Samira Compagne De Jonathan Dassin – Le fils de Joe Dassin, le chanteur Jonathan Dassin, a eu l’honneur d’une page dans Gala le 29 juillet 2021. Le père d’une famille récemment orpheline a évoqué le fardeau émotionnel de la parentalité. Une fin si remarquable. Jonathan Dassin a accepté une interview exclusive avec nos frères Gala pour leur prochain numéro, qui paraîtra le jeudi 29 juillet 2021, soit un an jour pour jour après la disparition de son père Joe Dassin.
Le chanteur Jonathan Dassin a évoqué le bilan émotionnel de la mort de ses parents. Son père est décédé d’une crise cardiaque à l’âge de 41 ans le 20 août 1980 et sa mère est décédée d’une crise d’asthme le 5 décembre 1995. Le musicien et son jeune frère Julien ont tous deux été profondément marqués par deux drames. Jonathan Dassin, en colère contre le monde, a fondé très tôt une famille et est déterminé à vivre assez longtemps pour voir ses enfants jusqu’à l’âge adulte.
En effet, Jonathan Dassin informe son ami proche et manager Gala que lui et sa famille n’ont qu’un seul objectif en tête : “Vivre le plus longtemps possible !” (Vivre le plus longtemps possible le plus longtemps possible). Il a cependant pu avoir des enfants malgré le décès de ses parents : « a ne m’a pas ramené à moi propre histoire… » En revanche, « je veux vivre le plus longtemps possible pour mes enfants », dit-il. Un héritage familial enfoui profondément dans le passé de Jonathan Dassin, mais qu’il espère garder vivant dans l’esprit de ses enfants : “Ils savent, c’est quelqu’un d’important pour eux, mais on ne fait pas la messe autour du grand-père!”
Il fait construire la maison des Feucherolles où grandissent ses enfants. Tout lui revenait. Les gens regardaient des documentaires et des émissions spéciales centrées sur lui et sa famille, ainsi que des films amateurs et des albums photos, se souvient-il. Lorsque la fanfare a repris sur les Champs-Élysées lors du défilé militaire, le chanteur a déclaré : “J’ai été très touché”. C’était le 14 juillet 2021. Tout comme l’Arc de Triomphe, cette chanson traversera le temps. J’étais assez fier de mon père ce jour-là.
En mémoire de son défunt père, Joe Dassin, Jonathan, qui attend son deuxième enfant avec sa compagne, donnera à son enfant un prénom commençant par l’initiale J. L’écrivain, compositeur et chanteur de 36 ans a parlé de son bébé à naître en disant : “C’est très important pour moi de respecter la tradition familiale, mais il ne s’appellera ni Joe ne Joseph, comme son grand -père, ni Jules comme son arrière-grand-père.” J’attends un bébé pour octobre ! Il a déclaré à France Dimanche que sa femme Samira attend leur premier enfant, un fils prénommé Jana.
Jana a 5 ans en ce moment. Joe Dassin, son père, aurait été ravi de la naissance de son fils. Il y a quelques minutes, il annonçait sur la plateforme TV JT de Grand Lille : “Sur un projet, logiquement pour les fêtes de fin d’année, il y aura un album accompagné des Chœurs de l’Armée Rouge.” Un spectacle hommage à leur défunt père sera bientôt présenté au public russe, que lui et son jeune frère Julien Dassin co-animeront.
Étant donné que Jonathan n’avait que 23 mois lorsque son père est décédé le 20 août 1980, il a raté une grande partie de la vie de son père en tant que trompettiste du groupe Nassara. Le musicien a sorti un album pas plus tard qu’en novembre 2013 et il prévoit en sortir un autre d’ici le printemps 2016.
Le 5 septembre, Ma Voisine et l’interprète du Désert monteront sur la scène de l’Olympia. Olivier Villa, le fils de Patrick Sébastien, fête son anniversaire et lui, ainsi que Michèle Torr et Fabienne Thibeault, sont des invités. Olivier se produit depuis quinze ans. Il a déclaré à France Dimanche : “Olivier m’a demandé de jouer une de mes chansons lors de son spectacle. Je suis ravi car nos philosophies de travail s’alignent si bien.
Le magazine France Dimanche s’entretient en profondeur avec Jonathan Dassin dans son numéro de cette semaine, en vente aujourd’hui. La célèbre voix et la beauté de son père lui ont été transmises. Le moment est venu pour lui de se mettre à chanter. Voyages d’un jeune qui n’a pas encore été gravement abîmé par l’expérience. Les noms des Dassin commencent généralement par la lettre J. Le fils et le petit-fils du réalisateur, Joe Dassin, ont cédé à la pression. Sa fille, aujourd’hui âgée de 3,5 ans, a reçu de lui le nom de Jana.
De temps en temps, il parle de son père, Joe, avec elle. Même si son père est décédé subitement d’une crise cardiaque alors que Jonathan n’avait que deux ans, l’homme de 35 ans ne se souvient de rien de son père. Il ne se souvient pas grand-chose de son père, à part la fois où il a menacé de le dénoncer pour s’être approché de trop près du barbecue. Comme vous, c’est un chanteur qui a pour objectif de se faire un nom dans l’industrie.
