
Neila Latrous Vie Privée – Blenheim University of Management, LCI, TF1, C8 de Canal+ et BFM TV Aujourd’hui âgé de 32 ans, le jeune journaliste décrit un parcours extraordinaire dans le domaine très concurrentiel du journalisme politique. Blenheim University of Management, LCI, TF1, C8 de Canal+ et BFM TV Aujourd’hui âgé de 32 ans, le jeune journaliste décrit un parcours extraordinaire dans le domaine très concurrentiel du journalisme politique. Gagner en importance en tant que ressource efficace pour les médias d’information !
Existe-t-il un moyen d’y parvenir ? Neila Latrous met tout en œuvre dans son métier de journaliste politique, hautement compétitif et extraordinairement adaptable. Avec un oeil vers une « stratégie de niche » dans sa vie professionnelle et personnelle.
La jeunesse et le sens pratique sont façonnés par le voyage… Neila possède la capacité remarquable de parler non seulement le français et l’anglais, mais aussi l’arabe. Enfant, elle a passé quelque temps en Algérie avant de s’installer en Tunisie, pays de naissance de sa mère, à l’âge de cinq ans, même si elle est née à Lille.
De retour à Lille à dix-huit ans, elle entre à Grenoble Ecole de Management à vingt et un ans plus tard. Même après douze ans, sa vie reste en constante évolution alors qu’elle évolue entre Alger, Tunis et Paris. Neila donne avant tout la priorité à l’imitation du personnage de sa mère.
Malgré l’immigration de ses parents algériens en Tunisie, ma mère était une innovatrice dans sa propre Algérie, où elle a été l’une des premières femmes à obtenir un doctorat. Oui, je suis un chimiste compétent. On lui donne du gaz, comme je lui ai toujours dit. Depuis lors, l’idée de faire tout ce qui est en notre pouvoir pèse lourdement sur mes pensées.
Développer ses compétences nécessite une éducation spécifique. Quand j’étais adolescente, je voulais être journaliste. Notre décision de travailler avec GEM était la bonne. Neila Latrous estime que son excellente formation lui a permis d’accéder à un poste dans le secteur des médias français alors qu’elle n’avait que 18 ans.
J’ai surmonté mes inquiétudes, trouvé ma voix et découvert qui je suis grâce à la formation vocale, à l’expérience pratique et aux séminaires de gestion, de marketing numérique et de communication de GEM. Deux ans après le début de sa « préparation », Neila s’inscrit au GEM et commence à établir le cadre de sa profession dédiée.
Le tribunal scolaire GEM en Débat, auquel elle est étroitement associée, organise des conférences en collaboration avec divers groupes et personnalités du monde politique et économique. Le journal de l’école était également l’un de ses investissements. La deuxième étape était une étape culminante en première année, et la deuxième année était un stage au sein de l’équipe de rédaction web de Féminin Bio. Sa réponse ferme est un « J’étais fier de mes compétences en marketing Web ».
Le LCI de l’équipe sur TF1
L’intégration de LCI, la chaîne d’information continue du groupe TF1, a eu lieu en 2008, à la pause entre la deuxième et la troisième année de GEM. Ma mission était de tendre la main à des personnalités politiques puissantes et de faire en sorte qu’elles interviennent à des moments précis.
A ce moment précis, j’avais sous la main un énorme carnet d’adresses car j’avais déjà contacté nombre de ces personnes au tribunal du GEM. Avec BFM TV déjà présente sur les chaînes gratuites, la chaîne commerciale aurait du mal à rivaliser dès sa première année sur LCI. L’objectif, a-t-il précisé, était pour LCI de réduire les dépenses liées au voile.
J’ai donc montré que je suis prêt, disposé et capable de participer ! L’école de journalisme que j’avais complètement ignorée devrait payer mes frais de scolarité si j’acceptais ce poste. Merde, cette banque ! Neila livre la nouvelle à l’émission du samedi matin.
