Julien Bouchet Braisaz

Répandez l'amour du partage
Julien Bouchet Braisaz
Julien Bouchet Braisaz

Julien Bouchet Braisaz – Ski Chrono a été au cœur de la préparation au ski post-partum de Justine Braisaz-Bouchet au printemps 2017. La gagnante du monde du départ groupé était la Savoyarde, baptisée il y a moins d’un an. L’article intitulé “Maman est de retour” est paru en juin 2018 dans Ski Chrono N°88 et revient sur la préparation de Justine Braisaz-Bouchet.

Notre photographe et journaliste Sophie Rodriguez avait fait le point sur Aime et Peisey-Nancroix sur l’entraînement de la championne olympique et sa nouvelle organisation familiale autour de Côme, sa fille née en février et qui a quitté la crèche ce matin, le tout en l’espace d’une journée. . Le polyvalent Julien Bouchet était présent pour encadrer son partenaire d’entraînement.

“Elle a l’air bien dans sa vie et heureuse”, nous confiait Sophie Rodriguez, maman et ancienne médaillée mondiale de snowboard, suite à ce reportage. Durant ces premiers mois, elle espère profiter de sa fille. Elle a hâte de retrouver le gang et d’assister aux premiers affrontements.

En sa qualité de maman, elle a vécu une année de découverte qu’elle a partagée avec moi, accompagnée d’une nouvelle opération. Nous avons également abordé le sujet de Clarisse Agbegnenou, la championne olympique de judo devenue championne du monde après avoir eu un enfant.

On ne peut pas toujours compter sur le fait d’être le compagnon d’un athlète ou d’un sportif. Surtout si cela nécessite une succession de mouvements sur de longues distances, comme c’est le cas des joueuses de tennis ou des joueuses. Certaines personnes ont découvert un moyen de surmonter les difficultés des relations à distance : elles se mettent en relation avec leur entraîneur, qui les surveille toute la journée.

De nombreux joueurs de tennis ont rendu public leurs romances avec leurs professeurs. Un bon exemple est Alizé Cornet, qui vient d’ouvrir un nouveau chapitre de sa vie avec Pierre Arfi, qui est à la fois son entraîneur et ancien athlète cannois. Arfi s’était auparavant formé à l’Académie Mouratoglou et était en couple avec Michael Kuzaj depuis huit ans.

Patrick Mouratoglou a été craqué par Serena Williams. Alizé Cornet, cependant, n’est guère une exception. Bien que la longue romance de Serena Williams avec Patrick Mouratoglou soit l’exemple le plus connu, de nombreux autres joueurs ont également eu des relations amoureuses avec leurs entraîneurs.

Même si la plupart de ces jeux se déroulent en solo, il existe une poignée de sports d’équipe auxquels les couples peuvent jouer ensemble à condition de se surveiller mutuellement. Le membre de l’équipe de France et instructeur au Comité de Savoie, Julien Bouchet, est marié à la championne olympique du départ groupé.

Justine Braisaz-Bouchet affirme que le mari de la championne olympique est Julien Bouchet ; Mais qui est-il ?

Aux Jeux olympiques d’hiver de 2022 à PyeongChang, en Corée du Sud, la biathlète Justine Braisaz-Bouchet a offert, vendredi 18 février, une nouvelle médaille d’or à l’équipe de France. En effet, deux Norvégiennes ont fait stopper la Française lors de la course de départ groupé. Julien Bouchet, l’homme avec qui elle vit, a contribué à sa réalisation.

Justine Braisaz-Bouchet, championne olympique de biathlon, est mariée avec qui ?

Jusqu’au vendredi 18 février dernier, elle a triomphé face à des JO difficiles. Justine Braisaz-Bouchet a remporté l’épreuve de biathlon à départ groupé aux Jeux olympiques après avoir battu les Norvégiennes Tiril Eckhoff et Marte Olsbu Roeiseland. Elle termine le tournoi avec quatre médailles pour la délégation française et sept pour l’ensemble du biathlon tricolore.

Justine Braisaz-Bouchet devient la deuxième championne française de biathlon sprint, après Florence Baverel-Robert de 2006 à Turin, à remporter la médaille d’or. Réalisation remarquable pour la sportive de 25 ans, qui participe à des compétitions professionnelles depuis 2014.

Lors de la Coupe du monde de biathlon, elle a terminé 36 fois sur le podium. Aux Championnats du monde de biathlon 2019 à Östersund, en Suède, la Française a non seulement remporté un titre individuel mais également quatre médailles, dont le bronze en relais aux JO de Pyeongchang 2018.

L’année 2020 était l’année du mariage. Son associé et entraîneur au conseil municipal de Savoie, Julien Bouchet, partage peut-être aussi une partie du mérite de ce succès. Les deux tourtereaux ont souhaité se marier en 2020 pour officialiser leur belle histoire d’amour. En l’occurrence, la biathlète de Saisies a souhaité rehausser son nom de famille en y incluant le nom de son partenaire.

Du coup, son nom a changé pour Justine Braisaz-Bouchet. Durant son congé maternité, Justine Braisaz-Bouchet envisage d’en faire le plus possible : “Une pause qui va me relancer.” Justine Braisaz-Bouchet a annoncé sa décision de suspendre sa carrière de biathlon afin de se concentrer sur la naissance d’un bébé lors du Festival nordique Martin Fourcade à Annecy.

Elle a remporté un globe junior en départ en groupe et a été championne olympique; elle n’a pas l’intention de laisser sa grossesse l’empêcher de concourir à nouveau au plus haut niveau la saison prochaine. Même si vous étiez programmée pour assister au départ en masse de la MFNF samedi dernier, vous ne participerez pas à la course après l’annonce de votre grossesse.

