Qui Sont Les Parents De Mila – Le scandale qui a secoué la famille de Mila revient désormais hanter son père. Dès le début de la polémique, il détaille le quotidien des détenus. Il est déterminé à faire la lumière sur le scandale qui a changé non seulement la vie de sa fille mais celle de toute sa famille.
Ce vendredi matin, BFMTV a accueilli le père de Mila. Une occasion de s’exprimer sur la tempête médiatique qui a frappé la jeune fille et sa famille. “Aujourd’hui, c’est une cible”, a-t-il déclaré, évitant l’expression “très peur” lorsqu’on l’interroge sur sa fille. “On ne lâchera jamais.” Par ailleurs, l’homme a précisé qu’il n’avait pas immédiatement saisi la gravité de la situation en janvier 2020, lorsque sa fille avait publié une vidéo critiquant l’islam :
“Le danger est toujours là”
“Vous découvrez un monde que vous ne connaissez pas”, décrit depuis plus d’un an le père de famille, l’entrée du quotidien. Alors notre monde et nos vies s’effondrent. le suivant : Pendant des mois, dans une petite ville, vous aviez des gendarmes qui montaient la garde devant votre domicile avec des mitraillettes. Votre fille ne peut plus aller à l’école. Vous ne pouvez rien prédire maintenant, et vous ne pouvez même pas vous projeter.
Tout en reconnaissant que “le danger est toujours là”, le père de la jeune fille a poursuivi en expliquant que “les menaces contre Mila se sont drastiquement réduites” suite au procès et à la condamnation des cyberharceleurs de l’adolescente.
Voilà, dix condamnés
Cyril Hanouna, qui était “vexé que Mila ne soit pasvenue dans leur programme”, a été pointé du doigt par lui comme quelqu’un qui “se sont essuyés les pieds sur elle de manière odieuse” lors de son intervention. Concernant l’avenir de sa fille, l’homme évoque, selon ses propres mots, l’idée de partir à l’étranger comme « une solution », ce qu’il appelle « un aveu d’échec ».
Rappelons que dix personnes ont été reconnues coupables dans cette affaire et condamnées à quatre à six mois de prison avec sursis pour leur rôle dans la cyberrécolte de Mila. La jeune fille avait été la cible de milliers de lettres de haine et de menaces de mort après avoir vu une vidéo controversée sur l’islam.
Même s’il ne parlait pas, le père de Mila était tout aussi expressif à chaque prédiction. Il n’a pas adhéré à leurs arguments ; on le voyait trembler sur son lit. Lors de sa première apparition publique depuis le début de l’affaire il y a douze mois, la mère de Mila a ensuite été interrogée pendant plus de deux heures. Il raconte que Mila vit maintenant dans une grotte, dans un monde différent. Malheureusement, sa mère ne voit pas d’avenir pour sa fille sous la protection permanente de la police.
Mila a également fait partie de
Les avocats de la défense ont demandé à plusieurs reprises à la mère de Mila ce qu’elle pensait des messages de sa fille, et elle a répété à plusieurs reprises qu’ils montraient une personne en train d’être battue. Selon elle, interférer avec l’activité de Mila sur les réseaux sociaux équivaudrait à interférer avec une femme menacée de violence pour être sortie dans la rue.
Qu’elle le coupe ou non des réseaux sociaux, rien ne change, et le torrent de menaces de mort et d’insultes ne s’est jamais arrêté depuis janvier 2020. Elle rappelle que c’est sa fille qui est victime, et non l’inverse, elle l’ assurer.
“On m’interdit d’être scolarisée, je ne peux plus travailler, je n’ai pas d’avenir” De plus, Mila a passé plus de deux heures et demie à la barre ; elle est clairement épuisée. Mardi, elle avait l’impression qu’elle serait « morte intellectuellement » si elle n’avait pas accès aux réseaux sociaux.
Lors de son audition, elle crépite pour tenter d’échapper à ses nerfs, mais elle finit par s’étouffer avec sa salive. Après avoir critiqué l’islam à plusieurs reprises dans des vidéos. Elle dit qu’elle n’apprécie aucune religion et ne déteste pas les gens qui la pratiquent, sa position sur la religion est donc plutôt claire. Deux ans de prison et 30 000 euros de dommages et intérêts sont réservés aux accusés.
Ceux qui ont menacé de tuer et de harceler Mila en ligne passeront leur journée devant le tribunal mardi prochain. Le cyberharcèlement, qui se produit de manière anonyme sur les réseaux sociaux, n’a encore que très rarement réussi à atteindre les tribunaux, comme l’a répété à plusieurs reprises le président du tribunal.