Tout en complétant sa troisième année de fac, elle trouve également du travail comme intervieweuse politique pour l’émission “L’Arène des Piques” de LCI Radio. Alors qu’elle travaillait comme écrivain politique, Neila a d’abord trouvé qu’écrire des enquêtes politiques était un passe-temps étrange. Deux ouvrages ont ainsi été publiés : « UMP un univers impitoyable » et « Bal tragique à l’UMP ».
Dernière conversation avec Laurence Ferrari (TFI)
J’ai été invité comme présentateur de triche par TF1 en 2012. Le devoir du présentateur devant le JT est de garantir l’exhaustivité des informations divulguées. Parmi mes collaborateurs figurent Laurence Ferrari, profondément politique, Jean-Pierre Pernaud et Claire Chazal.
En raison de l’importance de cette rencontre, elle m’a confié la tâche de préparer tous les entretiens politiques ultérieurs qui lui seraient demandés. La période électorale n’était pas une nouveauté pour moi en ce qui concerne la machine de guerre “TF1”. Une école primaire.
La saison 2012 de JT sur TF1 a marqué la dernière année de Laurence Ferrari à animer l’émission. En tant que membre du groupe Canal+, Neila suit ses traces. Dans un épisode de l’émission d’humour Le Grand 8 sur C8, j’ai joué le rôle d’une journaliste et suis passée du CDI au CDD. Cela peut m’inciter à évaluer mes capacités et mes lacunes au travail et à faire face à mes sentiments de jalousie.
Engagé dans le travail tout en étant entouré par la culture arabe
Une embuscade a lieu dans le village d’In Amenas, dans le sud de l’Algérie, en janvier 2013. Le président Bouteflika est victime d’un accident vasculaire cérébral au printemps. Même si elle est la responsable du passeport algérien, l’écrivaine indépendante Neïla envisage de partir en voyage pour l’Algérie en juillet. Son attention est captée par l’afflux inattendu des médias du monde entier.
Ensemble, nous avons fait tout un spectacle. De ce fait, l’Algérie sera le site de ma nouvelle entreprise. De BFM TV à TF1, France 2, France 3, LCI, Europe 1, RTL, la RTBF, Radio Canada, Radio Vatican et La RTBF, j’ai travaillé pour de nombreuses chaînes de télévision. En outre, cela devient un élément crucial de l’information algérienne. “Je me suis attaqué, je n’ai pas toujours été réactif…, j’ai raté des interviews.”
Neila mène des missions transversales pour le FN, l’Insoumis, l’Elysée, Matignon et le Parlement avant de revenir en France en 2015 pour faire des reportages sur la politique intérieure pour BFM TV. Elle a suivi de près la campagne présidentielle de Marine Le Pen en 2017 et la campagne parlementaire de Jean-Luc Mélenchon en 2017.
Rédactrice en chef du département Maghreb Moyen Orient de l’hebdomadaire Jeune Afrique, Neila est aux commandes depuis mai 2018. Elle rédige des éditoriaux hebdomadaires de quatorze pages centrés sur le monde arabe en plus de gérer une équipe de journalistes et d’assurer ils adhèrent à la production éditoriale. De plus, elle vérifie et ordonne les sujets mis en ligne.
Neila Latrous est née de parents français et algériens à Lille en 1986. Elle est journaliste politique. Elle est une autorité de l’extrême droite française, et de l’UMP en particulier. Elle travaille désormais en Tunisie et en Algérie en tant que journaliste pour plusieurs médias français.
Nous avons eu le tiercé gagnant des affaires de mon grand-père juste après sa mort à Annaba il y a quelques mois. Une lettre que j’avais écrite en 1993 a été retrouvée dans un tiroir. Quand j’ai eu ma crise de colère, j’avais sept ans. “Je sais que tu vas avoir des bébés et je sais que c’est une guerre”, dit-il.
