Pablo Pillaud-Vivien Wikipedia – Avec le magazine Vu, c’est un mensuel créé en 1932 sous l’égide du Secours ouvrier international basé à Berlin qui fait la part belle au reportage photographique et lance ainsi le photojournalisme dans la France d’avant-guerre. Sa sortie a été retardée deux fois en raison de problèmes d’argent : une fois pendant la Seconde Guerre mondiale, et une autre fois en 1960.
Henri Malberg a supervisé la renaissance en 1995 du Parti communiste français (PCF). Roger Martelli, historien, et Catherine Tricot, designer, ont réalisé en 2000 un relooking plus fidèle au plan initial. Regards, association fondée en 2003, fonctionne depuis 2005 sous la forme d’une Scop (société coopérative et participative).
Elsa Faucillon, députée du Parti communiste français, et Clémentine Autain, députée de l’Ensemble ! / La France insoumise, co-dirigeront la publication de 2017 à 2021. Leur place est désormais assurée par l’historien Roger Martelli. Le rédacteur en chef Pierre Jacquemain a servi de 2016 à 2022. L’ancien directeur éditorial Pablo Pillaud-Vivien lui succèdera.
Après avoir fusionné avec Miroir Sprint en janvier 1945, le journal déménage ses bureaux au 25 rue d’Aboukir à Paris. Depuis sa création en 1946, elle partage des bureaux au 18 route d’Enghien, 5 rue Lamartine et 6 boulevard Poissonnière avec L’Humanité, Libération et Ce soir. Photographes amateurs de la classe ouvrière (APO) est une organisation mondiale créée par le politicien communiste allemand Willi Münzenberg, et le magazine lance un appel à l’action à ses membres.
Le magazine réimprime également des caricatures de l’ère communiste de l’ Arbeiter Illustrierte Zeitung et d’autres périodiques similaires. Regards sur l’environnement du travail , un magazine mensuel, a fait ses débuts en janvier 1932 avec des images et des illustrations illustrant l’environnement de travail.
La publication du magazine, qui semble être réalisée par l’International Workers’ Aid Society (SOS), une organisation basée à Berlin, s’arrêtera après 25 numéros en raison de l’avènement du nazisme.Lorsque le critique de cinéma et théoricien Léon Moussinac prend la relève rédacteur en chef en septembre 1933, le journal a raccourci son titre en juste Regards et est passé à un calendrier de publication hebdomadaire.
Il est en vente tous les jeudis pour un dollar. Édouard Pignon, l’artiste, est chargé de la mise en page. Dans les années 1930, de nombreux photographes et photojournalistes bien connus, tels que Gerda Taro, Henri Cartier-Bresson et Robert Capa, étaient actifs. Dans un article de 1935, le journal révèle une tromperie généralisée au sein du secteur alimentaire.
Comme il est absurde que nous soyons limités malgré notre abondance et appauvris malgré nos excès dans le cadre du système existant. Quand une culture a besoin de s’appuyer sur des illusions comme la magie et la fumée et les miroirs, la tromperie et la suggestion pour continuer, c’est là que vous savez que c’est sur la diapositive. La publication du magazine reprend le lendemain de la Libération, se poursuivant sur une base hebdomadaire jusqu’à la début des années 1950.
En 1952, il est devenu célèbre grâce à une série d’articles prémonitoires écrits par Pierre Courtade (“Que se passe-t-il en Afrique du Nord?”). Plus de 6 000 personnes ont défilé en silence pour Nahel ce jeudi après-midi à Nanterre pour protester contre les brutalités policières. Celui-ci s’est terminé par des violences entre le système de justice pénale et les forces de l’ordre. Les événements ne cessent de se produire. Le jeudi 29 juin 2023, Olivier Truchot et Alain Marschall de BFM Story de BFMTV ont animé une discussion entre le rédacteur en chef de BFMTV Alain Duhamel.
La tension est montée avec Pablo Pillaud-Vivien, et leur conversation s’est transformée en dispute. Le soir du 4 juillet 2023, BFMTV diffusera une émission spéciale intitulée « Emeutes : la fracture ». Aurélie Casse et Maxime Switek ont demandé à leurs invités de réagir au plan d’Emmanuel Macron de “coup d’Etat” sur les réseaux sociaux en cas de nouveaux actes de violence urbaine.