Vous parvenez toujours à garder une part de mystère sur vous. Votre frère, Julien, s’occupe du patrimoine de votre père. De plus, il a précédemment développé une comédie musicale inspirée de Joe Dassin. Dans quel but sortirait-on de sa cachette ? Dassin, Jonathan. J’ai toujours eu l’impression que mon père était la personne sur qui j’avais le moins d’histoires à raconter. J’étais un jeune enfant quand papa est mort.
Je n’ai jamais envisagé de profiter de sa popularité pour réaliser une vente. Après des années de pratique et d’étude, cet album est enfin sorti. Le premier titre sur lequel j’ai travaillé a été publié il y a dix ans. Gala : Quand tu avais treize ans, toi et ta tante Richelle avez commencé à faire de la musique et à écrire des chansons. En d’autres termes, vous pouvez compter sur un éventuel écrasement sur Terre ici. J. D. :
Je crois que c’est une histoire de famille ; nous avons toujours été un groupe créatif. Richelle, la sœur de mon père, et moi avons été très proches toute ma vie. Elle m’a toujours fait sentir que j’étais sa seule priorité. À l’âge de 16 ans, j’ai perdu ma mère et, à partir de ce moment, elle est devenue une amie fiable. Mais personne ne m’a jamais recommandé de « faire de la musique ». Je sais que mon père serait choqué de me voir emprunter un tel chemin.
Avant le décès de votre mère, elle et Joe Dassin ont eu une âpre bataille pour la garde dans laquelle il a finalement triomphé. Le cas de J. D. impliquait une séparation d’un ou des deux parents. Mon père n’aurait pas pu être plus heureux quand je suis né. Il était ravi de passer du temps avec nous et de progresser dans sa carrière.
Tu as perdu tes deux parents, ton père puis ta mère.
Mon petit frère et moi avons grandi dans la même immense maison à Feucherolles que nous appelons encore chez nous. Des conseillers juridiques étaient sur place, mais ils n’étaient pas à proximité. La situation semblait un peu bizarre. Mon beau-père et ma belle-mère yougoslaves, qui prenaient soin de ma mère avant son décès, et moi étions seuls dans un appartement de 800 mètres carrés. Ils étaient Serbes et Croates et ils m’ont montré l’importance d’accepter les autres. Pour moi, c’est de la plus haute importance. À vrai dire, j’ai un mode de vie musulman mais je suis partiellement juif.
Votre frère, qui a un an et demi de plus que vous, a reconnu avoir été victime d’intimidation en raison d’histoires autour de la mort de votre père (on rapportait à l’époque qu’il avait pris une overdose, ndlr) et de son statut de “fils”. de.” à tu le cas ? J.D. : Pas question, pas comment, pas quand. Toutes les critiques adressées à mon père se sont infiltrées en moi comme de l’eau dans une éponge. Il n’y a, à mon avis, aucun moyen de le battre. Ils ont une voix digne d’être comparée aux plus grands.
Beaucoup de gens ne comprennent toujours pas sa nature étrange. J. D. : Tout ce qu’il y a à savoir sur lui est de notoriété publique. La seule chose qui m’a rendu heureux, c’est ce que m’ont dit sa mère, ses frères et sœurs et ses amis. Mes sources incluent Claude Lemesle et Tito Puentes, deux de ses amis. J’avais besoin de savoir qui il était pour pouvoir comprendre qui j’étais. J’ai appris à utiliser ma propre imagination pour remplir l’espace qu’il a abandonné.
Animateur de gala : Comment votre enfance a-t-elle été marquée par l’influence de votre grand-père, le cinéaste Jules Dassin et le mari de l’actrice Mélina Mercouri ?
Mon grand-père a été pour moi un bel exemple. Comme il vivait en Grèce, nous ne le voyions que quelques fois par an, mais nous nous faisions un devoir de toujours le soutenir. Il était crucial que nous soyons acceptés tels que nous étions réellement.
Votre album regorge de touchantes ballades d’amour. Quelle place tient votre compagnie Samira dans votre vie ?
Samira est mon deuxième cerveau, J.D. ! J’accorde beaucoup de poids à ce qu’il dit. Avec cette personne, je n’ai jamais partagé de chanson auparavant. Elle a un goût incroyable et me dit toujours exactement ce qu’elle veut dire. Nous avons établi un bunker de production et elle surveille tout là-bas.
Quel morceau de la discographie de votre père espérez-vous que Jana appréciera le plus ?
Mon Village de l’autre côté du monde m’interpelle car il parle d’immigration et pourrait m’aider à me souvenir de l’histoire de la famille de ma mère. En plus de Marie-Jeanne, j’aime aussi beaucoup le texte émouvant Salut les amoureux. En plus de sa nature ouverte, mon père avait aussi un côté mystérieux. Il pouvait faire ce qu’il voulait.
Un ami poète de votre père nommé Claude Lemesle a utilisé le mot « attachant » pour caractériser votre père exigeant. Etes-vous de la même manière ?
Je ne peux que j’imagine… J. D. Ça doit être difficile de partager une maison avec quelqu’un d’aussi créatif. Samira, quant à elle, est mon deuxième cerveau et possède une intuition incroyable. Je sais pourquoi les gens peuvent penser que nous nous ressemblons physiquement. Ce qui me rend le plus heureux, c’est quand les autres me disent que nous avons le même ton de voix. En avoir hérité ne serait-ce qu’une petite partie ferait de moi l’une des personnes les plus chanceuses de la planète.