Adele Simphal Parents – Dans Plus belle la vie, il incarne pendant onze ans le rôle d’Abdel Fedala. Il incarne un prêtre impliqué dans l’enquête sur la mort d’un sculpteur en Touraine dans Les Mystères de la basilique, diffusé sur France 3 à 21h05. le samedi 6 juin.
Vous voir dans le rôle d’un prêtre est assez inattendu:
Étant d’origine algérienne, j’ai d’abord cru que ce n’était pas fait pour moi. L’agent a cependant réussi à me convaincre que le Père Sylvain est fondamentalement humaniste. Pour avancer dans ma carrière, je dois occuper ce poste.
En réalité, Isabel Otero joue le rôle du commandant Chaland, et il est son fils. Qu’est-ce qui cause la tension dans leurs relations ?Puisque cela faisait un bon moment qu’ils ne s’étaient pas vus pour la dernière fois. Il lui attribue son manque d’éducation.
Comment s’est passée votre éducation en termes de religion ?
Mon père est non musulman et est originaire d’Algérie, tandis que ma mère est catholique et originaire du Périgord. À l’occasion, je visitais une église, mais je cherchais toujours ma foi par moi-même.
Connaissez-vous la Touraine, lieu où se déroule l’action ? Ouais, je l’adore ! Il devait y avoir une séance de tournage pour un projet télé de France 3 avec Michel Jonasz et Patrick Fiori au lendemain du début de mon confinement.
Début mars, la production a démarré. Fin août, nous reprenons. La météo va être radicalement différente, nous avons tous pris du poids et les appartements que nous avons loués en mars pour le tournage ne seront peut-être pas disponibles… Ce sera dur d’y faire face.
Plus belle la vie, quand comptez-vous revenir ?
Premier juin ! La rapidité avec laquelle nous avons terminé cela nous a surpris. Juillet ou août était notre objectif. La télévision publique a fait ses preuves au cours des dernières semaines, c’est donc une excellente nouvelle. L’ensemble est soumis à des règles de sécurité strictes. Les intrigues doivent également anticiper le moment de leur diffusion en fonction du contexte épidémique.
Dis-moi où tu as été emprisonné. Depuis douze mois, j’ai élu domicile en Bourgogne, idéalement située sur la route des vins et dotée d’excellents restaurants à deux heures et demie de route de Paris et des studios de Marseille. Un jour, j’aimerais aussi lancer ma propre entreprise.
Pendant ce temps, qu’avez-vous réalisé ?
Il est impératif de sauver le secteur du divertissement. Lorsque j’ai visité les États-Unis avec Dounia Coesens il y a deux ans, j’ai été séduit par le concept des ciné-parcs, ou salles de cinéma en plein air. Afin d’en faire créer un d’ici fin juin, j’ai contacté la ville de Mâcon.
La voix forte et émouvante de la chanteuse britannique Adele Simphal l’a rendue célèbre dans le monde entier. Le talent extraordinaire d’Adele, née le 5 mai 1988 à Tottenham, Londres, l’a rapidement propulsée au rang de célébrité.
Dès sa sortie en 2008, son premier album « 19 » a conquis tant les auditeurs que les critiques, le propulsant vers une multitude de distinctions et de nominations. Après cela, le deuxième album d’Adele “21” en 2011 et son troisième album studio “25” en 2015 ont tous deux été des succès commerciaux.
Des millions de fans à travers le monde ont été émus par les ballades sincères et les paroles réfléchies d’Adele. Adele a connu un succès phénoménal en tant que musicienne, mais son charisme, son humour et sa personnalité authentique l’ont également rendue célèbre.
Marie-José Malis met en scène Le Bal masqué de Mikhaïl Lermontov, traduit par André Markowicz et publié aux éditions Imprimerie Nationale en 1992. Comme Pouchkine, le jeune romantique russe Lermontov (1814-1841) est mort en duel alors qu’il n’avait que vingt-sept ans.
Il laisse derrière lui une œuvre poétique importante:
Dont trois pièces de théâtre (dont Ball masque de 1835) et un magnifique roman, A Man of Our Time. Après la disparition de Pouchkine et l’échec de la révolution décembriste, il écrivit pendant le règne autocratique de Nicolas Ier.
Le poète Lermontov est un cynique lucide qui a été témoin de l’odieuse corruption de son siècle. Entre versification à la Molière, dramaturgie à la Othello pour la jalousie shakespearienne et imagination romantique, il combine les influences culturelles occidentales dans Le Bal masqué.
Bien après Vsevolod Meyerhold pour les théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg en 1917 et Anatoli Vassiliev à la Comédie-Française en 1991, avec le regretté Jean-Luc Boutté et la jeune Valérie Dréville,
Cette pièce plonge dans un futur dystopique où « la jeunesse éduquée sous le soleil de Napoléon et les idéaux hérités de l’épopée révolutionnaire française, n’ont d’autre possibilité d’assouvir leur sentiment d’existence, leur désir d’exception que de se perdre dans les armes, les duels et les jeux.
Les jeux en Europe ont prospéré au XIXe et au début du XXe siècle. Les jeux de hasard et autres jeux de hasard étaient populaires dans les salons des libertins, qui constituaient la société d’élite des XVIIe et XVIIIe siècles, et les jeux de cartes proliférèrent après la Renaissance. Et Il y a plus dans le.
L’analyse du jeu qu’une simple boussole morale. Le jeu étant par nature une misère et un moyen de « se dépasser », Pascal considère le divertissement à travers le jeu comme un moyen de réconfort face à nos chagrins.