Un maire a publiquement accusé les réseaux d’information d’émeutes. Aurélie Casse et Maxime Switek de BFMTV gagnent gros. Concernant la question de l’ordre public, nous disons : “On parle de la question de l’ordre public…”
Natacha Polony a pensé que ce n’était pas du tout une mauvaise idée. Personne ne plaide actuellement pour la fin de la liberté d’expression ou une attaque contre le droit à l’information. Personne n’en parle jamais ! La question de l’ordre public est débattue dans une enceinte malheureusement privée, déléguée aux Gafam, mais qui désormais “tourne autour de la modernité de l’espace public”, comme elle le dit.
Après les émeutes de Marseille, un journaliste de BFMTV a été interpellé sur les lieux et lui a dit : “Tu dis n’importe quoi”. Alors, Benjamin Duhamel a coupé : “Tu vas tamponner tout un quartier, n’est-ce pas ?” L’ancien reporter de Laurent Ruquier dans On n’est pas couché sur France 2 lui a dit : “Bah quand tu fais une cove-feu, tu pénalises tout un quartier !. Là-bas, tout semble concevable et la justice peut être rendue de n’importe quelle manière.
La tension est montée avec Pablo Pillaud-Vivien, et leur conversation s’est transformée en dispute. Le soir du 4 juillet 2023, BFMTV diffusera une émission spéciale intitulée « Emeutes : la fracture ». Aurélie Casse et Maxime Switek ont demandé à leurs invités de réagir au plan d’Emmanuel Macron de “coup d’Etat” sur les réseaux sociaux en cas de nouveaux actes de violence urbaine. Concernant la question de l’ordre public, on dit : “On parle de la question de l’ ordre public…”
Natacha Polony a pensé que ce n’était pas du tout une mauvaise idée. Personne ne plaide actuellement pour la fin de la liberté d’expression ou une attaque contre le droit à l’information. Personne n’en parle jamais ! La question de l’ordre public est débattue dans une enceinte malheureusement privée, déléguée aux Gafam, mais qui désormais « s’articule autour de la modernité de l’espace public », comme elle le dit. , vous pénalisez tout un quartier ?”
L’ancien reporter de Laurent Ruquier dans On n’est pas couché sur France 2 lui a dit : “Bah quand tu fais une cove-feu, tu pénalises tout un quartier ! L’animateur de l’émission nocturne 22h Max de BFMTV, orchestrée par Maxime Switek, s’est exclamé sous le choc : “Là, on dirait que tout est permis et notre justice serait vigilante à toutes les règles de sécurité intérieure.”
Mais non, la justice est aussi là pour vous rappeler ce qui est juste. Elle est guidée par des principes fondamentaux qui motivent sa ligne de conduite actuelle. Tout en réprimandant son interlocuteur pour avoir décrié le système judiciaire, il a ajouté : “Sur les données personnelles et la coupure d’internet, elle ne sera pas forcément d’accord…” Natacha Polony n’est pas d’accord avec cette remarque…
Je pense que c’est un gros problème !
Avant que Pablo Pillaud-Vivien ne l’incite à le dire devant le tribunal administratif qui a rétabli un mandat d’arrêt contre Robert Ménard, elle a rétorqué : « qui rend cette décision est truffé d’escrocs et d’imbéciles. “C’est ça!” s’exclama-t-elle, peut-être un peu nerveusement.
C’est pourquoi le reporter de Maxime Switek s’est moqué : “Et bah, je trouve ça extrêmement problématique !” TRIBUNE. Hugo Partouche et Pablo Pillaud-Vivien écrivent dans une tribune signée par une vingtaine de personnalités différentes : « Affirmer, comme Caroline Cayeux l’a fait, qu’une sexualité est contre-nature, contient de facto le désir de voir disparaître ceux qui s’y donnent. .”
Alain Marschall a quatre invités chaque soir, chacun avec une perspective unique. Ils n’ont que 90 secondes pour avoir un impact. Pour résumer : des timbres Fric, pas des timbres Flic. Vaccins? Les Français sont trop prudents. Mettez fin à votre bigoterie anti-musulmane.
Cage : ça va te secouer ! Entretien avec le directeur éditorial de Regards, Pablo Pillaud-Vivien. Médecin généraliste et porte-parole du Collectif d’entraide C19, Dr Ludovic Toro. Rose Ameziane, leader du Mouvement de Libération Territoriale. Et la rédactrice politique Julie Graziani.