de Sanfilippo de type B qui a débuté en octobre 2013 et a également été soutenu par l’Institut Pasteur. Le 13 juillet 2017, les résultats ont été publiés dans la revue Lancet Neurology.
Les chercheurs ont conclu que le médicament était sûr et bien toléré après 48 mois de surveillance des quatre enfants qui l’avaient reçu. Certains jeunes traités peuvent en conséquence subir un changement dans le développement normal de la maladie. Il semble que le début d’un traitement à un jeune âge soit lié à une amélioration des fonctions neurocognitives.
Rare et incurable, la maladie de Sanfilippo est une maladie génétique affectant le système nerveux. Ce trouble évolue depuis de légers troubles cognitifs et des problèmes de comportement dans l’enfance jusqu’à une régression psychomotrice sévère et un polyhandicap à mesure qu’il mûrit. La mort au cours des premières années de l’âge adulte est le plus souvent causée par la maladie.
La maladie
Une surabondance de molécules de sulfate-déshydragane partiellement dégradées dans les tissus corporels provoque le syndrome de Sanfilippo, un polysaccharide présent dans les tissus animaux. L’enzyme habituellement responsable de la dégradation de l’héparane sulfate devient inactive en raison d’une mutation génétique.
Il est difficile de se débarrasser de ces molécules irrémédiablement endommagées une fois qu’elles pénètrent dans le cerveau au cours du développement normal et commencent à tuer les cellules cérébrales. Les premiers signes de la maladie comprennent un retard du développement cognitif, une hyperactivité, des caractéristiques autistiques et des troubles du sommeil.
Leur début de puberté est généralement plus précoce que la moyenne. Ainsi, l’autonomie d’une personne est fortement limitée vers l’âge de 10 ans en raison d’une lésion cérébrale qui altère ses capacités motrices et cognitives. De plus, il existe un léger cas de dysmorphie faciale.
Encourager et préserver la santé
Identifier la maladie de Sanfilippo demande beaucoup d’efforts et de patience. Héron et al. (2009) ont réalisé une étude épidémiologique mesurant l’incidence de la mucopolysaccharidose de type III en France, au Royaume-Uni et en Grèce. L’étude a comparé ces trois pays et a constaté que chacun avait un taux d’occurrence similaire. L’AP-HP et l’Institut Pasteur ont mené ces recherches. Entre 0,66 et 1,22 cas pour 100 000 naissances vivantes sont enregistrés.
Un déficit enzymatique (A, B, C ou D) est une caractéristique du syndrome de Sanfilippo. Semblable à la façon dont ils transmettent leurs gènes de génération en génération, « cela » indique « un mode autosomique dominant récessif », ce qui signifie que la probabilité qu’un enfant soit atteint de la maladie est plus élevée si la mutation est trouvée chez les deux parents. Les types A et B, les deux formes les plus courantes, présentent des manifestations cliniques identiques.
Gérer les responsabilités
La gestion des symptômes de la maladie de Sanfilippo est un défi et il n’existe actuellement aucun remède contre cette maladie. Jusqu’à ce que le cerveau reçoive l’enzyme fonctionnelle absente au début du trouble, la maladie progressera rapidement selon son évolution naturelle. Si l’on en croit l’historien Pierre Servent, “Dans le logiciel de Poutine, c’est soit la victoire, soit la mort”.
Les ramifications géopolitiques de la crise ukrainienne sont examinées par Pierre Servent dans « Le Monde de demain ». Il existe, selon lui, des points de vue divergents. En matière militaire, sa fixation sur la hiérarchie des forces supérieures-subordonnées l’empêche de comprendre Poutine céder.
Parmi les analystes les plus éminents qui suivent les événements qui se déroulent en Ukraine figure Pierre Servent. Le monde a été divisé par un coup d’État autoritaire, affirme Le Monde de demain (éditions Robert Laffont). Il a été professeur d’histoire et est maintenant colonel de réserve ; il a également une formation en histoire militaire. Face à la montée de la mentalité « capitulaire », il appelle au rétablissement de la démocratie américaine.
Le Monde d’hier de Stefan Zweig, qui retrace la détérioration d’une Europe tranquille dans les années précédant la Grande Guerre de 1914, est le livre auquel vous faites référence lorsque vous dites que Le Monde de demain sera publié demain. Nous sommes entrés dans une nouvelle ère terrible avec la guerre en Ukraine, n’est-ce pas ?
Pierrot, dont le prénom était Pierre Servant, est décédé des suites d’une longue maladie. Tout le monde le connaissait dans le hameau de Haute-Rivoire. Rémi Cuisinier se souvient sur les Monts du Lyonnais en disant : “C’était mon copain depuis toujours.” En Haute-Rivoire, il était pratiquement mon cousin à cause de ses parents.
Même s’ils étaient pauvres, ces petits paysans ne se laissaient jamais décourager. Quand nous avions quatorze ans, mon ami Pierrot et moi sommes tous deux entrés à l’école à Saint-Laurent-de-Chamousset. Nous avons obtenu notre diplôme en 1955. Notre amitié nous a accompagné dans les bons comme dans les mauvais moments.
Un instinct dictait à Pierrot de s’accrocher à son coin repas. Il a entrepris la descente de la rivière d’en face à l’âge de 75 ans. Le 8 mai sera une fête scolaire en Haute-Rivoire, et nous serons attentifs à sa situation. La Marche des Noisettes a reçu le concours de Pierre Servant, un aimable membre à vie du groupe.
Homme d’un extrême secret, il a été président de la Fnaca en Haute-Rivoire. Un missile ukrainien aurait dévié de sa trajectoire, selon le colonel Pierre Servent, qui juge “crédible” qu’un missile de ce pays soit tombé en Pologne. Un expert en matière militaire affirme que l’armée ukrainienne possède « des systèmes de défense sol-air S300 de fabrication russe qui sont identiques à ceux que les Russes utilisent » pour vérifier cette affirmation.
Dans un entretien accordé le 16 novembre à Franceinfo, le colonel de réserve honoraire Pierre Servent a qualifié de « crédible » la thèse selon laquelle un missile ukrainien aurait perdu le contrôle, au lendemain du crash d’un missile en Pologne, tuant deux personnes. Comme le dit l’expert de la défense, “ce qui va être difficile à évaluer, c’est l’intention”, mais l’enquête révélera la destination finale du missile.