Olivier Rafowicz Wikipedia – Le 30, date des élections municipales… Le grand rendez-vous approche à grands pas et Olivier Rafowicz se présente comme le favori des élections à Tel-Aviv. Il s’appelle Olim Beyahad et il envisage de montrer la force de l’unité en réunissant tous les olim sous une même bannière.
The Paris Review : Vous êtes depuis longtemps reconnu comme le colonel Alouf Mishné, un représentant de Tsahal, et comme une personne ayant participé aux opérations de défense mondiales pour Israël. Après avoir franchi une étape, cette entrée politique semble être la prochaine étape logique.
Laurent Rafowicz : J’ai servi Israël et le peuple juif dans de nombreux rôles, notamment à Tsahal, à l’étranger et dans des ministères, et j’ai 56 ans. J’ai décidé qu’il était temps de construire un mouvement politique à Tel Aviv en rassemblant un groupe de personnes solides et en mettant mon expérience à profit.
En tant que centre commercial et financier du pays, cette ville attire à juste titre l’attention nationale et mondiale ; il abrite environ un demi-million de personnes. Cela signifie également qu’elle devrait recevoir un afflux important d’immigrants en provenance de plusieurs pays, dont la France.
Au plaisir de vous rencontrer, Lph ! J’espérais que vous pourriez commencer par dresser une liste de toutes les municipalités qui ont des représentants à la Knesset. Les choses doivent être faites dans un ordre précis. Ce n’est pas tout de suite que je suis devenu colonel Alouf Mishné. Dans le même esprit, il est très actif dans la sphère publique.
Je dirige actuellement les efforts visant à renforcer notre réputation en vue d’éventuelles élections au bureau national. Je n’aurai pas de repos tant que je n’aurai pas fait une différence dans la vie des Israéliens, en particulier des olim. Je suis ici juste pour aider les Israélites et le peuple juif ; Dieu m’a envoyé ici.
Sa fondation repose sur le rassemblement d’olim du monde entier. Il réussit, selon moi, à présenter exclusivement des candidats francophones pour que leurs voix soient entendues. L’inverse est vrai. Les forces juives et socialistes au niveau communal ont donné naissance à ma liste, qui n’est pas une liste francophone. Certains parlent français, comme Claude Brightman et Gérard Pomper, en plus du russe et de l’anglais. Il faut à nouveau qu’il y ait une unité entre les différents groupes d’Olim.
Néanmoins, toutes les alyas n’ont-elles pas des exigences uniques ?
Selon l’oratrice O.R., ceux qui croient pouvoir atteindre leur objectif en semant la discorde parmi les gens se trompent complètement. Le terme « ionisme » fait référence à faire avancer « ce qui nous unit » (Théodore Herzl). Lorsqu’il s’agit d’emploi, d’éducation, de logement et de bien-être général, nos inquiétudes ne pourraient être plus similaires. Les Israéliens nés dans cette région se réunissent également à quelques encablures !
Dans le but de créer une liste olim, pourquoi ne pas inclure les composants actuels, Lph ?
E.R. : Tel Aviv et Israël peuvent être vus par les olim sous un jour différent. De nombreuses personnes vivent dans la pauvreté à Tel-Aviv, malgré l’abondance des richesses de la ville. Au milieu de l’agitation suscitée par les énormes installations et la technologie de pointe, les gens semblent avoir oublié le Juif et l’essence de l’humanité. Nous pensons à Tel-Avivim, aux fondations du sionisme, par les olim, qui viennent avec leurs aspirations et une réelle volonté d’agir.
Nous plaidons pour moins de bavardage et plus de camaraderie. Quel soulagement que le vote francophone à Tel Aviv et dans le monde ait été reconnu et apprécié. Je voudrais féliciter les partis politiques modernes. Parfois, leurs candidatures nous remontent le moral, même si nous remettons en question les véritables chances de leurs candidats d’être élus.
Électeurs français à Tel Aviv, sachez que vous essayez de leur donner du pouvoir. Olim Beyahad n’a besoin que d’un ou deux bureaux pour avoir une présence francophone influente à la mairie. Une garantie est un message “lamé”. Olivier Rafowicz est candidat au poste de conseiller municipal de Tel-Aviv.
Olivier Rafowicz a quitté la France à l’âge de dix-neuf ans. Suite à cela, il décide d’étudier la politique et les relations internationales à l’Université de Jérusalem. Après vingt ans de service à Tsahal, il devient colonel de réserve et est connu comme l’un des porte-paroles les plus colorés.
Après un passage en tant que directeur de l’Agence juive et ambassadeur itinérant du Fonds national juif, il se présentera aux prochaines élections municipales de Tel Aviv, le 30 octobre 2018. Servir son pays est là où il souhaite concentrer ses efforts. Olivier exhorte notamment le maire de Tel-Aviv à prêter attention à l’Alyah venant d’Europe, où les Juifs traversent d’immenses souffrances.
En outre, c’est l’occasion de rappeler aux Israélites autochtones l’alliance éternelle qui a été conclue entre le peuple d’Israël et ceux vivant dans la diaspora. Il n’y a pas si longtemps, les startups israéliennes étaient appelées orangers pépinières. Les Olim est une collection qui présente des œuvres d’artistes de toutes les périodes de l’histoire.
