Mari De Judith Godreche – Judith Godrèche est née à Paris le 23 mars 1972. Son père est psychiatre. Nadine Trintignant l’a sélectionnée pour son premier long métrage, L’été prochain, fresque familiale, aux côtés de Claudia Cardinale et Philippe Noiret, alors qu’elle n’avait que 10 ans. Après cette première rencontre, deux choses deviennent claires pour la jeune Judith : premièrement, qu’elle deviendra définitivement actrice, et deuxièmement, qu’elle le fera au milieu d’une communauté d’autres créateurs.
À titre d’exemple d’acteur français, elle a joué avec Jean-Pierre Mocky dans Les saisons du plaisir et Benoît Jacquot, Dominique Sanda et Jean-Philippe Ecoffey dans Les mendiants de 1986. Mais l’heure de la révélation n’est pas encore venue. Judith incarne le personnage du meilleur ami incompétent du jeune homme dans La Fille de quinze ans, qui présente également un triangle érotique avec le réalisateur Jacques Doillon et le jeune homme Melvil Poupaud.
Beth, interprétée par Judith, est une adolescente parisienne rêveuse et passionnée dont la vie bascule lorsqu’elle rencontre les trois hommes dans La désenchantée, sorti l’année suivante. Judith Godrèche est nominée aux Oscars peu de temps après. Avec des performances plus contemplatives et austères comme le sketch des Inconnus dans “Escarres” et la reprise de “Tu peux pas comprendre !!! Au box-office. Judith fait preuve de compassion tout en assumant avec grâce le rôle important que lui assignent les auteurs.
Ses débuts au théâtre dans “Je veux faire du cinéma” (1992) aux côtés de Michel Blanc et Michèle Laroque la propulsent au rang de star et elle reçoit une nomination au Molière de la révélation théâtrale la même année. Après avoir accompli ses devoirs d’adulte, Judith change de label pour se consacrer aux œuvres dramatiques (Paris s’éveille d’Olivier Assayas) et comiques (Tango de Patrice Leconte), et expérimente la télévision pour enfants (“Emma Zunz” d’après les personnages de Borges et , en 1998, “Le rouge et le noir” d’après Stendhal).
Elle réalise son premier court métrage, L’aube à l’envers, de Sophie Marceau en 1995, et ses rôles d’actrice incluent le rôle de Mathilde de Bellegarde, la fille de Jean Rochefort, dans la comédie américaine Ridicule. Parallèlement à ses aventures en Europe, Judith commence à tourner à l’étranger et donne la réplique à Leonardo DiCaprio dans la partie française de la superproduction L’homme au masque de fer.
Avec le rock’n roll comme musique, l’actrice a incarné un mannequin adolescent tombé amoureux d’un réalisateur indépendant dans la comédie romantique américaine Entropy de 1999. Le rêve continuera, quelle que soit la mauvaise performance du film. Malgré son apparition modeste dans Bimboland d’Ariel Zeitoun, la partie la plus mémorable du film a été sa rencontre avec son futur mari, le comédien Danyboon, sur le tournage.
Elle a désormais décidé de se consacrer entièrement à l’interprétation des œuvres de son mari et, à l’occasion, à fonder une famille. Peu de temps après avoir donné naissance à Noé, elle met sa carrière entre parenthèses pour s’occuper de son bébé. Même si elle a débuté sa carrière de chanteuse dans les registres supérieurs, “l’âge” lui permet d’assumer des rôles plus comiques, comme la légendaire Anne-Sophie dans la comédie chorale L’auberge espagnole de Cédric Klapisch.
Dans son rôle d’épouse séduisante d’un médecin talentueux exilé à Barcelone, son apparence juvénile contraste fortement avec la désuétude affichée. Sophie Marceau (qui a également réalisé la biographie Parlez-moi d’amour) joue dans le combat de Judith Godrèche pour oublier les horribles événements de son enfance, marquant son retour au cinéma après une pause plus introspective.
