Melanie Houe Maladie Cancer – De deuil, la revue Libération. A 36 ans, l’ancien correspondant de Beyrouth du quotidien est décédé. Le journaliste a finalement succombé à sa maladie invalidante après un long combat. De mauvaises nouvelles ont été divulguées par Libération. Mélanie Houé et son ancien employeur à Beyrouth ont rapporté que le journaliste est décédé à l’âge de 36 ans des suites d’une longue maladie. En conséquence, le 9 février, elle est décédée dans un hôpital de Paris.
Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’honneur de travailler avec elle sont choqués qu’elle ait disparu sans laisser de trace. Communiquer avec l’équipe éditoriale située partout dans le monde était pour elle un jeu d’enfant, que ce soit par téléphone ou par e-mail.
Mélanie Houé a couvert depuis sa base de Beyrouth les questions liées au Liban pour la presse écrite et multimédia de 2013 à 2019. Houé, selon Libération, était une source d’énergie et de ressources, capable de couvrir rapidement l’actualité et de proposer des idées originales. pour des articles approfondis sur un large éventail de sujets.
La perte de Mélanie Houé a provoqué une onde de choc dans le monde médiatique. “C’était une fille qui ne s’arrêtait jamais, qui était plein de projets, passionnée de sa profession, engagée, très empathique, généreuse et tout aussi irréprochable dans son travail”, précise son confrère Thomas Abgrall, un ancien correspondant de Libération.
“Pour travailler sur un site arabe lancé par le groupe Al-Jazeera”, elle s’est installée au Qatar en 2019, selon Libération, mais elle vient de rentrer chez son partenaire madrilène et découvre qu’elle ne se sent pas bien. Elle était une ancienne employée de TV5 Monde, France 24, BFM TV, Libre Belgique, RTL et Médi1.
Mélanie Houé a fréquenté les écoles de journalisme ESJ de Lille et Montpellier alors qu’elle était étudiante en master à Paris IV en histoire de la construction européenne. Elle écrit sur la technologie pour le site d’information Yvelines. Elle a eu “un coup de cœur” pour le Liban en 2013 lors d’une visite chez une connaissance, ce qui l’a poussée à quitter son emploi de journaliste. Depuis, elle continue ses fonctions de reportage. Ses collègues n’oublieront jamais l’incroyable expérience qu’il leur a fait vivre.
Mélanie Hué, courageuse journaliste française, est décédée à l’âge de 36 ans le 9 février 2024, après un vaillant combat contre la maladie. Libération est actuellement en cours de rédaction. Leur journaliste Mélanie Hué, 36 ans, a succombé à la maladie le 9 février 2024.
Elle a consacré beaucoup de temps à leurs reportages depuis Beyrouth, au Liban. Dans un long hommage publié par le journal, une terrible nouvelle est annoncée. La jeune femme est décédée dans un centre médical parisien. Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’honneur de travailler avec elle sont choqués qu’elle ait disparu sans laisser de trace.
Communiquer avec l’équipe éditoriale située partout dans le monde était pour elle un jeu d’enfant, que ce soit par téléphone ou par e-mail. Les membres de l’équipe de Mélanie à Libération l’ont félicitée, affirmant qu’elle était “pleine d’entrain et de ressources, réagissant rapidement aux actualités brûlantes tout en étant créative pour de longs reportages sur des sujets variés”.
Thomas Abgrall, l’un de ses anciens collègues de Libération, a répondu : « C’était une fille que rien ne s’arrêtait, toujours pleine de projets, passionnée par sa passion, engagée, pleine d’empathie, généreuse et aussi irréprochable dans son travail. Rien d’extraordinaire ne s’est produit au cours de la carrière du journaliste.
Mélanie Houé a fait ses études à l’Université Paris-IV et à l’ESJ Lille et Montpellier, où elle a mené des recherches sur le développement des méthodes de construction répandues dans toute l’Europe. Après avoir travaillé comme journaliste en ligne pour Yvelines Première, son “coup de cœur” pour le Liban s’est produit en 2013 alors qu’elle rendait visite à une amie. Elle s’y est déjà installée avec l’intention de devenir journaliste.
