Virginie Bloch-Lainé Wikipedia

Répandez l'amour du partage
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Virginie Bloch-Lainé Wikipedia – Antoinette Fouque, toute à fait engagée et passionnée, nous fait partager, par sa voix chantante qui a conservé le Sud en elle, l’élaboration d’une pensée subtile qui s’articule autour de ce qu’elle appelle la libido créandi, le désir de procréer et de créer, que partager les hommes et les femmes et qui pourrait génitaler le XXIe siècle. Jean-Michel Bloch-Lainé est l’inspecteur général des finances (E.R.).

Arrivé à Boulogne-sur-Seine (Hauts-de-Seine) le 28 avril 1936. Descendant de François Bloch-Lainé, Inspecteur Général Honoraire des Finances (voir W.W. en France, 33e édition), et de Mme, née Anne- Marie d’Abbadie d’Arrast. Le 29 janvier 1958, à Mlle. Caroline de Dampierre (trois filles : Anne, Nathalie et Amaya) ; le 23 octobre 1971, à Mlle.

Sophie Baur (une fille : Virginie) ; et le 11 mai 1981, à Mme. Catherine Lavaux. L’histoire commence le 29 juillet et se déroule à Dublin. Le fait que la misogynie ait lieu à notre époque – d’un « écran » à un « Netflix » – nous fait vite comprendre que l’année n’est pas précisée. Si le comportement de Cathal (le personnage masculin) est intemporel, la liberté de Sabine (la femme qui plaît à cet homme) est rare encore aujourd’hui, et encore plus dans le passé.

L’auteure irlandaise Claire Keegan dresse le portrait d’un homme habitué à profiter des femmes sans résistance jusqu’à ce qu’il rencontre une femme qui se met en travers de son chemin : lucide. Cela se fait avec une économie de mots et d’effets, sa marque de fabrique. Cathal quitte son bureau le 29 juillet pour revenir sur les moments charnières de sa relation avec Sabine.

Ils avaient déjà emménagé ensemble quand, après quelques remarques, il tomba éperdument amoureux d’elle. Quand Sabine lui montra sa goujaterie, il devint rouge et manifesta son mécontentement. Sans équivoque, elle lui donne sa définition de la misogynie : « Elle consiste simplement à ne pas donner ». En raison de son amour, elle aurait pu accepter l’abandon de Cathal, mais elle a réalisé les conséquences de se concentrer sur des choses insignifiantes.

Helen Gordon-Lazareff (1909-1988), biographe insistant sur les deux qualités de la fondatrice de la revue Elle : elle avait une bonne humeur et pouvait même créer de l’air du moment. Il lui était possible de prêter attention aux journalistes de son équipe tout en les ignorant dans la même semaine.

Son système, mêlant manipulation et tactique de peur, a fonctionné pendant vingt ans : le magazine Elle est né le 21 novembre 1945, et il a perdu le contrôle éditorial au profit d’Hélène Gordon-Lazareff lors des soulèvements de mai 1968. Quand le gaullisme surgit, le journaliste, qui fut « enfant gâtée traumatisée par l’exil, fascinée par le pouvoir », n’est plus en phase avec son pays.

Claire Blandin, historienne de la presse et auteure de cette biographie qui raconte tous les aspects négatifs de son héroïne, Pierre Lazareff, a elle-même été présentée comme une personne gentille et généreuse dans toutes les sources qu’elle a consultées au cours de ses recherches sur l’aventure d’Elle. Hélène Gordon-Lazareff, atteinte de la maladie d’Alzheimer, a perdu son pied peu après la mort de Lazareff en 1972.

