Oudea Castera Enfants Ecole – Concernant la scolarité de ses trois enfants à Stanislas, elle est interrogée. De nombreux ministres, dont le ministre de l’Éducation nationale, ont déjà opté pour le privé. la scolarité de leurs enfants. Mais c’est l’argument de la ministre qui déclenche le débat**. D’abord, elle évoque le fait que son père était scolarisé publiquement dans le 6e arrondissement de Paris, notamment à l’école Littré. Stanislas, qui est situé « dans leur rue », est donc le choix de « proximité » qu’elle et son mari ont fait en envoyant leurs enfants à l’école.
Les syndicats ont logiquement vu ces propositions comme une provocation. Déjà irrité par le fait que le ministre soit également chargé des sports et des JO, le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, a dénoncé vendredi “des propos lunaires et provocateurs, contre le service public d’éducation”. “Manifester sous les fenêtres” du ministère et se grèveraient pour protester contre ce “mépris insupportable” déclaré le 25 janvier par la Fnec-FP-FO. Lundi, la porte-parole du SNUipp-FSU, principal syndicat primaire, Guislaine David, a déclaré : “Double faute Mme la Ministre !” “Ça démarre très fort ce match !”,
La ministre a dit “regretter” d’avoir “pu bénir certains enseignants du public” samedi après-midi. “Toujours à leurs côtés” était son promesse pour les rassurer. L’éducateur conteste le récit du ministre et invoque un tout autre raisonnement. Lundi, le journal Libération a publié un article citant l’institutrice des enfants d’Oudéa-Castéra. Elle affirme qu’en 2009, à l’école Littré du VIe arrondissement de Paris, seul le fils aîné d’Amélie Oudéa-Castéra a été brièvement scolarisé devant public, au service crèche.
Selon cette enseignante, Amélie Oudéa-Castéra et son mari ont en réalité décidé d’envoyer leur enfant à l’école Stanislas pour le voir exceller scolairement. L’école de Littré avait refusé cette candidature en première section intermédiaire car il n’avait pas encore quatre ans. Dans cet article, l’enseignante à la retraite affirme avoir été présente tous les jours pendant les six mois de cours de Vincent. “Je me sens attaqué sur le plan personnel. Peu importe combien de fois cela aurait pu arriver, je n’ai jamais disparu et nous avons toujours pu trouver un remplaçant.
“On peut s’interroger sur l’intention liée à ces propos inexacts, déplacés et bénissants pour des parents sur leur enfant près de 15 ans plus tard”, a déclaré Amélie Oudéa-Castéra, qui a été citée par franceinfo. Les propositions présentées par Libération ont été démentis par le ministre. Ses détracteurs l’accusent de mentir et souhaitent qu’il soit démis de ses fonctions.
Déjà entendus en début de week-end, les appels à l’annulation du spectacle ont été alimentés par les révélations de Libération. “C’est un gâchis qui la disqualifie pour continuer à occuper ce poste”, a ainsi affirmé l’insoumis Manuel Bompard sur franceinfo lundi. Sur le réseau social X, le communiste Fabien Roussel a déclaré : « il est temps de démissionner » car « les jours passent et les mensonges s’accumulent ».
La défense par Amélie Oudéa-Castéra de la scolarité de ses enfants, mise à mal par l’aLa nouvelle ministre de l’éducation nationale avait déjà été critiquée pour avoir envoyé ses enfants dans la très conservatrice école privée Stanislas, mais elle avait justifié sa décision en citant “des paquets d’ heures pas remplacées” dans l’école publique de son fils aîné. Où il n’a réellement passé que six mois de coupe de maternelle.
Avoir une ministre de l’Éducation nationale qui envoie ses enfants dans des écoles privées est une recette pour le désastre. Pire encore, lorsqu’elle – la nouvelle Amélie Oudéa-Castéra – se justifie en saccageant l’école publique qu’elle a été censurée pour défendre. Il est possible que les éléments recueillis par Libération affaiblissent les arguments avancés par l’ancien joueur de tennis de 45 ans.
Il convient particulièrement de noter que six mois après l’accouchement, la première expérience publique d’un enfant prend fin. Tout commence vingt-quatre heures après son arrivée rue de Grenelle, lorsque le ministre XXL (il s’occupe entre autres de l’éducation, des sports, de la jeunesse et de la JO) s’installe vendredi dans un collège des Yvelines aux côtés du premier ministre Gabriel Attal. , le 12 janvier.
Libération dement la version de la ministre, selon l’ancienne enseignante du fils aîné d’Amélie Oudéa-Castéra à l’école publique. De son côté, cette mère avait cité « les paquets d’heures » d’enseignants non remplacés comme argument en faveur du maintien de son enfant à la maison. Le fait que la nouvelle ministre de l’éducation, Amélie Oudéa-Castéra, ait décidé d’enseigner à la maison ses enfants est-il lié aux problèmes de pénurie d’enseignants ? Non, selon les témoignages recueillis dimanche par Libération et que la ministre dément, selon une enseignante de son fils.
