Melanie Houe Maladie – Mélanie Houé, correspondante de nombreux médias “C’était une fille qui ne s’arrêtait jamais, toujours pleine de projets, passionnée par sa profession, engagée, pleine d’empathie, généreuse et aussi irréprochable dans son travail”, a confié Thomas Abgrall, un de ses collègues depuis le Liban . Mélanie Houé travaille comme journaliste indépendante et productrice de médias depuis Beyrouth, contribuant à la fois à la presse écrite et audiovisuelle. Elle a signé avec de nombreux médias, dont La Libre Belgique, RTL, Médi 1, BFMTV, France 24 et TV5 Monde.
Le plus grand journaliste du monde
Le cheminement de Mélanie Houé vers le journalisme commence durant ses années d’études universitaires. Avant de terminer ses études à Paris IV-Sorbonne, elle réalise un master de recherche historique à Londres, où elle se concentre sur l’histoire de la construction européenne. Elle a suivi sa formation de journalisme à l’ESJ Lille-Montpellier entre 2010 et 2012, où elle a perfectionné son métier aux Yvelines Premières.
Alors qu’elle rend visite à une amie à Beyrouth, elle tombe éperdument sous le charme du pays et de sa culture. De retour au Qatar en 2019 pour travailler pendant deux ans pour un site francophone d’Al-Jazeera, elle partira ensuite à Madrid pour retrouver son compagnon. Elle apprend qu’elle est atteinte d’une grave maladie en 2023, et quelques mois plus tard, elle décède. Pour l’heure, ses proches ne souhaitent pas identifier cette maladie.
Wikipédia et Carrière
SUR LES MÊMES SUJETS :Mélanie Houé est décédée à l’âge de 36 ans, vendredi 9 février, après un long combat contre la maladie. Alors qu’il couvrait Beyrouth pour Libération, La Libre Belgique, RTL, Médi 1, BFMTV, France 24 et TV5 Monde, le journaliste a été actif de 2013 à 2019.
Selon son confident Thomas Abgrall, qui travaille avec elle depuis le Liban, elle était une travailleuse incroyablement ambitieuse, pleine de vie, passionnée, généreuse et inarrêtable. Elle est retournée au Qatar en 2019 pour travailler sur un site francophone d’Al-Jazeera. Mélanie Houé retrouvera son compagnon à Madrid en 2021 et y restera jusqu’en 2023. C’est cette année-là qu’elle apprend qu’elle est malade. Quelques mois plus tard, cette maladie s’empare de lui.
À l’âge de 36 ans, Mélanie Houé est décédée. Elle était correspondante du journal Libération et avait auparavant travaillé pour RTL, BFMTV et TV5 Monde. La journaliste, qui a eu une longue carrière au Liban, est décédée des suites d’une grave maladie qui la sévissait depuis quelques mois.
Un destin trop court. La journaliste Mélanie Houé est décédée prématurément à l’âge de 36 ans; son décès a été annoncé jeudi 14 février par le quotidien Libération. La jeune femme a travaillé pour le journal comme correspondante à Beyrouth, au Liban, de 2013 à 2019. Toute personne qui l’a connue ou qui a eu l’occasion de travailler avec elle trouve sa disparition déstabilisante.
Profil et Biographie
La mort de la journaliste Mélanie Houé, “engagée, pleine d’empathie, généreuse et irréprochable”
“C’était une fille qui ne s’arrêtait jamais, toujours chargée de projets, passionnée de sa profession, engagée, très empathique, généreuse et aussi irréprochable dans son travail”, confie Thomas Abgrall, un correspondant qui a travaillé avec Mélanie Houé à Beyrouth.
Recrutée par un site francophone lancé par le groupe Al-Jazeera, la trentenaire quitte le Liban pour le Qatar en 2019. Deux ans plus tard, Mélanie Houé s’installe à Madrid pour rejoindre son amie. La journaliste a également collaboré avec d’autres médias européens, notamment TV5 Monde, France 24, BFMTV, RTL ou encore La Libre Belgique. La maladie qui a frappé la journaliste Mélanie Houé lui a coûté la vie à l’âge de 36 ans.
Mélanie Houé poursuit une carrière dans le journalisme après avoir complété une maîtrise en histoire de la construction européenne. Elle intègre ensuite l’ESJ Lille-Montpellier pour suivre une formation en presse écrite et numérique avant de débuter sa carrière de rédactrice chez Yvelines Premières. La jeune femme tombe amoureuse du Liban en 2013 alors qu’elle rend visite à une connaissance et décide d’y rester pour poursuivre son rêve de devenir journaliste.
Mélanie Houé apprend en 2023 qu’elle est atteinte d’une grave maladie qui lui coûtera la vie le 9 février 2024, dans un hôpital parisien. Nos sympathisants écrivent : “La rédaction de Libération partage le chagrin de la famille, des amis et de tous les proches de Mélanie Houé.” Ils ajoutent que les proches de la défunte ne voulaient pas que les détails de sa maladie soient révélés.
De Deuil, le journal Libération. À l’âge de 36 ans, l’ancien correspondant de Beyrouth du quotidien est décédé. La journaliste a rendu son dernier soupir à l’hôpital, succombant à une maladie invalidante. Le magazine Libération a annoncé une nouvelle triste. Selon son ancien employeur, le journal de Beyrouth, la journaliste Mélanie Houé est décédée à l’âge de 36 ans après un long combat contre la maladie. Elle a ainsi rendu son dernier souffle le 9 février, dans un hôpital parisien.