L’acteur incarne une ventriloque blonde de la télévision dans France Boutique, réalisé par Tonie Marshall. François Cluzet et Karin Viard incarnent les gestionnaires des stocks du navire, tristes et à la tête d’une boutique de vêtements en ligne. Ses œuvres d’art à couper le souffle réalisées là-bas ont récidivé…
Une décennie après sa dernière apparition à Hollywood, “l’Icône du cinéma français” de Judith Godrèche se vend comme des petits pains. Ce qui suit est une œuvre de fiction, ou presque. Dans “Icône du cinéma français”, l’actrice se prépare à un exercice d’écriture et livre une prestation parfaite en tant que sien pour la première d’Arte le 28 décembre et l’accès arte.tv le 21 décembre suivant.
La protagoniste, Judith Godrèche (noms modifiés pour préserver l’anonymat), retourne à Paris après avoir vécu une décennie d’exil en Californie dans cette série. Rien ne se passe comme prévu, même si un réalisateur français lui avait promis un rôle qui définirait sa carrière. Être confondue avec Juliette Binoche est quelque chose que l’actrice aime, et elle dévoile sa fascination pour les imposteurs et les significations cachées de son travail dans un acte d’autodérision véritable.
En mettant en avant une industrie sexiste « exclusivement dirigée par des hommes », l’actrice fait preuve du syndrome de l’imposteur ; elle confronte également son ex-mari, détruit la masculinité hégémonique et dépeint une femme puissante mais vulnérable. Belle et divertissante, cette satire sociale met en scène une Godrèche interprétant les chansons de Lady Di sur un rythme lent et nostalgique. Merci beaucoup, Judith.
A l’avant-première parisienne de sa série Icône du cinéma français le 8 décembre, l’actrice sera rejointe par son fils et sa fille. Elle joue le rôle d’une actrice hollywoodienne dans la série télévisée française Icône du cinéma français qui, après une rupture, souhaite recommencer. Elle a une autre fille qui fréquente un chorégraphe plus âgé.
Vendredi 8 décembre, au Silencio des Prés à Paris, Judith Godrèche et ses enfants étaient présents pour l’avant-première du spectacle. Noé Boon, 24 ans, est la fille du mariage de l’actrice avec Dany Boon (qui a duré de 1998 à 2002), et Tess Barthélémy, 18 ans, est la fille de sa relation avec Maurice Barthélémy (qui a duré de 2004 à 2012). L’actrice de 51 ans pose effectivement avec ses deux enfants.
“J’étais très vulnérable.”
À vingt-cinq ans, Judith Godrèche entame sa fameuse relation avec le cinéaste Benoît Jacquot, qu’elle avait entamée dès l’âge de quatorze ans. Ils venaient de figurer dans un article de ELLE où elle mettait en avant leur idylle. Sa collection en comptait alors une quarantaine. “Je me sens vulnérable malgré une certaine maturité”, a-t-elle déclaré à huis clos.
Sur le tournage de Mendiants, le film de 1988 dans lequel l’actrice tient son rôle marquant, les deux interprètes se croisent. Ils vont vivre une éternité de douleur pendant les six années que dure leur paradis. Elle a précisé que l’acteur de 45 ans qui incarne le réalisateur est sur le plateau pour quinze prises, qu’il n’y a pas d’adulte qui dise “On va s’arrêter
L’actrice a menacé Tess Barthélémy en disant : “Si un homme de 40 ans approche ma fille, je le tue”. Alors elle l’a dit. Être parent d’une fille adolescente m’a aidé à comprendre ce qui m’est arrivé, en particulier le fait que j’ai réussi à exister dans une société sans lois. À l’âge de quinze ans, cette image de poupée lolita était au cœur de toutes les histoires et de tous les films.