Amélie Oudéa-Castéra, nouvellement nommée, a fait sensation, vendredi 12 janvier, en justifiant sa décision de retirer ses enfants de l’école publique en exprimant sa “frustration” face aux “paquets d’heures” de temps d’enseignement non pourvus pendant absences des enseignants.
Est-ce un choix lié à un rejet anticipé dans la section médiane ?
Seul le fils aîné d’Amélie Oudéa-Castéra a été brièvement scolarisé en public, selon la section maternelle de Libération. Le journal rapporte le témoignage de son ancien professeur de 2009 à l’école publique Littré, dans le 6e arrondissement de Paris.
Forts de ce témoignage, Amélie Oudéa-Castéra et son mari ont décidé d’envoyer leur fils dans l’institution privée Stanislas proche de chez eux car l’école de Littré avait refusé une entrée anticipée pour leur fils au collège car le professeur estimait que l’élève était encore trop jeune. petit. Et pas pour un problème d’absence, selon ce témoignage.
L’entourage ministériel rejette les “propositions inexactes”
“Les propos tenus par Libération sont catégoriquement rejetés par le ministre de l’Education nationale”, a appris son entourage. “On peut s’interroger sur l’intention liée à ces propos inexacts, déplacés et bénissants pour des parents sur leur enfant près de 15 ans plus tard”, selon la même source.
“Comme tous les parents, Amélie Oudéa-Castéra et Frédéric Oudéa ont toujours eu comme priorité le bien-être de leur enfant et sous-entendre qu’ils auraient fait un choix qui irait à la rencontre de leurs valeurs et de l’épanouissement. de leur petit garçon les heurte profondément”, a-t-on déclaré.
“Il faut partir de Madame” Plusieurs responsables politiques ont exprimé leur désapprobation à l’égard du nouveau ministre de l’Éducation, également chargé des organisations sportives et de jeunesse, en réponse aux informations de Libération.
Selon l’ancien coprésident de la fédération FCPE et député Insoumis Rodrigo Arenas, « S’il est prouvé que la ministre a menti en invoquant les paquets d’heures non remplacés pour son fils, madame Amélie Oudéa-Castéra n’a plus sa place. à la tête du ministère de l’Éducation” (X, ex-Twitter).
Amélie Oudéa-Castera a insulté les écoles publiques et les enseignants de notre pays, et voilà que cette insulte s’ajoute. Le “Secrétaire général du PS Pierre Jouvet” (X) estime qu’elle est “totalement discréditée” ce soir pour rester à son poste.
L’écologiste et députée Sandrine Rousseau a écrit : “Il faut partir maintenant, madame.”. Madame la ministre, c’est double faute ! Selon Guislaine David, porte-parole du SNUipp-FSU (syndicat des directeurs d’écoles primaires), “Ce match démarre très fort !” de son côté. Dès lundi, le ministre devrait rencontrer les syndicats de l’éducation.
Le scandale impliquant les enfants d’Amélie Oudéa-Castéra et leur placement scolaire est résumé ici. La nouvelle ministre de l’Éducation nationale Amélie Oudéa-Castéra demande de “clore le chapitre des attaques personnelles” après avoir défendu l’école privée de ses enfants comme nécessaire en raison de l’absence d’enseignants dans les écoles publiques. . Voici un récapitulatif de la polémique de France Bleu.
Au centre d’une vive polémique politique, elle souhaite que la tempête cesse. La nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Amélie Oudéa-Castéra, veut cesser de mettre sur le compte de la réussite scolaire de ses enfants la responsabilité de leur réussite. Elle a déjà récupéré ce portefeuille en plus de ceux de la Jeunesse, des Sports et des Jeux Olympiques.
Vendredi, la ministre a déclaré qu’elle avait inscrit ses enfants dans une école privée puisque son père âgé, Vincent, était absent de l’école publique pendant de longues périodes sans remplacement. Un argument qui a suscité la colère du milieu enseignant et de l’opposition, qui réclament le limogeage d’Amélie Oudéa-Castéra.
La ministre a demandé de “fermer le chapitre des attaques personnelles et de la vie personnelle” lors de sa visite au village des Jeux Olympiques à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, lundi. Voici un résumé de la polémique. Pour Vendredi, le ministre cite “les paquets d’heures non remplacés” comme justification publique des embauches dans le privé. Vendredi, la polémique va commencer au collège Saint-Exupéry d’Andrésy dans les Yvelines, où Amélie Oudéa-Castéra, qui vient d’être nommée ministre de l’Éducation nationale, est en visite personnelle.