
Tom Villa Qui Sont Ses Parents – Le 5 juin 1989, à Paris, première de Ton Villa. Là où le jeune homme fera tout son parcours académique, ses parents s’installent en Seine-et-Marne. Tom Villa a un talent naturel pour la comédie et aime faire rire les gens depuis qu’il est petit.
Sa première incursion dans le monde de l’audiovisuel s’est faite en tant qu’animateur, son travail sur Europe 1 Sport étant sa première expérience. Il se lance directement dans l’écriture, en collaborant d’abord avec l’humoriste Jérôme Commandeur puis en se lançant seul. Le Paname Art Café a été le lieu de son expérience au premier étage. Il rejoint l’équipe de La Nouvelle édition chez Canal+ à l’âge de 23 ans.
L’émission Le Grand direct des médias de Radio Europe 1 présente les chroniques comiques de Tom Villa en 2013. L’année suivante, il devient célèbre en intégrant l’émission Salut les terriens ! équipe. En 2016, le jeune homme élargit son répertoire d’acteur en devenant comédien ; il partage du temps à l’écran avec Jérôme Commandeur dans Ma Famille t’adore et joue dans la série télévisée Munch.
Tom Villa est revenu sur Touche pas à mon poste ! à l’automne 2017. De nombreuses célébrités ont pris l’habitude de parler de leur vie personnelle pour tenter de rallier les Français. Tom Villa raconte comment la maladie d’Alzheimer a affecté ses grands-parents.
Les chaînes de France Télévisions se sont réunies le 21 septembre à l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre la maladie d’Alzheimer. Laury Thilleman s’est confiée dans l’après-midi à sa grand-mère malade, révélant des détails choquants à son sujet. Afin de comprendre comment la maladie affecte le cerveau, Michel Cymes et Faustine Bollaert ont proposé ce soir-là une émission originale centrée sur la mémoire. Chercheurs et témoins touchés personnellement ou indirectement par la maladie d’Alzheimer se sont réunis autour d’une table ronde pour clôturer la soirée. Tom Villa était à table et ses grands-parents l’avaient invité pour une bonne raison.
Les sentiments de Tom Villa
Tom Villa a révélé publiquement la maladie d’Alzheimer de ses grands-parents il y a quatre ans, jour après jour, lors de la Journée mondiale de la lutte contre la maladie d’Alzheimer. Tout en se confiant à ses proches, le journaliste a tenté de faire de sa maladie une pâtisserie comique dans l’émission de télévision française La bande originale.
Sa grand-mère a souffert de ces symptômes pendant douze ans avant de décéder. Un an après le décès de cette dernière, son grand-père a également reçu un diagnostic. Tom Villa a été pris d’émotion en regardant son reportage sur France 2. “Il y a quatre ans, mon grand-père était encore avec nous et il est décédé, alors voilà, c’est la vie”, a-t-il expliqué au public.
La maladie de Crohn est une triste maladie.
Il y a 900 000 malades dans la France aujourd’hui, et j’ai connu cette maladie pendant 13 ans. C’est une maladie triste. Dans dix ans, il pourrait y avoir deux millions de malades en France et ce chiffre pourrait être multiplié par le nombre de humanitaires”, a expliqué Tom Villa, avant ajoutant : “Aujourd’hui malheureusement, on connaît tous quelqu’un touché par cette maladie.”
Tom Villa se confie à ses deux grands-parents au sujet de leur maladie d’Alzheimer en disant : « Attirer l’attention en faisant rire ». A l’occasion de la Journée mondiale d’Alzheimer, mardi, l’humoriste Tom Villa témoigne de la maladie dont souffraient sa grand-mère et son grand-père. Tom Villa travaille depuis l’année dernière avec la Fondation pour la Recherche Médicale. Il est journaliste à France Inter depuis cinq ans et partage l’affiche avec Isabelle Nanty dans la série télévisée Munch. Quel est son fils mais ? Devenez plus sensible aux effets de la maladie d’Alzheimer, qui a d’abord touché sa grand-mère de 2003 à 2016, puis son grand-père après son décès.
À partir du moment où vous et votre famille avez vu que votre grand-mère était malade…
“Mais, c’est un peu bizarre : elle a des petites absences, des oublis qu’elle n’avait pas avant”, on l’avait dit lorsqu’on avait commencé à douter. Dès qu’ils ont remarqué quelque chose d’anormal, mes parents et mon grand-père l’ont emmené voir plusieurs médecins. Le diagnostic a été posé en 2000 (elle avait 76 ans). Le problème avec cette maladie, c’est que c’est un peu comme brûler une guimauve : une fois brûlée, elle ne reviendra plus, il faut donc la maîtriser le plus tôt possible pour essayer d’éteindre le feu tant que possible.
La difficulté de cette maladie réside dans le fait qu’elle est similaire à brûler une feuille : rien ne reviendra jamais après avoir été brûlé. Parfois, les patients s’agitent sur des détails insignifiants ou même sur la même question. Votre grand-mère faisait-elle partie de cette catégorie ?
