Taille Basse Douchka – Les média. A l’émission Quelle Epoque ! de France 2, animée par Léa Salamé, participait la jeune Castelroussine Douchka Volaric. Sur Quelle Epoque ! de France 2, les téléspectateurs ont eu la surprise de voir un visage familier samedi 10 février : Douchka Volaric, la jeune Castelroussine.
La star de TikTok Douchka, de son vrai nom Doudou, a été invitée à parler de son combat pour plus de tolérance dans la société. ” Un journaliste de France 2 m’a contacté il y a quelques mois. Cependant, je n’ai pas réussi à programmer une date dans mon calendrier. Mon travail à l’Agence Départementale d’Information sur le logement de Châteauroux est crucial pour moi. ” Je n’oublie jamais d’où je viens. viens.”
“C’est de la folie !”
Devant l’animatrice Léa Salamé et de nombreux invités, dont Laurent Lafitte, Jean-Luc Reichmann, Isabelle Mergault, etc., Douchka a raconté ses années d’école primaire dans le Berry, son rôle de protecteur d’une de ses sœurs. , son quotidien, les gens qu’il a rencontrés…
“Ce spectacle restera toujours un de mes meilleurs souvenirs”, a déclaré le trentenaire. Léa Salamé a été très sympathique et adorable. Un déluge d’amour et de considération m’a été envoyé depuis que l’émission a été diffusée. C’est fou! J’ai gagné plus de 10 000 abonnés sur toutes mes plateformes de réseaux sociaux !
Une deuxième expérience mémorable de ce spectacle ? “Nous nous sommes installés sur des chaises élevées. Jean-Luc Reichmann m’a sonné pour que je redescendais lorsqu’il a terminé filmant l’émission. Il est tellement gentil et attentionné.
Douchka attribue son succès à son sens de l’humour et au fait qu’elle défend les intérêts de toutes les personnes handicapées. En tant qu’ambassadrice, Douchka évoque ouvertement le manque d’accessibilité en France et les difficultés rencontrées au quotidien.
Les nouveaux talents sont constamment recherchés par Talentéo. Aujourd’hui, nous vous proposons d’aller rencontrer Douchka, alias Taille Basse. Désormais incontournable de la plateforme de partage de vidéos TikTok, elle souhaitait nous raconter son parcours et ses réflexions sur le sujet.
Pourriez-vous s’il vous plaît vous présenter et me raconter votre histoire ?
Je m’appelle Douchka. Vous pouvez me trouver sur les réseaux sociaux sous mon nom de « Taille Basse ». Je l’ai donné à mon compte TikTok sous ce faux. A trente ans, je travaille comme directeur adjoint d’une agence départementale d’information sur le logement. Je dois admettre que je suis professionnellement gêné.
Après avoir terminé mes études secondaires, je suis parti à Limoge pour poursuivre mes études et c’est ainsi que je suis arrivé ici. Mon BTS Conseillère en économie sociale et familiale et enfin mon diplôme d’Etat sont en ma possession.
Pourquoi avez-vous décidé de lancer votre chaîne TikTok ?
Je suis actuellement en période de confinement et de téléthérapie. C’était une période difficile. Personnellement, je passais beaucoup de temps sur TikTok. Ce logiciel m’a vraiment été présenté par ma nièce. A chaque fois que je me connectais sur TikTok, je rigolaisais, et ça me faisait du bien car la météo était vraiment anxiogène. J’ai oublié mon quotidien pendant un moment parce que j’étais sur cette application.
J’ai décidé de faire une vidéo avec mon chien où j’ai dansé un jour. ja l’ai publié sur TikTok, mais ja ne suis plus actif sur cette plateforme. Je venais de monter la vidéo, d’ajouter de la musique et je dansais avec mon chien, rien d’extraordinaire. Je ne pensais pas qu’elle allait faire autant de vues derrière.
Alors, trois semaines plus tard, ma nièce Inès m’a envoyé un message pour me dire que ma vidéo avait fait plus d’un million de vues et plus d’un millier de commentaires. J’avoue que j’ai eu peur pendant un petit moment. Vous m’avez demandé pourquoi j’avais rendu cette vidéo accessible à tous. Au départ, je n’utilisais ce logiciel que pour réaliser des vidéos musicales que je pouvais ensuite partager sur Facebook avec ma famille. Je ne savais plus où tourner la tête ; J’ai eu plus d’un millier de commentaires ! C’est là que tout a commencé !
Je retiens juste ces commentaires positifs parmi tant d’autres. Bien sûr, il y avait beaucoup de questions sur mon style de vie, mais il y avait aussi beaucoup de regards curieux. En effet, dans ma première vidéo, j’étais chez moi, et il était facile de voir l’intérieur de ma maison depuis l’arrière. On m’a donc demandé si cela convenait à ma différence. Je me suis dit qu’il fallait que je leur réponde pour qu’ils n’aient pas d’idées idiotes. D’un autre côté, j’allais essayer d’y répondre de manière humoristique.
Pourquoi avez-vous décidé de répondre aux commentaires les plus « difficiles » dans vos vidéos ?
Je voulais répondre aux demandes les plus difficiles, mais j’ai toujours pris soin de ne pas révéler l’identité de la personne par respect. Ce n’est pas du tout mon objectif que cet individu soit ensuite victime de harcèlement ; Je ne leur envie pas cela.