Une célébration de la liberté
Les médias au Liban que Mélanie Houé a couverts alors qu’elle vivait à Beyrouth de 2013 à 2019 comprenaient Libération, Libre Belgique, RTL, Médi1, BFM TV, France 24 et TV5 Monde, entre autres. Elle quitte le Liban pour le Qatar l’année suivante pour collaborer avec le site francophone qu’Al-Jazeera avait lancé après son départ en 2019. Elle est retournée à Madrid pour vivre avec son compagnon plus tard cette année-là, en 2023, quelques mois seulement avant l’annonce de sa maladie.
La journaliste Mélanie Houé, qui a courageusement lutté contre une maladie invalidante, est décédée jeudi à l’âge de 36 ans. Les médias lui rendent aujourd’hui hommage. Avant même le début de 2024, nous perdons déjà de nombreuses personnalités. Leur compagne Mélanie est décédée subitement au jeune âge de 36 ans.
Aujourd’hui, nos compatriotes de Libération lui rendront hommage. La jeune femme a couvert l’actualité de Beyrouth pour la publication de 2013 à 2019. Elle s’attaquera à tous les problèmes de la nation et de ses villes, y compris ceux d’ordre social et environnemental. Elle a couvert diverses questions, notamment la crise des déchets et le divorce, qui l’ont profondément marquée. Mélanie Houé est décédée vendredi 9 février dernier, dans un hôpital de Paris, des suites d’une longue maladie.
Mélanie Houé a couvert l’actualité pour plusieurs publications. «C’était une fille qui ne s’arrêtait jamais, toujours pleine de projets, passionnée par sa vocation, engagée, pleine d’empathie, généreuse et aussi irréprochable dans son travail», confiait Thomas Abgrall, un de ses collègues depuis le Liban Depuis Beyrouth, Mélanie Houé est productrice de médias et journaliste indépendante, collaborant dans diverses tribunes de la presse écrite et de la télévision, elle a ainsi signé des contrats avec de nombreuses chaînes, telles que RTL, Médi 1, BFMTV, France 24 ou TV5 Monde.
La journaliste de renommée mondiale Mélanie Houé a un désir irrésistible de poursuivre des études de journalisme alors qu’elle est étudiante au collégial. Elle a fréquenté la London School of Economics et la Sorbonne à Paris pour obtenir sa maîtrise en recherche historique. L’histoire de la construction en Europe était au centre de son diplôme obtenu à Londres.
Elle a été membre d’Yvelines Premières alors qu’elle était étudiante en journalisme à l’ESJ Lille-Montpellier de 2010 à 2012. Lors de sa visite chez une amie à Beyrouth, elle a développé une profonde appréciation pour la ville et sa culture. Avant de partir pour Madrid en 2019 avec son compagnon, elle souhaite travailler deux ans sur un site francophone d’Al-Jazeera au Qatar.
En 2023, quelques mois plus tard, elle apprend qu’elle est atteinte d’une grave maladie. Sa famille et ses amis ont décidé de ne rien diagnostiquer pour l’instant. Elle a été journaliste pour plusieurs chaînes, dont RTL, BFMTV et TV5 Monde, et son poste le plus récent était Libération. Le légendaire journaliste libanais est décédé après un long combat contre une horrible maladie.
Mort subitement. La journaliste Mélanie Houé serait décédée subitement jeudi 14 février, selon le journal Libération. En années, Houé en avait enregistré 36. La jeune femme a travaillé comme journaliste au quotidien de Beyrouth, au Liban, de 2013 à 2019. Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’occasion de collaborer avec elle sont troublés par sa disparition.
Nos confrères ont salué le caractère « plein d’entrain et de débrouillardise » de Mélanie, qui lui a permis de réagir rapidement aux dernières nouvelles tout en générant de nouvelles idées pour des articles de fond sur un large éventail de sujets. Perte tragique de la journaliste Mélanie Houé, une femme « engagée, pleine d’empathie, généreuse et irréprochable »
L’un des collègues de Mélanie Houé à Beyrouth, Thomas Abgrall, se souvient : “C’était une fille qui ne s’arrêtait jamais, toujours chargée de projets, passionnée de sa profession, engagée, très empathique, généreuse et aussi irréprochable dans son travail.”
