
Nemanja Radulovic Épouse – Pétri des Idéaux de 1789, le rêve parisien de Beethoven. Au tournant du siècle, il recourt à tous les moyens pour attirer l’attention de Napoléon. Ainsi, il offre à l’ami proche du général, Rodolphe Kreutzer, un exemplaire de sa monumentale Sonate pour alto et piano no. 9. Cependant, en tentant une reproduction, quelqu’un a-t-il déjà entendu quelque chose de similaire ? Le gourou de Bonn rejette le virtuose français déconcerté.
Nemanja Radulovi, le fauteur de troubles de l’architecte, n’a pas à s’inquiéter ; son duo de musique de chambre avec Laure Favre-Kahn impressionnera sûrement. Pozdnychev, un personnage créé par Tolstoï, illustre la jalousie et le ressentiment dans le travail en cours en assassinant sa femme après s’être trop familiarisé avec son partenaire de lit. Afin de sauvegarder le magnifique texte, Michel Vuillermoz va s’en prendre à la Comédie-Française.
Félicitations aux derniers gagnants de la musique classique, l’acte sexuel Julie Fuchs et Nemanja Radulovic. Les prestigieux prix du meilleur chanteur et du meilleur instrumentiste ont été remis lundi soir à Aix-en-Provence à une soprano française et un altiste franco-serbe. Lundi soir, au Grand Théâtre de Provence à Aix, à l’occasion de la 21e édition des Victoires de la musique classique, les lauréats Julie Fuchs et Nemanja Radulovic ont accepté leurs trophées avec un sourire aux oreilles et des étoiles dans les yeux.
La soprano française avignonnaise possède une voix vive et agile et une attitude chaleureuse et accueillante. Elle a une présence imposante sur scène et a remporté la deuxième place au concours de chant Operalia 2013. Elle a remporté le prix de la meilleure artiste lyrique devant Sabine Devieilhe, dont le travail dans Lakmé à l’Opéra-Comique était une belle façon de démarrer l’année. Le jeune Normand était le grand favori pour interpréter le rôle-titre de La Flûte enchantée à l’Opéra de Paris en mars.
Un autre résultat inattendu s’est produit dans la catégorie des solistes instrumentaux, où le pianiste préféré Adam Laloum a été battu par l’altiste serbe Nemanja Radulovic. Après Antoine Tamestit et Lise Berthaud, la nomination du jeune altiste Adrien La Marca dans la catégorie révélation soliste instrumentale était très attendue et témoigne encore une fois du renouveau de l’alto, aux sonorités riches et proches de celles de l’alto. Avec son frère aîné, l’altiste Christian-Pierre La Marca, et le pianiste David Kadouch, il a interprété une belle interprétation d’un extrait de Prokofiev de Roméo et Juliette.
Fazil Say est l’une des lumières brillantes de la soirée.
Quand on entend à nouveau le jeune ténor Stanislas de Barbeyrac, on pense à son interprétation d’Alceste à l’Opéra de Paris. Prochainement, il se produira à Marseille dans le rôle d’Arturo dans Lucia di Lammermoor. Henri Dutilleux, compositeur français décédé l’année précédente à l’âge de 97 ans, a vu son dernier album Correspondances recevoir un adieu digne de ce nom avec ces victoires.
L’album Fables of Tuba de l’accordéoniste franco-italien Richard Galliano a remporté le prix de composition. Galliano n’est pas seulement un compositeur et guitariste de jazz talentueux, mais aussi un interprète très apprécié de la musique d’Astor Piazzolla. La remise annuelle des prix de musique Les Victoires de la musique est l’émission la plus regardée de l’année en France, attirant en moyenne 1,91 million de personnes en 2016 (mais seulement 1,33 million hier soir).
Les retransmissions en direct sont visibles sur France 3, France Inter et France Musique en prime time. Louis Laforge, Frédéric Lodéon et le Carrefour de Lodéon de France Inter ont assuré l’orchestration de l’émission. L’événement a débuté avec l’Orchestre national de France, sous la direction du chef d’orchestre américano-estonien Kristjan Järvi, interprétant les chœurs bohèmes et matador de La Traviata de Verdi en l’honneur du 80e anniversaire de l’orchestre.