Oui, je réponds à cela, mais quand on me pose une question du genre « est-ce que tu prends ta douche dans une rivière ? J’aime jouer le jeu et m’exposer. Ça me fait rire. En fait, j’ai remarqué que plus je répondais aux questions sur l’humour et l’autodérision, moins je recevais de commentaires négatifs. Je pense que ces gens finissent par s’arrêter parce qu’ils se rendent compte que j’ai une force de caractère qui me permet de rire quoi qu’il arrive. C’est pourquoi je veux leur prouver que je ferai bien.
L’indice de popularité de Douchka Volaric est en baisse constante depuis 2020. Ses followers se confient sur ses difficultés face au handicap sur les plateformes de réseaux sociaux comme Instagram et TikTok. Le mercredi 25 octobre 2023, la Castelroussine a rencontré le ministre chargé de ces dossiers.
Le mercredi 25 octobre 2023, Fadila Khattabi, la ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, a invité Douchka Volaric, qui s’appelle Naincroyable sur Instagram et Taille Basse sur TikTok. Une matinée entière consacrée aux discussions sur les enjeux d’accessibilité. Même s’il reste encore beaucoup de choses à régler, il faut voir le bon côté des choses ; sinon, nous ne ferons aucun progrès.
“Volaric Douchka” Castelroussine Tiktokeuse
Du haut de son point d’observation de 1,22 mètre, la Castelroussine traverse un monde qui ne cesse de dénoncer son handicap, même lorsqu’un simple marchepied lui aurait rétabli l’équilibre. Pour toutes mes courses, j’aurai toujours besoin d’une aide. Être constamment accompagné n’est pas typique à 32 ans. “Cela m’infantilise”, partage Douchka Volaric.
Elle observe les personnes en fauteuil roulant emprunter les pistes cyclables à l’aide des bandes de roulement spéciales de sa trottinette. Les internautes, dont de nombreuses mères d’enfants handicapés, se confient à lui en ligne, exprimant leurs inquiétudes telles que le manque de place dans les établissements médicaux et éducatifs. Il y a beaucoup de problèmes qu’elle a réussi à mettre en lumière grâce à sa visibilité.
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Comme tout le monde, j’ai un travail et une vie. “Si il reste beaucoup à faire, nous devons garder un esprit positif sinon, nous ne progresserons pas”, a-t-elle souligné. Son enthousiasme et sa popularité ont sans doute convaincu Fadila Khattabi de lui confier certains de ses prochains projets. Mais, je suis enthousiassé.
La région bucolique française : la grande taille_basse gueule A la réunion de la France ordinaire. Douchka Volaric, une jeune Châteauroux atteinte de nanisme, a réussi à faire sensation sur Internet en démontrant son amour pour les polos sur TikTok. Il peut ainsi faire valoir son droit à la discrimination. Cliquez sur les icônes de partage situées à droite et en haut de chaque article pour les partager.
Il est strictement interdit de reproduire une quelconque partie d’un article sans l’autorisation écrite et préalable du Monde. L’article “La France-buissonnière-la-grande-gueule-de-taille-Basse” a été publié dans le magazine français Le Monde le 23 janvier 2022.
Tout a commencé par une insulte. Douchka Volaric, alias « taille_basse », une jeune femme atteinte d’achondroplasie, la forme la plus répandue de nanisme, a posté une « sale naine » sur son compte TikTok. Le printemps 2020 était arrivé. Alors qu’elle subissait son premier cycle d’incarcération, elle a mis en ligne une vidéo d’elle dansant avec son berger allemand trouvé dans la rue, Falko.
Cette blessure, écrite par un jeune de 12 ans, fait partie des milliers de commentaires qui ont suivi. pourrait être demandé au destinataire du message. Douchka Volaric n’avait pas montré grand-chose et avait répondu : “C’est grâce à des gens comme vous que je suis plus puissant.”
Trouver de la joie dans sa singularité
Cette assistante sociale de 30 ans poste deux à trois fois par semaine des vidéos pour répondre aux questions rocambolesques que lui posent ses abonnés depuis ses débuts. Ils approchent les 700 000, un succès que l’on peut attribuer à son sens de l’humour et à sa capacité à réprimander les personnes insensibles tout en répondant aux questions des candidats qui se demandent comment gérer le quotidien quand ils mesurent 1,22 mètre. Dans un restaurant appartenant à la préfecture d’Indore, elle a expliqué : “Je veux montrer que je vis bien avec ma différence”. C’était midi dernier.
“Mon pédiatre m’a prévenu que je risquais un traumatisme crânien si j’appuyais ma tête contre une table basse ne serait-ce qu’une journée.” La curiosité sans limites de cette fille d’origine croate d’un chef de chantier semble n’avoir aucune frontière, qu’elle soit maligne ou bénigne. “Tu es petite parce que tu as une maladie ?” ou “Comment fais-tu ton ménage?” sont des exemples de questions inoffensives.
Puis il y en a qui vous « déglinguent » psychologiquement, comme celui-là : « Est-ce que ton espérance de vie est diminuée en raison de ta maladie ? Réponse du pied de la tiktokeuse : Après réflexion, je ne sais pas nain vieux. La charmante Joséphine [l’actrice Mimie Mathy, 64 ans] prend bien soin d’elle.
Je voulais quand même savoir ce qu’en pensait mon pédiatre, alors j’ai demandé : “Je risquais de me prendre une journée contre une table basse et de me faire un traumatisme crânien ?” Son arme la plus puissante est l’autodestruction. Un autre problème est la réponse graduée. Où trouve-t-elle ses sous-vêtements, lui demande un abonné libidineux ? “Levez vos mains!” : “Deux pour le prix d’une, dans le événement où je devais tomber ! »