En conséquence, j’ai arrêté d’aller à l’école. Il faut d’abord en finir avec les enseignements destinés aux jeunes filles. « L’art est un tremplin très favorable » contre « la saisie des filets d’un plus puissant ». Si sa fille désirait un jour devenir une star de cinéma, elle prêterait certainement attention à ce degré de détail.
Judith Godrèche, une actrice qui a eu une relation difficile avec le cinéaste plus âgé qui l’a choisie pour son premier long métrage, a accepté une interview au magazine “Elle”, dans laquelle elle parlera de ses débuts à Hollywood. Leur histoire d’amour a commencé alors qu’elle était une jeune adulte.
L’actrice et productrice Judith Godrèche est de retour dans le jeu. L’émission “Icône du cinéma français” de l’actrice et cinéaste, diffusée sur Arte, revient sur ses débuts de carrière et sur d’autres sujets. Dans une relation qui a débuté lorsque la jeune fille avait quatorze ans, est désormais impliqué un réalisateur de quarante ans. Dans ses essais pour le magazine “Elle”, Judith Godrèche évoque cette période de sa vie, mais elle ne prononce plus jamais le nom de Benoît Jacquot.
Pour un acteur, rien n’est plus important que d’être adoré et regardé. “C’est comme si, en vous choisissant, le réalisateur vous donnait la vie”, dit-elle, racontant l’histoire d’une manière à la fois personnelle et pertinente pour le jeune public, qui la trouvera réfléchie et pertinente.
“Déterminer où tracer la limite”
Être capable de fixer des limites, en particulier dans le domaine de l’art, est un élément important pour être un adulte et assumer sa responsabilité sociale. Imaginez que vous êtes une jeune fille de quinze ans qui doit faire 45 fois une scène difficile alors que son réalisateur de 45 ans lui dit “on va s’arrêter là” car il n’y a pas de surveillance adulte sur le plateau.
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Judith Godrèche a finalement décidé de prendre ses distances avec ce monde cinématographique. Les dix dernières années ont été consacrées à sa vie en Amérique. Plusieurs personnalités célèbres, dont elle, se sont prononcées contre les actions d’Harvey Weinstein. Elle critique toute une industrie en raison du manque de parole de ses membres.
L’actrice de 34 ans a tenté de clarifier mardi dans l’émission “Télérama” pourquoi elle avait échappé à la polémique après sa performance aux Oscars 2020, qui n’a pas abouti. Une défense inébranlable, Elle a fait part de ses sentiments dans une récente interview au magazine “Elle”, déclarant : “Si un homme de quarante ans s’approche de ma fille, je le tuerai”. Onze ans, c’est l’âge de sa fille. Et pour couronner le tout, elle n’a que 51 ans. Avoir une fille adolescente m’a aidée à accepter ce qui m’est arrivé, c’est-à-dire que j’ai survécu dans un univers dépourvu de règles et de règlements.
“Ridicule” et “Potiche” ne sont que deux des nombreux succès que Judith Godrèche a connu tout au long de sa longue carrière cinématographique. Il semble qu’elle ait parcouru ce chemin rapidement, n’est-ce pas ? L’écrivain raconte les événements de sa vie dans ses articles passionnés pour le magazine “ELLE”. Sa série « Icône du cinéma français » est très personnelle.
Du 21 au 28 décembre, Arte diffusera sur arte.tv la nouvelle série de Judith Godrèche, Icône du cinéma français. Une revue scientifique Elle souhaitait rencontrer l’actrice et metteure en scène de 51 ans pour mieux comprendre son autobiographie, qui raconte l’histoire d’une actrice en difficulté qui tente de se réinsérer dans le métier.
Elle joue deux rôles dans le film : l’un est celui de sa propre fille Tess, et l’autre est celui de la fille de Maurice Barthélémy, dont le père est Dany Boon. Elle révèle au magazine ses relations passées, dont une avec un réalisateur très acclamé, dans une interview intense et émotionnellement éprouvante.