Résultat, le magistrat est convaincu, et il y aura un « procès Mila » avant et après les jugements pour ces treize prévenus. Les accusés risquent deux ans de prison et 30 000 euros de dommages et intérêts pour harcèlement en ligne, trois ans de prison et 45 000 euros de dommages et intérêts pour menaces de mort.
“Nous n’attendons rien, nous allons rompre…” ont déclaré les parents de Mila.
Ses proches se déçènt de ses transformations. Les menaces contre la vie de Mila et de ses parents persistent un an après les déclarations sur son islam. Connaître « des hauts et des bas », c’est ce que la famille avoue en déposant plainte et en sollicitant protection.
Lundi, lors du procès des sorcières responsables des virulentes attaques en ligne contre l’islam de la jeune femme, ses parents ont fait entendre leur voix dans la salle d’audience. Depuis lundi, trois individus sont jugés à Paris pour le meurtre de Mila, une jeune femme qui avait critiqué l’islam dans deux vidéos datées du 28 janvier et du 14 novembre 2020, et qui avait parfois été menacée de mort. Lundi, huit personnes ont été entendues avant les cinq autres. En présence des parents de Mila, nous avons eu environ 14 heures de débat lors de cette première journée d’audience.
Cela fait plus d’un an que la vie de Mila s’est effondrée. Cette adolescente lyonnaise prononçait un live sur Instagram le 18 janvier 2020. Elle a été la cible de milliers de menaces de mort quelques heures seulement après avoir tenu ses propos critiques à l’égard de l’islam. Elle fait une forme de bilan un an après les faits, accompagnée de ses parents. Les attaques et menaces étaient au rythme de toute la famille.
Les parents de la future jeune femme de 18 ans affirment avoir eu “une désillusion cinglante” un an après le début de “l’affaire Mila”. Leur fille craint encore aujourd’hui de “risquer de mourir égorgée, chaque jour, dans le monde réel”. De même, sa mère, Lasse, est bouleversée de « devoir encore aller porter plainte » suite à de nouvelles menaces de mort reçues sur Twitter ces derniers jours.
Cette mère battue précise : « Nour home est protégée nuit et jour », décrivant comment « l’affaire » a pris au piège sa famille et continue de dicter son quotidien. « Déclarer combien la haine est propagée par la manière dont notre fille est salie nous ablige », ajoute le pair.
Menaces de violence et de mort contre Malte
Qu’il s’agisse d’islam, de réseaux sociaux ou de société en général, Mila ne perd jamais son ton : “Moi, j’appelle les lyncheurs des réseaux sociaux des frustrés et des suicidaires”, a-t-elle lancé. Elle pense que « les gens qui sont vraiment heureux ne cherchent pas à créer des problèmes aux autres », et elle doit souvent déménager son lycée.
Ses vilaines avances envers sa grand-mère la suivent même lorsqu’elle est en vacances. Cet été, alors qu’elle effectuait un échange linguistique à Malte, elle a été “victime de menaces de mort et de viol”, comme l’a fait savoir la procureure de la République de Vienne Audrey Quey.
Ce vendredi matin, BFMTV a accueilli le père de Mila. Il a décrit son état mental et son attitude avant l’incident qui a perturbé la tranquillité d’esprit de sa famille. “On ne lâchera rien”. Vendredi matin, notre animateur Bruce Toussaint a rompu la promesse du père de Mila, qui avait menacé sa vie lors d’un live sur les réseaux sociaux après que sa fille ait été agressée sexuellement alors qu’elle avait 16 ans.
Et le procès qui s’est ouvert le 7 juillet devant le tribunal correctionnel de Paris de dix prévenus reconnus coupables de cyberharcèlement et condamnés à quatre à six mois de prison avec sursis ne s’est pas ouvert le 10 janvier 2020. C’est à cette date que est rentré chez lui le père de famille, dont nous avons caché l’identité à la sphère publique pour des raisons de confidentialité et de sécurité.
“Je me suis complètement trompé”
C’était horrible que son numéro ait été falsifié sur les réseaux sociaux. Ce qui s’est passé lui a été expliqué, a-t-il poursuivi. Oh, bien sûr, je peux être drôle parfois, mais ça… Eh bien, j’ai dit que ce n’était pas gentil de dire ça, mais j’ai cru que ça allait exploser dans les heures à venir. Non, non, c’était tellement violent que ma femme, qui comprenait mieux que moi, s’est immédiatement rendue à la gendarmerie pour porter plainte, car il y avait des gens qui la connaissaient physiquement.
