Roland Perez Compagnon

Répandez l'amour du partage
Roland Perez Compagnon
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Roland Perez Compagnon – Une célébration en l’honneur de Roland Perez était prévue jeudi soir à Paris. A l’occasion de la sortie de son nouveau livre, l’avocat et journaliste avait invité le monde entier à une fête. Sophie Davant et William Leymergie, le duo, débuteront.

Roland Perez revient dans le monde de l’édition avec Ma mère, Dieu et Litzie (éditions Les Escales), suite au succès de son roman Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan. Dans celui-ci, l’avocat et correspondant juridique d’Europe 1 depuis plus de 20 ans raconte l’incroyable histoire d’amour qu’il a eu avec sa femme, qui était aussi la mère de ses enfants.

Son amour de toujours, qu’il a profondément adoré jusqu’à sa mort, est venu il y a 17 ans. Litzie a malheureusement succombé à un mal de tête. Roland Perez s’est retrouvé vieux à 44 ans, avec trois jeunes enfants à son charge.

Pour célébrer la sortie de ce roman émouvant, l’auteur a organisé une soirée au Buddha-Bar à Paris, en présence de nombreuses personnalités. En effet, comme le montre notre diaporama, ce sont principalement de nombreux visages célèbres de la télévision qui ont fait le déplacement pour célébrer Roland Perez.

Parmi eux, Caroline Ithurbide, présente avec sa fille Ambre, âgée de onze ans, née de son premier mariage avec Boris Ehrgott, ainsi que Nathalie Levy, Sophie Favier, Daniela Lumbroso, Laurie Cholewa et son mari Greg Levy, Bernard Montiel et Brigitte Milhau. Sylvie Vartan, la célèbre actrice devenue proche de Roland Perez, son avocat et confident, était également présente.

Dans un livre envoûtant et touchant, l’avocat parisien raconte sa vie hilarante.

C’est une histoire qui a peut-être mal fini. Mais rien ne pouvait l’arrêter, jusqu’à ce qu’Esther, la mère de Roland Perez, soit impliquée. Au moment de sa naissance, la sixième enfant de la sororité a dû faire face à un phénomène courant à l’époque : un pied bot qui l’empêchait de se tenir droit. Sans que personne ne le laisse défiler, le jeune garçon défie tous les cabinets médicaux parisiens, où il retrouve des charlatans et des médecins non qualifiés.

Cependant, Esther est prête à tout faire pour Roland car il est la prunelle de ses yeux. Afin d’éviter de rencontrer l’assistante sociale, Mme. Fleury, quitte à inventer les histoires les plus ridicules.Jusqu’au jour où elle rencontre l’ex-épouse d’un pseudo-docteur, véritable marabout, qui impose une discipline féroce à Roland, un garçon de 7 ans, qui survivra pendant dix-huit mois en séquestré dans son lit.

La seule et unique façon de passer le temps cette année et demie est d’écouter tous les EP de Sylvie Vartan, car elle chante avec une telle insouciance que c’est comme si sa vie ne tenait qu’à un fil. On peut le voir dans son attitude, l’entendre dans ses paroles. Même Roland apprendra à lire et à écrire grâce aux textes de Sylvie.

Elle est une compagne constante, une source de réconfort et une confidente que personne n’oserait laisser derrière elle. Roland va ensuite marcher. Roland envisage de travailler comme journaliste juridique et journaliste pour plusieurs médias, dont Europe 1. Il trouvera sans aucun doute le chemin qui l’aidera à surmonter cet obstacle.

Mais si Perez remporte le jackpot, il lui sera impossible de raconter sa vie à l’ex-femme de Johnny après qu’il l’a quittée pour s’occuper de ses affaires. L’erreur a été d’oublier Esther, la belle mère juive pleine de foi et de dévotion. “Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan” se lit comme un conte de fée tout droit sorti des extravagantes années 60.

Il y aura des événements tragiques en cours de route, mais il y aura aussi beaucoup d’espoir et, finalement, une fin heureuse. Tout en rendant tendrement hommage aux autres femmes de sa vie, Perez dresse un magnifique portrait de sa mère. Avec l’amour et surtout sans pitié.

Avec l’aide de Roland Perez ou Sophie Peters, Helena Morna apporte conseils et réponses aux lecteurs de ce nouveau magazine de services sur des sujets allant de leur vie professionnelle à leur vie personnelle et familiale. D’où l’on peut obtenir des réponses pratiques et concrètes à toutes les questions.

C’est Olivier Delacroix qui ouvre l’antenne de la Libre tous les soirs. Il s’agit d’une conversation fluide, sans tabous ni jugements, ainsi que des réponses aux questions que les membres de l’auditoire peuvent se poser. Un moment de partage et d’échange propice à la confiance afin de répartir le cœur plus léger.

Pour Caroline Margeridon, la soirée a été la plus tranquille. Alors qu’elle s’apprêtait à embrasser un homme – et ce n’était pas son compagnon Pascal – lors de la soirée de lancement du nouveau livre de son ami Roland Perez, la célèbre brocante a été immortalisée.

