Eric Wattellier Taille – Le futur Toulougien, 31 ans, a été promu parmi les 21 arbitres de Ligue 1 cette saison. Il est très occupé par son travail de dentiste et de chirurgien. Un voyage vers l’inconnu attend Éric Wattellier le 10 août prochain. Il l’avait observée de près depuis les coulisses au cours des deux dernières saisons de convocation en tant que quatrième arbitre. Mais le Catalan poursuivra ce manager avec autant d’acharnement que les clubs de Ligue 1 chancelants.
Le temps passé devant ou derrière un écran en tant qu’arbitre vidéo n’a aucune importance quant à la capacité du dentiste à intégrer l’élite exclusive de l’arbitrage tricolore, le top 21. Dans les dernières étapes de son retour en Ligue 2 après deux ans de en essayant, il reçoit la nouvelle de sa promotion – “une belle surprise” -.
En compagnie de trois de ses collègues, le retraité Tony Chapron, le rétrograde Stéphane Moreira et Stéphane Jochem, le Toulougien est propulsé au centre de l’attention. Il arbore fièrement le titre d’arbitre le plus ancien de Ligue 1, même s’il n’a qu’un an de moins que Willy Delajod (26 ans), François Leteixier (29 ans) et Karim Abed (29 ans). Il n’aura 31 ans qu’au mois de septembre.
Très prochainement, je n’ai pas l’intention de figurer dans des publicités majeures. Je pense que nous ne révélerons pas mon identité trop tôt. L’heureux papa de deux jeunes filles de deux et un ans annonce : “Je ne pourrai pas regarder les matchs ce dimanche”. Il est suivi de près par son épouse dentiste et chirurgienne, originaire du Vaucluse, qu’il a rencontrée à Montpellier.
A son goût, une certaine ligue Lyon-Marseille ville
Son baptême devrait avoir lieu cet été dans différents lieux, notamment à Dijon, Angers, Reims, Guingamp, Strasbourg, etc. En héritage, “Lyon-Marseille dans les années à venir, le match de ses rêves” serait fantastique. Malgré un bel avenir dans le corps arbitral français, le jeune homme représenté par David Durussel et Abdelali Chaoui au sein du P.-O. est déterminé à ne pas baisser la garde.
Le moment viendra bientôt où Canohès-Toulouges, ancien libéro du Roussillon Football, frappera le ballon. Il y a quinze ans, il avait été cornaqué par Nelson Martins, l’arbitre de son camp. J’ai récemment soumis la demande de procédure d’arbitrage. J’ai accepté ce travail parce que c’était la bonne chose à faire et parce que je suis artiste jusqu’à l’âge de dix-huit ans.
À chaque fois qu’il y avait un petit match dans le Roussillon, mon père Marc et Maryse m’amenaient. Au cours de sa brillante carrière, qui débutera avec Clermont-Niort à 27 ans, il a déjà disputé les Nationalaux U 19 en CFA2, la CFA à 24 ans, le National à 25 ans et la Ligue 2 à 27 ans.
La justice est due à Galtier et Emery.
“C’est définitivement un changement”, a-t-elle commenté. Vingt caméras sont désormais liées à chaque choix que vous faites dans ce jeu au rythme rapide… Chacun de nous était prêt, tant techniquement que physiquement. L’arbitre a fait le commentaire suivant : “La différence réside dans le contrôle émotionnel”, tout en rappelant sa pire crainte. Un composant possible est le CFA2. D’après le style Limoges-Bayonne.
Ce jour-là, le bonheur était particulièrement conditionnel. Bagarre générale, pose d’explosifs, etc. Pas moins de quatre cartons rouges ont été laissés sur place. Sa plus grosse faute n’a été constatée qu’à l’occasion d’un match entre Niort et Lens en Ligue 2 il y a quelques mois. Vers le début du match, j’anticipe un penalty pour les Chamois.
En revanche, il se pourrait qu’il n’y ait aucun contact avec la surface. Tout au long de ce répit, des sentiments de désespoir reviennent sans cesse. Je devrais vraiment m’excuser auprès de tous les Nordistes, cela vient de me venir à l’esprit. L’entraîneur de Lensco, Éric Sikora, n’a pas été très strict avec lui en matière de chronométrage, et le match s’était déjà terminé par un match nul lorsque Unai Emery du PSG et Christophe Galtier de Lille sont venus, selon celui qui les a convaincus d’accepter ce poste.
“Le prince William”, son nom signifiant “sosie”, profite de ces derniers jours de vacances pour “se vider la tête” avant de rejoindre ses compagnons à Clairefontaine le 25 juin pour leur étape de préparation. Pourquoi? En effet, on se rapproche des trois buts en Ligue 1… Les joueurs et entraîneurs professionnels sont les premiers noms qui viennent à l’esprit lorsqu’on évoque le football ou la Ligue 1. Les arbitres experts au pied sont néanmoins une profession que certaines personnes choisissent d’exercer.
Dès aujourd’hui (16 octobre 2018) et jusqu’au 31 octobre 2018, la Poste accueille les 17e Journées de l’arbitrage. La féminisation et la technologie pourraient donc être les principaux axes de développement de cette année, annonce le PDG de la Poste. Pour évoquer les principes et l’évolution du métier d’arbitre professionnel de football, nous avons pensé que ce serait une merveilleuse idée d’interviewer le délicieux et “nouveau, tout beau” arbitre de notre Ligue 1, le charmant Eric Wattelier.
Pour commencer, puis-je demander quelle est la meilleure façon d’articuler l’objectif à long terme du travail d’arbitre de football professionnel ?