Partisane des amours contingentes, Claire Blandin suit une intrigue chronologique. Celui qui donnera au style parisien son ton distinctif débute comme intellectuel. Née dans une famille aristocratique juive en Russie, Hélène Gordon et sa famille s’installent à Paris en 1920. Ses parents sont divorcés. Son père, Boris Gordon, est un homme d’affaires aisé et instruit. À la fois conférencière et étudiante, Hélène Gordon est sans égal. Elle s’inscrit en licence

« Jean-Michel : rien qu’entendre ce nom provoque un flot d’émotions : chaleur, réconfort, délicatesse et drames qu’il a voulus et provoqués. À la fois rassurant et troublant, avec une puissance comique et une tristesse ambulante, de l’humilité et du charme, un zèle communicatif et une fécondité, et une colère étouffante et effarante, c’était lui. A son décès, nous avons appris que son acte d’état civil venait d’indiquer son prénom Jean. Après cela, Michel est venu. Jean m’a părut trop simple, trop épuré pour quelqu’un comme lui, peu importe qu’il soit.

Et le père de l’auteur : quel homme parfait ? Comment en faire un lit ? Ou bien, serait-ce un hérétique ? Imaginez une seconde les conséquences de l’établissement de parallèles entre Jean-Michel et n’importe quel homme du futur. Jamais au sommet du monde, ni jamais vraiment bon ?

Me débrouiller mal en solitude est mon choix préféré. « Je suis nul en hommes, même si je les aime », écrit Virginie Bloch-Lainé, dont le talent de portraitiste aux yeux clairs s’étend aussi loin qu’elle le fait : philosophe misanthrope, militante trop zélée, historienne mélancolique et historienne mélancolique. oncle médecin anticonformiste – comme pour elle-même.

Dans ce livre inédit et libre d’esprit qui fait allusion à “L’ami de Sigrid Nunez”, il y a un soupçon de sentimentalité sincère, une connaissance des livres référencés, mais surtout une précision extrême : l’épopée Lainé de la famille Bloch élargie pour nous raconter aussi l’histoire d’une France spécifique. La reine Virginie et ses sujets. Jean-Michel, père, est l’un des premiers. Un manque très visible. Haut fonctionnaire, racine basque passionné, séducteur, volage avec un sentiment immarcés du devoir, colérique…

17 décembre 2022, par Virginie Bloch-Lainé, Libération

Qui sont Jean-Luc et Jean-Claude ? Ce livre, paru en début d’année, s’agissait-il plutôt d’une exofiction, d’une biographie romancée de deux célébrités, ou d’une transcription exacte de leurs entretiens ? Qui se cache derrière ce Jean-Luc ? Est-ce Jean-Luc Godard ?

Jean-Claude Carrière est-il son vrai nom ? Il s’agit d’un premier roman, et les protagonistes, Jean-Luc et Jean-Claude, sont de parfaits inconnus que Laurence Potte-Bonneville fait paraître plus réels que nature. Ce livre dresse le portrait de deux jeunes hommes, pas si vieux, mais indépendants dans l’utilisation de ce que nous appelons des « moyens ».

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C’est drôle, dérangeant, réaliste et inventif sans chercher à tirer les épingles. L’un est en soins curatifs, l’autre en tutelle. Pour eux, le monde est inconnu et leur monde est indéfendable. Leurs relations les uns avec les autres sont superficielles. Le lecteur ne sait pas ce que pensent ces personnages de Laurence Potte-Bonneville. On ne connaît pas leur étendue des compétences. Le décalage est raisonnable, mais il n’est jamais expliqué ni expliqué pourquoi.

 Derrière le comptoir, Jacqueline est « affable » et les surveille. Jean-Luc et Jean-Claude progressent et font des efforts à leur manière car ils veulent entrer dans un monde auquel ils n’appartiennent pas pleinement. Ils proposent de payer la consommation d’un autre client, un jeune homme prénommé Florent, qu’ils voient pour la première fois.

Le garçon décline poliment leur offre. Il semble poursuivi par quelque chose qui n’a rien à voir avec Jean-Luc et Jean-Claude. Pour une raison quelconque, les deux amis décident d’acheter des billets de loterie afin d’épater leur entourage et de fantasmer sur ce qu’ils pourraient s’offrir s’ils gagnaient le gros jackpot. “Les jeux c’est pas possible”, leur rappelle délicatement Jacqueline.