Le contre-ténor Philippe Jaroussky, les pianistes Alexandre Tharaud et Bertrand Chamayou, ou encore les altistes Gautier et Renaud Capuçon ne sont que quelques-unes des étoiles montantes que le monde a pu découvrir ces 20 dernières années grâce aux Victoires de la musique classique. Parmi les têtes d’affiche de la soirée figuraient la chanteuse Karine Deshayes, le contre-ténor Franco Fagioli et le pianiste turc Fazil Say, condamné l’année dernière à la prison par un tribunal d’Istanbul pour avoir publié des tweets jugés controversés.
Pétri des Idéaux de 1789, le rêve parisien de Beethoven. Au tournant du siècle, il recourt à tous les moyens pour attirer l’attention de Napoléon. Ainsi, il offre à l’ami proche du général, Rodolphe Kreutzer, un exemplaire de sa monumentale Sonate pour alto et piano no. 9. Cependant, le maître de Bonn rejette la tentative du virtuose français de reproduire l’original et demande :
« Quelqu’un a-t-il déjà entendu quelque chose de semblable ?
Même si le duo de musique de chambre Nemanja Radulovi et Laure Favre-Kahn ne manquera pas d’attirer les regards curieux, le musicien n’a pas à s’inquiéter. Pozdnychev, un personnage créé par Tolstoï, illustre la jalousie et le ressentiment dans le travail en cours en assassinant sa femme après s’être trop familiarisé avec son partenaire de lit. Michel Vuillermoz ira à contre-courant des canons de la comédie française pour défendre ce chef-d’œuvre.
Opéras, spectacles de danse, concerts symphoniques et même récitations ont envahi la scène du Théâtre des Champs-Élysées, l’un des plus beaux théâtres de tout Paris. Les architectes Henry Van de Velde et Auguste Perret, les peintres et sculpteurs Antoine Bourdelle et Maurice Denis et le cristalliseur René Lalique ont travaillé ensemble pour créer l’un des derniers théâtres construits par une collaboration d’artistes en 1913.
Plus de 300 000 personnes visitent le Théâtre chaque année. , et des centaines d’autres artistes et travailleurs habitent dans le bâtiment. Trois théâtres — le Théâtre des Champs-Élysées (capacité 1 900 places), la Comédie des Champs-Élysées (capacité 750 places) et le Studio des Champs-Élysées (capacité 250 places) — sont installés dans cet édifice unique en son genre, qui a été entièrement construit en béton armé.
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Au programme, 19 représentations d’opéra, 29 soirées de ballet classique et contemporain, de nombreux concerts d’orchestres prestigieux comme l’Orchestre Philharmonique de Vienne et l’Orchestre Philharmonique de Londres, le cycle des grandes voix avec des artistes comme Natalie Dessay, Rolando Villazon et Philippe Jaroussky, ainsi que des performances d’artistes de renom. des solistes comme Hélène Grimaud, Katia et Marielle Labèque, Grigory Sokolov et Yo-Yo Ma.
La violoniste superstar d’Orange et de Carnac qui s’est produite sur la même scène que Rana Moussaoui
L’altiste de renommée mondiale Nemanja Radulovic affirme que les tempos « extrêmes » qu’il utilise pour interpréter « Les Quatre Saisons » de Vivaldi reflètent les effets du réchauffement climatique. Ce concert a été enregistré à Carnac et sera diffusé sur France 5 vendredi 2 juillet prochain. Il se produira avec les Chorégies d’Orange.
Ce vendredi 2 juillet, à 20 heures, le musicien franco-serbe de 35 ans se produira aux Chorégies d’Orange, non loin d’Avignon, avec l’ensemble Double Sens qu’il a créé il y a 13 ans et qu’on surnomme parfois le ” rock star du violon” pour son look coloré et son style d’interprétation. Le concert, intitulé “Unique”, a été enregistré en une seule prise dans le pittoresque site mégalithique de Carnac, et il le rediffusera ce soir à 20h50.
Nemanja Radulovic : Il s’est investi dans la musique de toutes les manières possibles.
Il ressemble à un musicien d’une cour européenne du XVIIIe siècle avec ses cheveux longs et ondulés et les vêtements qu’il porte. Le violoniste Nemanja Radulovic a passé toute sa vie à perfectionner son art. Mais c’est avant tout un artiste moderne. Bien qu’il soit né en Serbie, il possède la sensibilité et le talent de nombreux artistes d’Europe de l’Est. Il possède un sens musical aiguisé qui lui permet d’identifier les notes hors de leur contexte.