Le jeu de cartes joker de la pièce, Pharaon, a en effet été interdit par la peine de mort, tout comme le duel, parce que les jeunes aristocrates ont vu clair dans ses promesses creuses. Selon Kazarine, son ancien compagnon d’acteur, Arbenine est un diable, un loup ou un oiseau de proie lorsqu’elle est sur scène.
Je ne connais que deux solutions:
Soit abandonner pour toujours, soit s’y remettre sans tarder”, dit ce dernier au jeune prince qui a perdu tout ce qu’il avait imaginé au jeu. Pourtant, vous aurez besoin du courage de tout sacrifier – vos proches, votre réputation, etc. – si vous voulez conquérir cette arène.
Relevez le défi ; obtenez une compréhension claire de votre esprit, de votre cœur et de vos capacités ; Vivez des sensations calmes et glacées En ce qui concerne les apparences, vous n’imaginez pas ce qu’est un flash…
L’être, empreint de grandeur (courage, ardeur, espoir), affronte aussi le Mal, le destin et le hasard jusqu’à l’absurdité, oscillant entre le démon, le fantasme et le pari de la grâce. Bien que Lermontov ait fourni deux versions différentes du Bal masqué, aucune d’elles n’a jamais été jouée de son vivant.
La version censurée se termine avec la jeune épouse du héros Nina mourant à 4 heures et vingt minutes vers Marie-José Malis. L’auteur russe a ensuite écrit une version censurée – 5 heures destinée à Marie-José Malis – qui comprenait un acte supplémentaire se concluant par la folie du héros.
Les week-ends à 18h et 16h présentent les quatre actes de la deuxième version, tandis que les autres jours, du mardi au vendredi à 19h30, présentent les trois actes de la première version. Interprété par le génial Juan-Antonio Crespillo, le protagoniste de la pièce, Evgueni Arbénin, est un grand aristocrate qui règne sur la société et les salles de jeux.
C’est à la fois un tyran et un homme blessé. Arbenin est hors jeu et vit avec sa belle jeune épouse Nina au début de la pièce. Il pensait que son passé laid et vain le maudissait et que le monde qu’il détestait était dépourvu de toute beauté.
Des événements malheureux lui sont réservés:
Selon un mystérieux inconnu au bal masqué nommé Pascal Batigne. Après une scène exquise d’amour véritable, de confiance et d’abandon paisible entre Nina et Arbénine, qui l’attend à son retour du bal, la malédiction retentit.
Tout concourt à ce que Nina se sente mal dans sa peau ; son innocence et sa pureté ont été bafouées, quelle que soit la force avec laquelle l’accusé a été reconnu coupable. Elle a désormais égaré son bracelet. Le reste du casting est pourri jusqu’à la moelle.
Courtisant l’épouse de celui qui l’a aidé à « se remettre » au jeu, l’insouciant prince Laurent Prache, sensible, attentif, joueur et sans scrupules, la poursuit. La baronne évasive et ambiguë, de son vrai nom Virginie Colemyn, est une femme timide et prudente qui préférerait perdre un ami plutôt que d’affronter la honte.
Il n’y a personne pour guider le héros, personne pour aider l’usurier Sprich (le malicieux Marc Susini) empli de mépris, et personne pour inciter la mondaine à retourner dans ses mauvaises voies (Olivier Horeau, sarcastique, clins d’œil à part, le sourire aux lèvres).
Il ne reste que Nina – honnête, authentique et de plus en plus insatisfaite d’être si incomprise. La performance de Sylvia Etcheto illustre l’appel du rôle à la contemplation tranquille, à la gentillesse et à la patience.
Pourtant, son impitoyable mari ne cesse de lui faire la leçon et de la pousser à mettre fin à ses:
La beauté de la vie est éphémère, alors nous nous y accrochons le plus longtemps possible. La vie est comme une boule qui tourne : pleine de joie, avec tout qui brille et scintille… De retour à la maison, nous nous déshabillons, laissant nos vêtements froissés. De plus, nous ne parvenons pas à nous souvenir… Notre corps a besoin de repos ; nous sommes simplement épuisés.
Le bal sera animé par l’impérieuse Sandrine Rommel. En tant qu’humble spectateur et serviteur Sacha, Saliha Gaci incarne l’humilité. Mahamadou Marega, qui porte une combinaison dorée éclatante et un masque solaire doré, représente un certain nombre de serviteurs et un participant au banquet.
La scénographie signée Jessy Ducatillon, Adrien Marès et Marie-José Malis est soignée et originale : un avant-scène en bois s’élève dans la salle, surmonté d’une petite scène que les interprètes déplacent lorsque leurs personnages s’adressent directement au public. Les artistes utilisent la fosse et un ensemble de petits escaliers en bois pour accéder à la scène.
De même, les bancs et les chaises en bois sont les seuls éléments d’identification. En élévation, un petit vitrail w Une fenêtre avec des motifs se dresse au sommet de la proue de l’avant-scène. Les verrières au-dessus de la scène et de la salle sont éclairées par les lumières de Jessy Ducatillon, créant ainsi un terrain de jeu égal pour le public et les interprètes.
La vie est comme un bal: On tournoie, tout est gay, tout brille, tout scintille… La scène du bal est un tourbillon de rêves, un rêve mouvementé avec des personnages oniriques et festifs. Les costumes du spectacle, conçus par l’Opéra de Paris, sont absolument époustouflants.