C’est interdit. Le refus met le feu, et Jean-Luc et Jean-Claude prennent les devants, grâce à la gentillesse de Florent qui a accepté de les conduire ailleurs en camion pour tenter leur chance au PMU. Flo est plus petit, plus timide et plus perdu. Un autocollant annonce «J’ai la forme maintenant, demandez-moi comment» sur son véhicule, ce qui n’est pas exactement la balançoire.

Désormais, l’actrice chevauche derrière les deux hommes et leur chauffeur tout en gardant un œil sur le hall, où le réalisateur commence à rougir. L’art du portrait physique est le point fort de Laurence Potte-Bonneville. Une époque, une classe sociale, un personnage et une voix lui viennent à l’esprit lorsqu’elle décrit un corps et ses mouvements. Par exemple, le responsable de la réception : « C’est une femme charpentée, assez jeune, les cheveux très courts ».

Et après seulement quelques phrases, on croirait la connaître. Pas du coin », et « Il est difficile de deviner si quelque chose justifie la haine avec laquelle elle semble avoir jetété sur son épaule la bandoulière de son sac à main, qui tire sur l’imperméable et dévoile un bout de la bretelle de son support-gorge bleu ciel ».

Quadrant de couverture

Jean-Michel : le simple fait d’entendre ce nom provoque un flot d’émotions : chaleur, réconfort, délicatesse et drames qu’il a voulus et provoqués. Avec une puissance comique et une tristesse ambulante, il était à la fois l’être le plus rassurant et le plus terrifiant qui soit. A son décès, on a appris que sur son acte d’état civil, son prénom était simplement Jean. Après cela, Michel est venu. Jean, quoi qu’il en soit, m’a părut trop simple et élevé pour quelqu’un de lui.

Le père de l’auteur était-il l’homme parfait ? Ou bien, serait-ce un hérétique ? Quelles seraient les conséquences de comparer Jean-Michel à n’importe quel homme du futur ? Jamais au sommet du monde, ni jamais vraiment bon ? Me débrouiller mal en solitude est mon choix préféré.  un historien mélancolique, un oncle anticonformiste et un groupe d’hommes. des amis qui dessinent les contours d’un homme aussi bien qu’ils le ressentent.

Histoire de la vie

La critique littéraire est Virginie Bloch-Lainé. Elle contribue à ELLE et écrit pour Libération, où elle présente fréquemment des portraits. Pour France Culture, elle a également réalisé des spectacles. Le père disparu et son enfance au Pays Basque sont les sujets d’une fugue émouvante de la journaliste et critique littéraire. Critique du « Sud Ouest »

C’est vraiment dommage qu’il aime autant son père. La raison en est que les papas vont et viennent mais restent. Car ceux qui profitent de l’ignorance des autres quant à leur registre d’absence ne seront jamais vraiment récompensés, quelle que soit l’ampleur de leurs réalisations. C’est parce que la réalité ne repose pas sur l’imagination. Cet amour là est aussi une grâce, et nos vies s’écrivent dans cet espace entre joie et tristesse. La naissance d’un livre est parfois choquante.

L’une des plus belles œuvres du début d’année, “Profils perdus” de Virginie Bloch-Lainé, met en couverture un père et sa fille courant de Sainte-Barbe à Saint-Jean-de-Luz. Que leur est-il arrivé? Vagues, ou ce qui pourrait menacer leur complicité, qui est subtile et solide à la fois ? Généralement, le temps qui passe. Ça va aller.

Concernant cela

Antoinette Fouque revient sur son parcours de femme, de son enfance marseillaise à nos jours, dans une série de cinq entretiens diffusés pour la première fois sur France-Culture du 7 au 11 janvier 2013. Virginie Bloch-Lainé est la interviewer.

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