Roland Perez était l’invité d’honneur du mercredi 8 novembre, tout au long de la soirée. Au Buddha-Bar de Paris, l’avocat, écrivain et journaliste s’est réuni entre amis et en famille pour célébrer la sortie de son nouveau livre, Ma mère, Dieu et Litzie (éditions Les Escales). Il s’agit d’un mémoire détaillant son incroyable histoire d’amour avec sa femme et la mère de ses enfants, tragiquement décédée il y a neuf ans des suites d’une maladie mortelle.

Des personnalités, comme Caroline Margeridon, se sont précipitées vers lui pour lui présenter leurs félicitations. Bien sûr, cette dernière a volé la vedette aux photographes présents, comme à son habitude. Particulièrement proche d’un homme, la star d'”Affaire conclue” (France 2), qui a renoué avec sa grande copine Sophie Davant et son compagnon William Leymergie. Un certain Thierry Chapon, qu’elle n’a pas hésité à embrasser (consultez notre diaporama) !

Mais ce dernier, qui semble n’être qu’un bon ami, n’a pas de relation amoureuse avec Caroline Margeridon. La brocanteuse, quant à elle, est heureuse en couple depuis cinq ans, mais avec ce Pascal en particulier. Mais elle ne se montre jamais à ses côtés si elle veut se faire discrète. Une occasion singulière, c’était pour le mariage de Claude Lelouch, qui a eu lieu en juin. Ici et là, Pascal ne bougeait plus de sa beauté féminine !

Roland Perez Compagnon

Alors qu’il n’aurait jamais dû le faire, l’avocat du spectacle et animateur de radio et télévision a franchi cette étape de sa vie avec l’aide de sa maman et finalement… Bonjour, je m’appelle Sylvie Vartan. “Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan” vient de paraître par cette avocate des droits de l’information, qui a travaillé avec Sophie Davant sur “C’est au programme” sur France 2 et que l’on voit désormais sur C8 et tous les samedis sur Europe 1. Entretien avec plus d’une dizaine de titres de chansons de l’artiste glissés dans les questions était incongru pour la passion sans limite de Sylvie Vartan. Une rencontre musicale.

FIGARO LEI. – Pouvez-vous nous demander votre identité ?

Je dois remercier ma famille pour m’avoir aidé à surmonter mon handicap congénital, contre lequel ma mère s’est battue, et pour la positivité qui a été ma source de force face à des défis que d’autres peuvent trouver déstabilisants.

« Rythme du Cœur » an inspiré ce récit très personnel… Quelle partie a été la plus difficile à raconter ?

Quand mon coeur s’affaiblit, c’est parce que j’ai dû raconter la disparition de personnes précieuses comme moi femme et mes parents. Et bien sûr, en faisant référence au chapitre de mon enfance. Quand j’ai quitté l’appartement où je suis né à quatre heures du matin. Je me souviens des voisins qui suivaient le camion de déménagement comme un cortège funèbre. J’ai enduit chaque mur de cet appartement comme s’il s’agissait de vraies personnes. Et j’étais l’un d’entre eux !

Si vous deviez organiser un brunch lors d’un futur “Jour d’hiver”, Envisagez quels amis vous inviteriez et pourquoi ? A table, il y aurait mon “petit frère” Nikos Aliagas pour immortaliser le repas en photos, bien sûr Sylvie Vartan en robe, Sophie Davant parce que son enthousiasme a permis à ce roman d’exister, Faustine Bollaert pour son humour, Isabelle Mergault pour elle une vitalité contagieuse, et Marion Ruggieri pour son esprit ! Il est presque certain que les femmes aiment celles qui ont peuplé mon enfance. Une question d’amour se pose tout au long de votre histoire. Cependant, quel autre verbe pouviez-vous remplacer “Aimer” s’il devait disparaître ?

Sans aucun doute, le verbe légitimer.

Qu’est-ce qui vous garantit « 2 minutes et 35 secondes de bonheur » ou « Irrésistiblement » ? Croyez-moi quand je dis que ce n’étaient pas que des coqs. Le deuxième mémoire approfondi sur la disparition de sa femme par l’avocat et journaliste Roland Perez est de retour. Entre la charrue et le foin.

Elle lui a rien annoncé. Selon Roland Perez, « on ne parlait jamais de la mort », c’est pourquoi leurs adieux n’ont jamais été évoqués. À l’hôpital, Litzie a refusé les visites de nos enfants parce qu’elle ne voulait pas qu’ils la voient malade. Elle voulait qu’ils se souviennent d’elle comme d’une mère soleil radieuse qui éclairait partout où elle allait.

Le grand amour de Roland Perez, Litzie, était une défenseure comme lui. Mais cette histoire en méritait beaucoup. Le fait qu’elle ait pris fin brutalement et tragiquement est dû à l’existence. Cependant, elle est toujours là avec nous maintenant. “Dans la culture juive, nous vivons quotidiennement avec nos disparus.”

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