Pas cette phrase, mais « Un jour, je vais devenir arbitre ! c’est ce que nous disons réellement. J’ai mis fin à une carrière de quinze ans sur le terrain de football lorsque j’ai subi une terrible blessure lors d’un entraînement, à l’âge de quinze ou seize ans. Pourtant, j’étais en bonne voie vers une carrière dans l’arbitrage lorsque mon entraîneur était totalement au hasard.
Suite à cela, j’ai commencé à m’impliquer pleinement dans le jeu en lui jouant le rôle de second violon sur le terrain. Je me suis lancé après ça, et maintenant c’est ce que je préfère au monde. Pendant un moment, j’ai continué à jouer au football, mais mes progrès en arbitrage m’ont obligé à prendre ma retraite. A l’âge de dix-huit ou dix-neuf ans, j’ai décidé d’arrêter le jeu pour me consacrer pleinement à l’arbitrage.
En tant qu’arbitre, vous devez avoir une passion pour le football, non ?
À mon avis, c’est correct. Enfin, même si je ne suis pas certain d’une norme universelle, je pense quand même qu’elle est importante.
Où avez-vous suivi votre formation pour devenir arbitre de football ?
Comme c’est généralement le cas pour toute entreprise, nous commençons tout en bas, dans les nombreux départements. La procédure commence par des tests écrits, passe à des observations pratiques et aboutit enfin à une conclusion basée sur nos capacités. Après cela, nous passons au niveau étatique puis au niveau fédéral. Quel parcours remarquable !
Selon vous, quelles sont les principales caractéristiques d’un bon arbitre ?
Et ils étaient nombreux ! Posséder de solides compétences en communication et en analyse sont, à mon avis, primordiales. Deuxièmement, j’aimerais mentionner qu’il n’existe pas d’approche universelle ; au contraire, tout est adapté au caractère unique et à l’état émotionnel de chaque individu. Chacun de nous est intéressant car nous jouons au jeu à notre manière et apportons quelque chose d’unique à la table. Nos chemins sont différents.
Un arbitre a-t-il besoin d’une formation sportive spécifique ?
Les arbitres participent souvent à des entraînements sportifs. Parmi les nombreux cours offerts par les modules figurent ceux sur la technique lactique, le renforcement musculaire, la prévention des blessures et la PMA (Puisance Maximale Aérobie). Les matches de Ligue 1 se déroulent à un rythme effréné, ce qui rend la préparation du week-end une tâche permanente. Eric Wattellier, nouvel arbitre professionnel de Ligue 1, est l’un des invités de “Beside Sport” —
Vous évoluerez cette saison dans la première division du football français, la Ligue 1. Est-ce que cela modifie significativement la Ligue 2 ?
La réponse est évidente ! Sous tous les angles, c’est le sommet, le point culminant de tout ce qui précède et suit le match. Le résultat, c’est que c’est vraiment dur.
Au cours de quatre matches de Ligue 1, quinze cases vertes et un carton rouge ont été stratégiquement positionnés. Concernant le rôle du juge, n’est-ce pas ?
Quel soulagement! Les matchs qui nécessitent un arbitrage en sont les véritables déterminants. Quitter la maison sans avertissement ni épingle de sûreté est possible, même si cela n’était pas nécessaire et que l’état mental était désagréable. Les matchs suivants exigeront un jugement plus nuancé et plus précis, nous devrons donc être un peu plus disciplinés par la suite.
Que ressentez-vous à l’idée de donner pour la première fois un carton rouge à Thomas Mangani en Ligue 1 ?
Notre travail consiste à arbitrer et à prendre des décisions raisonnables, donc nous n’y réfléchissons pas vraiment. Le numéro un ou le numéro dix n’a pas d’importance ; ils sont tous deux aussi importants. Être aussi juste que possible et faire un excellent travail sont nos principaux objectifs.
Si vous pouviez être le quatrième arbitre ou l’arbitre assistant vidéo, lequel choisiriez-vous ?
On pourrait donc dire que les deux rôles ne pourraient pas être plus différents (rires). Étant donné que chaque métier a ses avantages et ses inconvénients, cela ne me choquerait pas si vous me demandiez mon avis sur un sujet particulier. Ensuite, la distinction la plus frappante est qu’un arbitre est présent sur le terrain comme le quatrième, un autre est dans les environs, et un quatrième assume la fonction supplémentaire d’arbitre vidéo, dont le rôle est d’assister l’arbitre et de lui donner un sentiment de sécurité.
Avez-vous un favori parmi Kylian Mbappé, Neymar ou Verratti, qui évoluent tous en Ligue 1 ?
Comme je l’ai déjà mentionné, notre premier objectif lorsque nous entrons sur le terrain est d’agir avec justice et de prendre les bonnes décisions. Ainsi, une fois que vous commencez à cibler ces joueurs, il est presque impossible de vous arrêter. À mon avis, le processus d’arbitrage devrait être uniforme pour toutes les parties. Une résolution juste et équitable devrait être l’objectif ultime de l’arbitrage.
La génération actuelle de joueurs de football montre-t-elle un quelconque respect pour les officiels en charge du match ?
Étant si jeune (seulement 31 ans), je ne me sens pas encore qualifié pour porter un jugement sur l’ancienne génération. Deuxièmement, je ne parviens pas à percevoir un principe primordial. Je crois que nous pouvons établir la confiance et développer des canaux de communication avec des joueurs de tous âges. Nous apprécions vraiment le respect mutuel et les discussions franches.
Faites-vous partie des nombreux footballeurs qui vous tiennent en haute estime ?
Puisqu’il a été et sera toujours un étendard, Pierluigi Collina est l’exemple du roi. Malgré l’abondance de ressources nationales et internationales, je maintiens que l’exposition à une variété d’arbitres et de styles de jugement est cruciale pour développer son propre caractère.