C’est grâce à un site français récemment créé par la chaîne Al-Jazeera que la trentenaire a quitté le Liban pour le Qatar en 2019. Mélanie Houé a accompagné son amie à Madrid deux ans plus tard. Parmi les nombreux médias européens auxquels ce journaliste a contribué figurent La Libre Belgique, BFMTV, RTL, France 24 et TV5 Monde.
Une journaliste nommée Mélanie Houé est décédée des suites d’une maladie à l’âge de 36 ans.
Mélanie Houé entend poursuivre une carrière en journalisme après avoir complété sa maîtrise en histoire de la construction en Europe. Après avoir obtenu son diplôme de presse écrite et numérique à l’ESJ Lille-Montpellier, elle débute sa carrière de rédactrice chez Yvelines Premières.
La jeune femme tombe éperdument sous le charme du Liban lors d’une visite en 2013 chez un ami. Elle prend la décision de s’y installer afin de réaliser son rêve de devenir journaliste. Après avoir appris qu’elle était atteinte d’une maladie en phase terminale en 2023, Mélanie Houé passera le 9 février 2024, dans une institution parisienne.
La maladie de Mélanie Houé étant si grave, ses proches ont exprimé leur perte tout en souhaitant garder l’anonymat ; nous leur présentons nos plus grands regrets. “La rédaction de Libération partage la douleur de sa famille, de ses amis et de tous ses proches”, ont-ils déclaré.
Mélanie Houé est décédée à l’âge de 36 ans, vendredi 9 février, après un long combat contre la maladie. De 2013 à 2019, le journaliste a couvert de nombreuses sources basées à Beyrouth, parmi lesquelles Libération, La Libre Belgique, RTL, Médi 1, BFMTV, France 24 ou encore TV5 Monde.
Libération cite Thomas Abgrall, qui était son collègue et ami de longue date, qui aurait déclaré : « C’était une fille que rien n’arrêtait ». Abgrall poursuit en disant qu’elle est une travailleuse infatigable, investie, attentionnée, généreuse et pleine de vie.
Pour continuer à contribuer au site francophone d’Al-Jazeera, elle est rentrée au Qatar début 2019. Le couple envisage de revenir à Madrid en 2021 et d’y rester jusqu’en 2023, selon Mélanie Houé. Cette année-là, elle découvre qu’elle ne va pas bien. Quelques mois plus tard, il contracte cette maladie.
Informer les médias des incidents critiques. Quelqu’un dans ce domaine assidu a récemment pris feu. Il a été révélé mercredi que Mélanie Houé était décédée. Libération n’est qu’un média parmi tant d’autres avec lesquels le jeune journaliste a eu affaire.
La jeune femme, décédée le 9 février dernier à l’âge de 36 ans des suites d’une maladie terrible et invalidante, a été honorée dans un article mis en ligne par le journal. Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’honneur de travailler avec elle sont choqués qu’elle ait disparu sans laisser de trace.
Communiquer avec l’équipe éditoriale située partout dans le monde était pour elle un jeu d’enfant, que ce soit par téléphone ou par e-mail. Journaliste indépendante travaillant au Liban, Mélanie Houé a couvert Beyrouth pour Libération. Tout au long de son séjour (2013-2019), la jeune femme a couvert « les différentes crises traversées par le pays » pour plusieurs chaînes, comme RTL, France 24, BFM TV ou La Libre Belgique.
S’installant à Madrid, Mélanie Houé poursuit son journalisme indépendant tout en travaillant également comme assistante de recherche pour l’Organisation mondiale du tourisme. Cela fait suite à deux années de travail pour un site Internet d’Al-Jazeera au Liban. Selon Libération, ils ont vécu dans la ville espagnole jusqu’à “et la découverte de la maladie qui allait l’emporter quelques mois plus tard” en 2023. Nos plus sincères condoléances pour le décès d’un être cher.