Il ne devrait pas se reposer sur ses lauriers malgré ses premiers succès et ses nombreux honneurs à seulement 23 ans. Ils se produiront avec “les Trilles du diable” à l’église Saint Gervais de Jonzac le 17 janvier. Ne manquez pas cette opportunité unique ! Nemanja Radulovic apporte des réponses
Avez-vous enfin suivi votre cœur et gagné votre vie en tant que musicien ?
C’est une de mes ambitions de toujours, qui remonte à mon enfance. À l’âge de sept ans, j’ai commencé ma formation musicale. Dès que j’ai commencé dans cette voie, j’ai su que c’était la bonne. Après cela, j’ai présenté mon spectacle dans toute l’Europe centrale et orientale, y compris en Serbie. J’apprécie la scène et l’opportunité qu’elle me donne d’interagir avec un public.
Notre famille a toujours accordé une grande valeur à la musique et mes deux sœurs et moi sommes toutes des violoncellistes talentueuses. Mes parents m’ont encouragé à me lancer dans l’alto, et je le fais depuis. Les professeurs du Conservatoire de musique de Belgrade ont remarqué que j’avais une oreille remarquable.
Il faut un talent extraordinaire pour pouvoir identifier une note de musique de manière isolée. Lors d’une randonnée dans les bois, je peux distinguer des notes individuelles dans les chants de divers oiseaux. De nombreuses personnes peuvent faire la même chose, mais elles ne s’en rendent pas compte parce qu’elles ne se considèrent pas comme des musiciens.
Considérez-vous désormais la France comme votre pays d’origine principale ou secondaire ?
Ayant la double nationalité serbe et française, je suis actuellement basé à Paris. Je suis fier et ravi de représenter ma France natale et mon pays d’adoption, le Japon, lorsque je voyage à l’étranger pour jouer au baseball professionnel. Les similitudes entre la France et la Serbie l’emportent sur les différences. L’un d’eux est la musique car elle constitue un langage universel. La musique est un langage universel qui comble les divisions culturelles…
Après avoir entendu parler de vous par Ghislaine Pineau, les Saintongeais vous ont retrouvé jusqu’aux Fontaines d’Ozillac. Un joli souvenir de ma collaboration continue avec la harpiste Marielle Nordmann. Elle est l’épouse de Patrice Fontanarosa. Grâce à vous tous, j’ai pu voyager à travers la France et trouver ma voix créative. En un mot, ils ont été inestimables. Ils comptent beaucoup pour moi.
Dans un futur proche, vous vous rendrez à Jonzac et à La Rochelle. Quel avis avez-vous sur la Charente-Maritime ?
C’est une répartition fantastique, à mon avis. Le climat actuel ralentit les progrès, mais j’apprécie tous les concerts qui s’y déroulent. La culture est importante car elle donne aux gens un moyen d’oublier leurs problèmes pendant un certain temps. Les représentations théâtrales et musicales apportent un soulagement bienvenu aux pressions de la vie quotidienne et aux nouvelles négatives auxquelles nous sommes soumis de manière quasi constante dans les médias.
Alors, dites-moi, quels sont vos projets futurs ?
J’aime être présent dans l’instant présent, partir à l’aventure dans d’autres endroits et voir des spectacles en direct. J’ai joué beaucoup de concerts en 2009, notamment en Asie et aux Etats-Unis. J’accorde une grande valeur à la musique dans ma vie. En mars de l’année dernière, j’ai produit un album des deux concertos pour alto de Mendelssohn. Un autre livre au titre accrocheur “Les Trilles du diable” devrait sortir dans quelques mois.
Le 17, je porterai ceci à Jonzac. Le programme ne propose que de la musique écrite expressément pour l’alto. C’est un voyage musical à travers le temps, commençant au baroque et se terminant aujourd’hui. J’adore les Trilles du diable depuis que je suis toute petite. Le quintette comprend également le fils de Patrice Fontanarosa. En tant qu’amis, nous prenons plaisir à apporter aux gens des moments de bonheur musicaux.