Il y a un an, l’assassinat du président algérien Mohamed Boudiaf avait lieu non loin de son appartement, à quelques centaines de mètres seulement. Son mari, mon oncle, était dans la pièce lorsque les tirs ont commencé. Perdu dans le labyrinthe. Nous étions dans un état dévasté.
En tant que famille, nous avons déménagé dans la région de Ben Ali, en Tunisie voisine, lorsque ma mère a reçu une offre d’emploi. Les gouvernements autocratiques sont affaiblis par les guerres civiles. Nos vacances d’été annuelles pour rendre visite à notre grande famille élargie, qui comprend des grands-parents, des tantes, des oncles, des cousins et plus encore, ont été un acte de bravoure et de rébellion.
Je chéris les souvenirs de cette époque. Saison après saison, revoir mes proches vivants m’apporte un immense plaisir. Crises existentielles minimes. Vous aurez peur de recevoir un coup dur à votre retour à Tunis. Au-delà de la frontière, les attaques se produisaient pratiquement quotidiennement. Décès dans la capitale nationale. Notre famille et moi avons vécu sur des matelas dans un placard, loin des fenêtres, pendant une décennie après que les bombes ont détruit notre maison.
S’enchaînent des événements qui resteront dans l’histoire : le détournement d’un Airbus en 1994, les attentats du RER B en 1995, l’assassinat de Moines de Tibhérine en 1996, les massacres de Thalit et Bentalha en 1997, le 11 septembre à New York, explosion de la synagogue de Djerba en Tunisie en 2002, attentats de Madrid et de Londres en 2004, piégée lancée contre le palais du gouvernement d’Alger en 2007, capture de djihadistes réfugiés au Mont Chaambi en Tunisie, et bien d’autres encore.
Tout au long de mon existence, des événements violents m’ont englouti. Après tout ce bouleversement, je me suis trompé en me croyant immunisé. Pendant un moment, j’ai appelé Alger chez moi. La presse française m’emploie en qualité de correspondant.
Je découvre une “génération terrorisée” depuis un an et demi. Si le policier s’était plutôt jeté sur des terroristes, sa vie aurait été épargnée, selon un chauffeur de taxi qui met en garde les passagers contre les risques liés à leur transport. “Je serais morte si je tombais sur des gendarmes en raison d’un terroriste.”
Un élève du primaire s’est souvenu des cadavres qu’il avait rencontrés sur le chemin de l’école. Le souvenir d’avoir été pris en embuscade en plein jour par une bande armée avant d’être libéré lui donne encore des frissons. Quelqu’un dont la simple mention évoque des images mentales d’hypothétiques accidents de voiture.
Ce ministre vous adoptera comme sien puisqu’il partage votre peur des coups de fil la nuit. Un de mes collègues griffonne les noms de la centaine de journalistes décapités par des barbares au cours de cette terrible décennie. Une petite partie de moi pensait que j’étais immunisé. Le meurtre est survenu après Hervé Gourdel. Litiges et circonstances inconfortables impliquant les deux publications. Parmi les journalistes, je ne suis pas le seul.
Nausie nerveuse. Exactement comme cela se produit en ce moment, alors que douze personnes meurent pour leur croyance en la liberté. Trois fois aujourd’hui, je me suis senti violé. Pourtant il était républicain en France, musulman originaire de Laïque, et héritier d’une importante histoire algérienne contre les atrocités.
Le décès des personnes suivantes – Charb, Elsa, Franck, Ahmed, Frédéric, Michel, Mustapha, Honoré, Tignous, Bernard, Wolinski et Cabu – me laisse encore perplexe. Comme vous, j’ai consacré des journées à essayer de donner un sens à Hervé.
Peu importe ce que j’apprends sur le fondamentalisme islamique, je ne pourrai jamais soutenir la brutalité au nom de la religion. Vous pouvez me compter parmi eux, moi et ma génération, la « génération terrorisée ». Mais je ne vais pas céder. Jamais, bonne journée.