Une fois à la maison, nous étions en plein déjeuner et elle a demandé : “elles sont où les clés de la maison ?” Plus tard, il y avait des moments où, évidemment, elle ne s’en souvenait pas, permettant qu’elle reposait toujours la même question. Chaque fois que nous dînions ensemble, elle me posait des questions sur ma vie et sur l’endroit où j’habitais quand j’étais enfant, vivant avec mes parents. À la douzième fois qu’elle me le demandait, j’ai proposé un nouveau métier : “astronaute” ou “médecin”. Il ne s’agissait jamais de se lamenter sur la vie, mais de minimiser l’importance des choses.
Vous évoquez également son humour dans votre témoignage au média vidéo Brut, qui est un trait sous-estimé de cette maladie… C’est après cela que, malheureusement, la maladie avance et progresse… En fait, elle pouvait être incroyablement gentille et douce, et alors elle demandait où elle avait laissé ses clés et commençait à se tendre, le tout en l’espace d’une quelques secondes. À ce moment-là, le plus grave et le plus crucial était l’endroit où ses clés avaient été retirées.
Parfois, elle pouvait même nous accuser de les cacher alors qu’en réalité elle n’avait rien fait de mal. Nous lui aurions montré en disant : « Regardez, ce sont les clés » ; elle aurait dit “Oh bah oui” et aurait été très gentille. De plus, la maladie d’Alzheimer est une maladie très difficile à gérer pour les proches. N’est-ce pas ton grand-père qui s’est occupé d’elle ?
Le pauvre n’a pas eu beaucoup de choix. Évidemment, il vivait avec elle tous les jours. Ce que nous avons vu pendant le déjeuner ou l’après-midi lorsque nous restions avec eux, il l’a vécu chaque jour, chaque semaine, chaque mois, pendant toutes ces années. Finalement, votre famille a décidé de placer votre grand-mère dans une maison de retraite. C’était indispensable, non ?
Mon grand-père a commencé à en avoir marre à un moment donné. Mentalement, moralement et physiquement épuisé, il avait plus de 80 ans. Semaine après semaine, on pouvait le voir se dégrader. Ma famille m’a dit “si l’on ne veut pas perdre les deux d’un coup, là il faut qu’on fasse attention.” Après le décès de ta grand-mère, c’est son mari qui est également tombé malade…
Oui, pendant un moment, il a eu une sorte de soulagement, en perdant du poids, même s’il n’était pas officiellement diagnostiqué. Son corps et son esprit ont commencé à se détendre et je pense qu’il s’est évanoui.
Pour quelle raison avez-vous décidé de partager votre propre histoire…
Thierry Lhermitte, parrain de la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM), venait de parler d’Alzheimer pour la journée mondiale, et j’avais fait un reportage pour France Inter pour l’émission de Nagui il y a quatre ans. Je m’étais demandé “qu’est-ce que je vais pouvoir raconter de drôle et qu’est-ce que je vais pouvoir faire comme blague ?
C’est comme ça que nous avons pris contact avec la FRM, et ils m’ont invité à rejoindre leurs rangs. Les aider, les sensibiliser à cette maladie, sensibiliser le public et faire appel aux donateurs m’a semblé naturel et évident. Je voulais être personnel sans être intrusif. Ma famille m’a soutenu et a accepté que j’en parle. Le but est de sensibiliser les gens, mais de manière légère et ludique. Je ne pense pas qu’il y ait quelque chose de mieux sur le moment avec tout ce qu’on vit dans la vie, mais si on fait un message sérieux, un peu plombant et larmoyant, il faut…
J’essaie d’attirer l’attention des gens en les faisant rire, si je peux. Le message sera encore plus fort, je vous le dis. Vous aviez évoqué le caractère inédit de la maladie l’année dernière dans une vidéo avec Thierry Lhermitte, mais c’était sur une note plus légère. Évidemment, vous souhaitez souligner un aspect important ?
Aucune maladie n’est meilleure qu’une autre. Il n’y a que la mer dans toutes les maladies, mais la particularité de celle-ci est qu’il est très difficile pour les soignants de voir mourir leur proche alors qu’elle reste invisible. Tout le monde autour de vous semble se demander pourquoi quelqu’un pose douze fois la même question lorsque vous sortez manger ou boire un verre… Après tout, ce n’est qu’un coup de couteau de plus qui fait mal. Craignez-vous que les autres membres de votre famille ou vous-même pourriez être touché par la maladie ?
Évidemment, cela fait peur, et c’est pour cette raison qu’il faut se mobiliser et accompagner les chercheurs dans la recherche de solutions. 900 000 personnes sont malades aujourd’hui. Dans 20 ans, si tout continue comme actuel, le nombre de malades en France sera de deux millions. Il y aura six à neuf millions de personnes touchées par cette maladie, et ce nombre pourrait augmenter de deux ou trois avec l’aide des travailleurs humanitaires. Le problème est que les chercheurs font de leur mieux, mais il n’existe toujours pas de remède miraculeux.