Julien Bouchet Braisaz

Je suis ici à cause des sponsors, de la fédération et de la déclaration selon laquelle je ne serais pas là cet hiver. Après cela, j’ai trouvé plus pratique de simplement l’annoncer à l’avance via les réseaux sociaux écrits. L’envie d’organiser l’événement était encore forte dans mon esprit il y a encore peu de temps.

Après avoir informé ma famille, tous mes sponsors et mon équipe, j’ai prévu de reporter l’annonce pour pouvoir me détendre. Mais finalement, la logique a fini par l’emporter. Et puis j’ai eu envie de vivre autrement l’événement et la période, ce qui m’a obligé à lâcher ma maison et mes bagages. C’était un sacré bon événement et une belle façon de promouvoir le ski nordique, et j’ai participé à la première édition en 2019.

Est-ce que vous n’avez pas encore terminé votre perfectionnement personnel ?

Bien sûr, un peu plus, mais ce n’est toujours pas suffisant pour rivaliser avec les autres joueurs de l’effectif. En fait, je ne fais plus de scènes avec eux. Le Festival Blink en Norvège a néanmoins été un succès, même si je n’ai pas pu assister à Bessans. Malheureusement, je ne suis pas encore prêt à affronter les rigueurs d’une formation avancée. De plus, j’ai l’intention de tirer le meilleur parti de ma situation actuelle en faisant quelque chose d’amusant avec tout le temps libre dont je dispose pendant ma grossesse.

Comment avez-vous décidé de terminer la saison pour pouvoir vous concentrer sur votre grossesse ?

C’est quelque chose dont mon mari et moi parlons fréquemment depuis au moins quelques mois, voire quelques années. L’hiver dernier, j’ai mis à profit ma victoire au petit globe en mass start et la médaille des JO. Sur un plan plus personnel et sportif, il y avait une forte envie de fonder une famille avant de se lancer dans les Jeux Olympiques. Ensuite, je ressens le soutien de l’équipe de France. Je suis extrêmement vulnérable par rapport aux mois et aux années à venir.

De même, Marie-Dorin Habert et Anaïs Chevalier-Bouchet, qui ont toutes deux interrompu leur carrière de biathlon pendant leur grossesse, font office d’excellents modèles. Ceux-ci servent d’exemples ; en fait, ils ont joué un rôle important dans ma réussite. Pouvoir compter sur quelqu’un qui a ouvert ces portes est rassurant. Par conséquent, je suis fermement convaincu que tout est possible avec suffisamment de prévoyance et une gestion compétente. “Et c’est vraiment compatible.”

En votre absence, pensez-vous que le biathlon va souffrir ?

“J’ai déjà hâte de revoir la compétition” (rires). Mais, il faut parfois prioriser la santé. Après cela, je devrais savourer chaque instant de ma grossesse. En tout cas, j’ai l’intention de regarder les courses en raison de mon extrême affection pour elles. J’ai alors eu la brillante idée que passer cet hiver de l’autre côté de la barrière m’apporterait une richesse de connaissances.

Cela a le potentiel d’attirer véritablement mon attention. Comme c’est plus intime et quand on connaît les joueurs impliqués, il est plus puissant, à mon avis, de ressentir des émotions plus intenses en regardant un événement sportif. Le souvenir de ma dernière expérience au Blink Festival, où j’étais très amoureux du dossard et que cela renforçait mon envie de compétition, évoque un aspect plus sombre.

Serez-vous, vous aussi, impacté par cette pause en tant que sportif de haut niveau ?

Même si je n’ai pas participé à une coupe du monde de biathlon depuis sept ou huit ans, j’espère que cela pourrait être l’étincelle dont j’ai besoin pour remettre ma carrière sur les rails. Cela ne m’est apparu que récemment. Nous reviendrons peut-être sur ce sujet dans quelques mois, mais je crains que cela ne m’inspire à devenir biathlète.

Il faut saluer que tous les participants se soient montrés présents pour s’entraîner, même par mauvais temps, et se lever de bonne heure le dimanche pour conquérir les pistes départementales, souvent sous des températures négatives. Un certain nombre d’entre eux ont coulé jusqu’à la base du tas, tandis que d’autres ont pris feu. Quelle que soit la situation, les adultes qui les ont accueillis étaient remplis d’un immense plaisir et d’une immense joie.

Du point de vue d’un champion

Le patinage est similaire au skateboard ou au patinage sur glace dans la mesure où il consiste à avancer sur la partie la plus plate de la pente en faisant glisser un ski sur l’autre. Les personnes recherchant l’exaltation de la vitesse et de la glisse sont les destinataires visés.

Marielle Missillier-Tilloloy, jeune fille, Je me souviens encore très bien de mon père, conseiller municipal très actif dans les affaires communautaires et entretenant de très bons liens avec le maire de l’époque, Maurice Bozonnat, mettant presque tous ses enfants au ski lors de l’ouverture du foyer en 1972. J’avais neuf ans. vieux. Skier (pas toujours avec les pieds parce que ça fait beaucoup de grimpe; ce n’est pas facile au départ) depuis l’ancien foyer jusqu’au premier plateau, là où se trouve aujourd’hui la Tanière, c’est notre projet.

Alors que j’étais membre de l’équipe de France pendant cinq ans, je devais m’entraîner presque tous les jours. J’avais prévu de faire une randonnée jusqu’à Agy car, malgré les itinéraires relativement raides, j’avais hâte de voir les paysages époustouflants. Quelle vue à couper le souffle !

Julien Bouchet Braisaz
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