Gardez un oeil attentif
Mais nous ne sommes pas transportés dans le temps jusqu’à l’époque où les premiers immigrants sont arrivés dans les Amériques pour fonder notre nation. Pour être à la hauteur de leur nom, Olim doit faire plus que simplement se sentir à l’aise ; cela les oblige à accorder toute leur attention à l’ici et maintenant.
Parmi les nations industrialisées du monde, Israël est celui qui a le moins à envier. Ainsi, connaissant le but de leur arrivée, les Olim doivent également s’y préparer. Il peut être difficile de trier toutes les opportunités sociales, culturelles et économiques disponibles dans une ville aussi dynamique que Tel Aviv.
Afin que l’aide au logement, le soutien aux familles et l’enseignement de l’hébreu soient la priorité absolue du conseil municipal, Olivier parlera au nom d’Olim dans ce dossier. Olivier a su s’entourer de personnes de tous les domaines de la vie qui partagent son souci du bon travail, malgré son charisme et son intelligence.
Une longue liste de noms : Boris Shindler de la communauté russe, Vika Kanar de la jeunesse traditionaliste américaine, Liami Lawrence du groupe de soutien Olim, Claude Brightman du campus du Collège académique francophone de Netanya, Edgar Cohen du centre médical Neve Tsedek, Jacques Amoyal du monde entrepreneurial, Sandie Benhamou du monde des affaires, et bien d’autres encore.
Olivier Rafowicz est chef des opérations médiatiques internationales et colonel de réserve dans les Forces de défense israéliennes. Depuis le commandement du nord d’Israël, Rafowicz (de nationalité française) a supervisé toutes les opérations liées à la porte-parole des Forces de défense israéliennes.
Il a frôlé la mort en 1999 alors qu’il circulait dans un convoi lorsque le Hezbollah a posé deux bombes sur le bord des routes. Lui et un journaliste israélien ont tous deux été tués dans les explosions. Rafowicz a reçu le commandement du bureau international après avoir été promu lieutenant-colonel.
Dans le cadre de l’opération Bouclier défensif, il était chargé de coordonner la couverture mondiale du siège terroriste islamique de l’église de la Nativité à Bethléem. Jusqu’à récemment, il a supervisé la couverture du conflit entre Israël et le Hezbollah au Liban par tous les médias internationaux. La grande majorité des principaux organes de presse du monde ont été ses interviewés. Les efforts d’immigration de l’Agence juive française ont été supervisés par Rafowicz.
Par Abdelkader S. est ici parmi nous. Grâce aux efforts de récupération des médias alternatifs, on sait désormais pourquoi le porte-parole militaire israélien est si régulier sur les chaînes françaises. Avant la fin de son mariage avec le directeur d’Infolive TV, le lieutenant-colonel Olivier Rafowicz, Roxane Rouas a créé Studio Fact Media Group, une agence de communication qui a levé 35 millions d’euros pour créer et produire des divertissements, des documentaires et des séries pour la télévision française.
Les frères Rafowicz seraient impliqués dans le mouvement de Libération, selon ces sources anonymes, malgré les contraintes françaises. Animatrice et productrice de nombreuses émissions, Roxane Rouas est la directrice de la centrale mondiale du divertissement FreemantleMedia. Ses crédits incluent « Questions pour un champion », « Le juste prix », « Nouvelle Star » et « La France un incroyable talent », entre autres.
Après que la résistance palestinienne a attaqué les positions israéliennes derrière les lignes ennemies, les médias français ont commencé à tenter de justifier les crimes commis par l’armée israélienne contre les populations civiles de Gaza.
Conformément à leurs « analyses », les « experts » qui remplissent les ondes des chaînes d’« information » continues – journalistes, analystes, etc. – ont obtenu un score unanime. Veuillez conserver un ton harmonieux. Juste un côté de l’argument. Tous ces réseaux diffusent les mêmes termes dictés par Israël, et les journalistes métamorphosés en perros répétent ces termes.
Depuis, ces armes automatisées contradictoires se concentrent sur le degré de précision de leurs tirs, soit « capables de détruire un édifice situé entre deux autres, sans toucher les édifices mitoyens », comme disent les Israéliens.
Les “Cesse victimes collatérales” sont un gros problème car il y a eu jusqu’à présent 18 000 décès confirmés. Malheureusement, les soldats israéliens ne parviennent pas à comprendre que le massacre insensé de civils innocents, notamment de femmes, d’enfants et d’anciens combattants, est un élément inévitable et justifiable de toute campagne militaire légitime.
Tentant d’inciter d’autres pays européens à montrer un soutien moins fervent à Israël et à aggraver la haine française envers les Palestiniens dès le début des bombardements israéliens, les médias français, dont le rôle est de maintenir l’opinion publique française dans un état perpétuel d’anesthésie mentale, ont affirmé que les “terroristes” du Hamas détenaient entre autres les corps de touristes allemands et français.
Les otages palestiniens pris par les forces israéliennes sont appelés « otages » dans ce contexte. Mais dans un acte de ségrégation linguistique, les mêmes médias qualifient exclusivement les milliers de Palestiniens détenus dans les chambres à gaz israéliennes de « prisonniers ».