Pour tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’occasion de travailler avec elle, sa disparition est un choc. Les communications entre elle et la rédaction mondiale, que ce soit par téléphone ou par courrier électronique, ont été rapides et fructueuses. Pleine d’énergie et de ressources, Mélanie était à la fois réactive sur l’actualité brûlante et créative pour des reportages longs sur des sujets variés”, a déclaré Libération, avant d’expliquer que de 2013 à 2019, Mélanie Houé était basée à Beyrouth. pour couvrir des sujets touchant le Liban, tant pour la presse écrite qu’audiovisuelle.
Le monde journalistique en deuil suite au décès de Mélanie Houé
“C’était une fille qui ne s’arrêtait jamais, toujours pleine de projets, passionnée par sa passion, engagée, pleine d’empathie, généreuse et aussi irréprochable dans son travail”, a confié son confrère Thomas Abgrall, un ancien correspondant de Libération. Si elle a également travaillé pour la Libre Belgique, RTL, Médi1, BFM TV, France 24 et TV5 Monde, Libération révèle qu’en 2019 elle s’est installée au Qatar « pour travailler sur un site arabe lancé par le groupe Al-Jazeera », avant de a rencontré son partenaire madrilène et a appris plus tard qu’elle était malade.
C’est dans son rôle de journaliste numérique pour le site des Yvelines. Initialement, elle a débuté sa carrière de reporter en 2013 lors d’une visite chez une connaissance, suite à “un coup de coeur” pour le Liban. Un parcours remarquable qu’on ne pourra jamais oublier, tous ses collègues.
La mort de la journaliste Mélanie Houé, le Liban dans son coeur
Créative, fougueuse et “passionnée”, ancienne correspondante de “Libération” à Beyrouth, est décédée à l’âge de 36 ans des suites d’une grave maladie.Mélanie Houé, 36 ans, ancienne correspondante de Libération à Beyrouth, est décédée le Vendredi 9 février, dans un hôpital parisien, après une maladie foudroyante. Pour tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’occasion de travailler avec elle, sa disparition est un choc.
De 2013 à 2019, Mélanie a été basée à Beyrouth, où elle a travaillé pour les médias écrits et audiovisuels, s’imposant ainsi parmi les médias francophones. C’est une journaliste indépendante dans tous les sens du terme. Outre Libération, elle a travaillé avec RTL, Médi1, BFM TV, France 24, TV5 Monde, ainsi qu’avec nos confrères belges de la Libre.
Mélanie avait auparavant fréquenté des écoles de journalisme à Lille et Montpellier avant de terminer un master d’histoire de la construction européenne à Paris IV. Elle débute sa carrière dans le journalisme local en tant que journaliste numérique pour le site Yvelines Première avant de s’aventurer à l’international. En 2013, elle décide de s’installer au Liban comme journaliste après avoir eu une vraie passion pour le pays lors d’une visite à une amie.
“Une fille qui n’arrêtait rien.”
Elle a couvert les différentes crises qui ont frappé le pays tout en abordant les questions sociales et environnementales, pour lesquelles elle avait une affinité particulière, et sa vie était intimement liée au terrain agité libyen. En 2017, elle faisait un reportage pour Libération sur une montagne de commandes accumulées sur la côte de la banlieue nord de Beyrouth en raison de la corruption notoire des dirigeants du pays et sur le sort des réfugiés de Raqqa qui ont fui l’État islamique et ont été accueillis avec hostilité. par les Libanais.
Elle a été décrite par son confrère Thomas Abgrall comme « une fille que rien n’arrêtait », toujours. pleine de projets, passionnée par sa passion, engagée, pleine d’empathie, généreuse et aussi irréprochable dans son travail. Thomas l’avait bien connue à Beyrouth, où il était correspondant de Libération avant qu’elle ne s’y installe.
Mélanie Houé a quitté le Liban pour le Qatar en 2019 pour travailler sur un site francophone lancé par le réseau Al-Jazeera, à la recherche d’une expérience journalistique différente et moins précaire. Elle y reste encore deux ans avant de déménager à Madrid pour être avec son compagnon, jusqu’en 2023 et la découverte de la maladie qui l’emportera quelques mois plus tard.
En solidarité avec les proches de Mélanie Houé, l’équipe de Libération pleure son décès. Mélanie Houé, 35 ans, est décédée des suites d’une maladie foudroyante, et aujourd’hui le monde médiatique lui rend hommage. De nombreuses personnes célèbres nous quittent déjà avant même le début de l’année 2024. Aujourd’hui, nos frères et sœurs Libération rendent hommage à leur cousine Mélanie Houé, décédée prématurément à l’âge de 36 ans.
La jeune femme a travaillé pour le journal comme correspondante à Beyrouth de 2013 à 2019. Tous les défis du pays, mais aussi sociaux et les questions environnementales affectant les villes, seraient couvertes par elle. Elle a abordé dans ses reportages des sujets qui lui tiennent à cœur, comme la crise des poubelles et le divorce. Après un long combat contre la maladie, Mélanie Houé est décédée vendredi 9 février dernier dans un hôpital parisien.